Les Gens de la Soupe 2009
+9
Fée Violine
baboulaa
Colline
Surcouf
millou
salazie
cilaos
Piboule
Fraissinet
13 participants
Page 7 sur 11
Page 7 sur 11 • 1, 2, 3 ... 6, 7, 8, 9, 10, 11
Fraissinet- Membre trop actif
- Nombre de messages : 2190
Age : 123
Points : 8795
Date d'inscription : 03/03/2007
Fraissinet- Membre trop actif
- Nombre de messages : 2190
Age : 123
Points : 8795
Date d'inscription : 03/03/2007
Fraissinet- Membre trop actif
- Nombre de messages : 2190
Age : 123
Points : 8795
Date d'inscription : 03/03/2007
Re: Les Gens de la Soupe 2009
Fraissinet a écrit:Peu de délits sont commis, mais si c'était le cas, ce serait directement au palais de justice :
Il est pas encore fermé ce tribunal ?
La mère Dati ne l'avait pas de la collimateur (même si elle n'a jamais mis les pieds à Florac ...)
Invité- Invité
Re: Les Gens de la Soupe 2009
Salhiens a écrit:Fraissinet a écrit:Peu de délits sont commis, mais si c'était le cas, ce serait directement au palais de justice :
Il est pas encore fermé ce tribunal ?
La mère Dati ne l'avait pas de la collimateur (même si elle n'a jamais mis les pieds à Florac ...)
c'est le 31/12 que miss bling bling à décider de sa mort
http://lannuaire.service-public.fr/services_locaux/languedoc-roussillon/lozere/ti-48061-01.html
Re: Les Gens de la Soupe 2009
merci pour ce nouvel épisode, je ne connais pas la liqueur de tilleul de Kaiou je demande à gouter pas vous???
salazie- Membre actif
- Nombre de messages : 1129
Age : 73
Points : 6844
Date d'inscription : 13/07/2007
Re: Les Gens de la Soupe 2009
Alors voilà ce fameux Kaiou je me souviens l'avoir entraperçu sur une photo lorsqu'il
nous a présenté sa célèbre paella mais j'avais oublié sa bobinette.
Un grand bonjour au Kaiou qui flémarde en ce moment sur le forum
millou- Membre trop actif
- Nombre de messages : 2482
Points : 7652
Date d'inscription : 17/02/2007
Re: Les Gens de la Soupe 2009
salazie a écrit:merci pour ce nouvel épisode, je ne connais pas la liqueur de tilleul de Kaiou je demande à gouter pas vous???
Oh que oui
Colline- Membre
- Nombre de messages : 525
Age : 73
Points : 6365
Date d'inscription : 18/11/2008
Re: Les Gens de la Soupe 2009
Je ne peux pas vous dire que c'était mauvais, nous l'avons finie dans la même soirée que nous l'avions commencée, mais le récipient était si petit...
Fraissinet- Membre trop actif
- Nombre de messages : 2190
Age : 123
Points : 8795
Date d'inscription : 03/03/2007
Re: Les Gens de la Soupe 2009
on dit ça quand la bouteille est finie!!
salazie- Membre actif
- Nombre de messages : 1129
Age : 73
Points : 6844
Date d'inscription : 13/07/2007
Re: Les Gens de la Soupe 2009
millou a écrit:
Alors voilà ce fameux Kaiou je me souviens l'avoir entraperçu sur une photo lorsqu'il
nous a présenté sa célèbre paella mais j'avais oublié sa bobinette.
Un grand bonjour au Kaiou qui flémarde en ce moment sur le forum
J'aime beaucoup cette photo des deux joyeux compères que j'ai la chance de connaitre moi aussi.
Bisous à tous les deux.
Invité- Invité
Re: Les Gens de la Soupe 2009
Merci pour ce reportage, pur plaisir pour les absents à cette fête..!
L'oeil pétillant des compères, verre à demi plein (pour l'Indigène
-moins assoiffé probablement que le touriste-
incite à trinquer avec vous, virtuellement en attendant mieux !!
(et j'espère que nous aurons l'occasion de le faire tous ensemble avant la prochaîne Louche d'Or !!)
L'oeil pétillant des compères, verre à demi plein (pour l'Indigène
-moins assoiffé probablement que le touriste-
incite à trinquer avec vous, virtuellement en attendant mieux !!
(et j'espère que nous aurons l'occasion de le faire tous ensemble avant la prochaîne Louche d'Or !!)
Colline- Membre
- Nombre de messages : 525
Age : 73
Points : 6365
Date d'inscription : 18/11/2008
Et puis vînt la fée
Comment reconnaître cette fée dans toute cette population âpre à la soupe ?
Quels maléfices allait-elle me réserver ?
Avais-je la moindre chance de la retrouver sous un des ses nombreux déguisements ?
Etait-ce dans un habit d'extrême féminité qu'elle allait se présenter ?
Allait-elle, à l'image de Brigitte, comme le font toutes les femmes qui ont en elles l'initiale BB, ne porter rien d'autre qu'un peu d'essence de Guerlain dans les cheveux ?
En guise de note de fond, c'est plutôt le poireau qui s'imposait!
Un attroupement auprès d'une telle créature ne serait pas passé inaperçu et je n'en vis aucun.
ou bien alors
Sa robe relevée allait-elle découvrir une paire de jambes sublimes dévoilées sous le souffle d'une bouche chaude ?
La fée, comtesse du Barry, Line donne généreusement.
La fée, en plein maquillage, avec son pinceau marie liner.
Je cherchais, en vain, quelques stations de métro sous Florac et une raccourcie que je ne trouvai jamais.
ou bien encore
Etait-ce alors nue sous son trench coat qu'il allait rencontrer la belle fée Giselle ?
Aucun signe de richesse intérieure outrageusement volumineux ne m'apparut et je renonçai dès lors à cette quête effrénée et par trop hypothétique.
Serait-ce alors, à défaut d'une absence de vêtements, le port d'un costume qui me permettrait de l'identifier ?
De Zorro, aucun masque, si ce n'est celui fait de tranches de concombre et quoi de plus normal en période soupière ?
De Bécassine, aucune robe vert sombre ouverte sur une guimpe blanche et un corselet rouge ne vînt rompre l'harmonie automnale des couleurs des oripeaux (de mouton) des festivaliers.
De Guignol, elle ne connaissait que le petit, le guignolet, et la suite n'allait pas manquer de nous démontrer que c'était bien effectivement là que le bât blessait.
Pas seulement d'ailleurs, car elle était depuis sa plus tendre enfance en proie à un étrange syndrome, celui selon lequel le mal est mâle.
Aussi, fut-ce toujours avec défiance qu'elle accueillit les propos masculins jusques et y compris dans les prêches des différents membres des corps constitués des organisations régulières catholiques (pas autant qu'on le dit, reconnut-elle toutefois).
Il n'y en eut qu'un qui trouva grâce à ses yeux, un chanoine.
Homme de peu de foie, il ne craignait pas la cirrhose et c'est ainsi qu'il testa divers assemblages de messe à base de sirop de cassis et de vin blanc.
Elle ne put certes que regretter que la route de ce vin blanc ne croisât celle d'un chemin* de Loire (Vouvray, Montlouis) au profit d'un Bourgogne aligoté, dont elle chérissait, néanmoins, la consonnance aubracoise. Bref…
Ce fut donc à ses yeux brillants de la lumière qui ravit que je la reconnus.
C'est malgré mon chapeau en peau de kangourou (pour faire croire à mon appartenance au team du Quinze de la Fraise d'Ispagnac), malgré ma chemise le Chameau de Bédouès, en dépit de mes chaussures du modèle Gévaudan de l'Aigle (laissant supposer un lien ornithologique étroit avec le fameux PNC) qu'elle me reconnut.
Sans apparaître le moins du monde étonnée de me trouver là, dans une rue que j'arpentais, désespéré de ne point la trouver, le ventre plein de toutes ces délicieuses soupes dégustées sur l'esplanade Marceau Farrelle, me dirigeant vers la rue de la Chicane, quittant ainsi au péril de ma vie l'ancienne place fortifiée du moyen age de Florac, elle entreprit, après m'avoir chaleureusement salué (les détails ne peuvent bien entendu être mentionnés ici, il y a des enfants quand même!), elle entreprit donc de me présenter à sa grande famille (les pauvres!).
Fille d'abord, revenue fraîchement d'Ecosse, dont elle fit la pub d'Edinburgh, fils ensuite, grand bâtisseur de yourte, conjoints temporaires ou plus installés, amis, amis d'amis, amis d'amis d'amis, je fis rapidement un premier tour de présentation enjouée pour revenir au point de départ, sa fille revenue fraîchement de…
Il s'agissait là d'un scrutin uninominal à un tour pour lequel un deuxième s'avérait inutile.
Un enthousiasme de présentation s'était toutefois emparé d'elle et continuait de l'habiter, dont elle ne se lassait et qui l'amena à essayer de me présenter à des passants dans la rue.
La méprise fut rapidement identifiée et il y fut porté remède en l'éloignant d'eux.
Debout, près du bar funeste qui lui fit rencontrer pour la première fois de sa vie les affres de la turpitude sous la forme d'un sirop de sureau accompagné d'un petit vin blanc (qu'on boit sous les tonnelles), c'est là qu'elle commença à connaître l'inéluctable, à découvrir l'incontournable, à commettre l'irréparable, en un mot l'hilarité, la gaieté inhérentes à un état de griserie.
La moitié de son kir déjà descendue (tant que ça en reste là!) lui avait déjà fait rosir le front, ce sont les joues qui s'enflammèrent de la deuxième moitié.
Néanmoins, toujours à voix intelligible, tenant un langage encore cohérent, ses propos n'ayant quitté la décence qu'il convient à une fée, elle m'interrogea sur mon métier.
Fort de ma capacité élevée en explications oiseuses, je lui expliquais tandis qu'elle me souriait intriguée.
Mes filles et nièce m'ayant rejoint pour continuer la bataille tandis que le front commun des défenseurs de fée voulant rentrer se sustenter à l'utopique bercail, nous nous quittâmes tout en nous jurant de garder, comme famille royale angle, nos secrets secrets.
C'est ainsi que se produisit cette délicieuse rencontre, dans la rue, dans une ambiance d'une extrême amicalité.
Voilà pourquoi, et par courtoisie élémentaire vis-à-vis de la belle fée, vous ne saurez rien, non rien de rien de plus sur ce début de soirée si ce n'est que la Soupe 2010 fut évoquée.
* Blague tourangelle sur le thème du fameux cépage Chenin, inconnu évidemment en pays lozérien dont les seules références à cet égard sont hélas Clinton, Baco, Jacquez, Concort, Noah, Othello, Herbemont et Isabelle dont un petit coup ne faisait pas de mal.
Le vin produit n’était alors alcoolisé que de huit à dix degrés selon les années, aussi arrivait-il que quelques fonds de barrique se piquâssent. Ce vin là n’était pas pour autant perdu. Avec le marc de raisin, la raque, ce vin là était amené au distillateur brûleur Bonnet au Malhutier (près St Martin de Boubaux) qui produisait une eau de vie de qualité moyenne, certes, mais qui, outre le rôle bienfaiteur de confectionner des canards pour des veillées, permettait de disposer d'un désinfectant efficace lors de blessures accidentelles.
Le Clinton fut un cépage si apprécié qu'il fit l'objet d'un périodique écrit par Laurent Lamartinie (gin).
Quels maléfices allait-elle me réserver ?
Avais-je la moindre chance de la retrouver sous un des ses nombreux déguisements ?
Etait-ce dans un habit d'extrême féminité qu'elle allait se présenter ?
Allait-elle, à l'image de Brigitte, comme le font toutes les femmes qui ont en elles l'initiale BB, ne porter rien d'autre qu'un peu d'essence de Guerlain dans les cheveux ?
En guise de note de fond, c'est plutôt le poireau qui s'imposait!
Un attroupement auprès d'une telle créature ne serait pas passé inaperçu et je n'en vis aucun.
ou bien alors
Sa robe relevée allait-elle découvrir une paire de jambes sublimes dévoilées sous le souffle d'une bouche chaude ?
La fée, comtesse du Barry, Line donne généreusement.
La fée, en plein maquillage, avec son pinceau marie liner.
Je cherchais, en vain, quelques stations de métro sous Florac et une raccourcie que je ne trouvai jamais.
ou bien encore
Etait-ce alors nue sous son trench coat qu'il allait rencontrer la belle fée Giselle ?
Aucun signe de richesse intérieure outrageusement volumineux ne m'apparut et je renonçai dès lors à cette quête effrénée et par trop hypothétique.
Serait-ce alors, à défaut d'une absence de vêtements, le port d'un costume qui me permettrait de l'identifier ?
De Zorro, aucun masque, si ce n'est celui fait de tranches de concombre et quoi de plus normal en période soupière ?
De Bécassine, aucune robe vert sombre ouverte sur une guimpe blanche et un corselet rouge ne vînt rompre l'harmonie automnale des couleurs des oripeaux (de mouton) des festivaliers.
De Guignol, elle ne connaissait que le petit, le guignolet, et la suite n'allait pas manquer de nous démontrer que c'était bien effectivement là que le bât blessait.
Pas seulement d'ailleurs, car elle était depuis sa plus tendre enfance en proie à un étrange syndrome, celui selon lequel le mal est mâle.
Aussi, fut-ce toujours avec défiance qu'elle accueillit les propos masculins jusques et y compris dans les prêches des différents membres des corps constitués des organisations régulières catholiques (pas autant qu'on le dit, reconnut-elle toutefois).
Il n'y en eut qu'un qui trouva grâce à ses yeux, un chanoine.
Homme de peu de foie, il ne craignait pas la cirrhose et c'est ainsi qu'il testa divers assemblages de messe à base de sirop de cassis et de vin blanc.
Elle ne put certes que regretter que la route de ce vin blanc ne croisât celle d'un chemin* de Loire (Vouvray, Montlouis) au profit d'un Bourgogne aligoté, dont elle chérissait, néanmoins, la consonnance aubracoise. Bref…
Ce fut donc à ses yeux brillants de la lumière qui ravit que je la reconnus.
C'est malgré mon chapeau en peau de kangourou (pour faire croire à mon appartenance au team du Quinze de la Fraise d'Ispagnac), malgré ma chemise le Chameau de Bédouès, en dépit de mes chaussures du modèle Gévaudan de l'Aigle (laissant supposer un lien ornithologique étroit avec le fameux PNC) qu'elle me reconnut.
Sans apparaître le moins du monde étonnée de me trouver là, dans une rue que j'arpentais, désespéré de ne point la trouver, le ventre plein de toutes ces délicieuses soupes dégustées sur l'esplanade Marceau Farrelle, me dirigeant vers la rue de la Chicane, quittant ainsi au péril de ma vie l'ancienne place fortifiée du moyen age de Florac, elle entreprit, après m'avoir chaleureusement salué (les détails ne peuvent bien entendu être mentionnés ici, il y a des enfants quand même!), elle entreprit donc de me présenter à sa grande famille (les pauvres!).
Fille d'abord, revenue fraîchement d'Ecosse, dont elle fit la pub d'Edinburgh, fils ensuite, grand bâtisseur de yourte, conjoints temporaires ou plus installés, amis, amis d'amis, amis d'amis d'amis, je fis rapidement un premier tour de présentation enjouée pour revenir au point de départ, sa fille revenue fraîchement de…
Il s'agissait là d'un scrutin uninominal à un tour pour lequel un deuxième s'avérait inutile.
Un enthousiasme de présentation s'était toutefois emparé d'elle et continuait de l'habiter, dont elle ne se lassait et qui l'amena à essayer de me présenter à des passants dans la rue.
La méprise fut rapidement identifiée et il y fut porté remède en l'éloignant d'eux.
Debout, près du bar funeste qui lui fit rencontrer pour la première fois de sa vie les affres de la turpitude sous la forme d'un sirop de sureau accompagné d'un petit vin blanc (qu'on boit sous les tonnelles), c'est là qu'elle commença à connaître l'inéluctable, à découvrir l'incontournable, à commettre l'irréparable, en un mot l'hilarité, la gaieté inhérentes à un état de griserie.
La moitié de son kir déjà descendue (tant que ça en reste là!) lui avait déjà fait rosir le front, ce sont les joues qui s'enflammèrent de la deuxième moitié.
Néanmoins, toujours à voix intelligible, tenant un langage encore cohérent, ses propos n'ayant quitté la décence qu'il convient à une fée, elle m'interrogea sur mon métier.
Fort de ma capacité élevée en explications oiseuses, je lui expliquais tandis qu'elle me souriait intriguée.
Mes filles et nièce m'ayant rejoint pour continuer la bataille tandis que le front commun des défenseurs de fée voulant rentrer se sustenter à l'utopique bercail, nous nous quittâmes tout en nous jurant de garder, comme famille royale angle, nos secrets secrets.
C'est ainsi que se produisit cette délicieuse rencontre, dans la rue, dans une ambiance d'une extrême amicalité.
Voilà pourquoi, et par courtoisie élémentaire vis-à-vis de la belle fée, vous ne saurez rien, non rien de rien de plus sur ce début de soirée si ce n'est que la Soupe 2010 fut évoquée.
* Blague tourangelle sur le thème du fameux cépage Chenin, inconnu évidemment en pays lozérien dont les seules références à cet égard sont hélas Clinton, Baco, Jacquez, Concort, Noah, Othello, Herbemont et Isabelle dont un petit coup ne faisait pas de mal.
Le vin produit n’était alors alcoolisé que de huit à dix degrés selon les années, aussi arrivait-il que quelques fonds de barrique se piquâssent. Ce vin là n’était pas pour autant perdu. Avec le marc de raisin, la raque, ce vin là était amené au distillateur brûleur Bonnet au Malhutier (près St Martin de Boubaux) qui produisait une eau de vie de qualité moyenne, certes, mais qui, outre le rôle bienfaiteur de confectionner des canards pour des veillées, permettait de disposer d'un désinfectant efficace lors de blessures accidentelles.
Le Clinton fut un cépage si apprécié qu'il fit l'objet d'un périodique écrit par Laurent Lamartinie (gin).
Fraissinet- Membre trop actif
- Nombre de messages : 2190
Age : 123
Points : 8795
Date d'inscription : 03/03/2007
Re: Les Gens de la Soupe 2009
Il y a quelques petites erreurs dans ton récit épique, Fraissinet.
D'abord tu parles de maléfices, mais je suis une fée, pas une sorcière.
Ensuite, le kir que j'ai bu, ce n'était pas au bar où j'allais retrouver ma famille, c'était au stand de la fête, et je l'ai payé avec des soupiers (la monnaie en vigueur à la fête de la soupe).
Et puis tu as oublié de dire que ma fille était déguisée en princesse, avec un diadème étincelant qui lui allait à ravir !
Quant au chanoine Kir, je ne l'ai pas connu personnellement, mais j'ai passé plusieurs années à Dijon, lorsqu'il était maire (ou juste après, peut-être, je ne me souviens plus). Il a aussi laissé son nom à un lac artificiel, qui est juste à côté de Dijon.
Re: Les Gens de la Soupe 2009
je confirme le lac kir lieu de détente des dijonnais
salazie- Membre actif
- Nombre de messages : 1129
Age : 73
Points : 6844
Date d'inscription : 13/07/2007
Re: Les Gens de la Soupe 2009
Je confirme, le lac du Bois de Boulogne est un lieu de tantes des parigots
Re: Les Gens de la Soupe 2009
En effet, tu peux rougir!
Fraissinet- Membre trop actif
- Nombre de messages : 2190
Age : 123
Points : 8795
Date d'inscription : 03/03/2007
Re: Les Gens de la Soupe 2009
Photo Reportage excellent Fraissy!!!! Bises Sioux tout partout!! xoxoxo
Nicole- Membre actif
- Nombre de messages : 1240
Age : 61
Points : 6544
Date d'inscription : 13/04/2007
Re: Les Gens de la Soupe 2009
cilaos a écrit:Je confirme, le lac du Bois de Boulogne est un lieu detantesdes parigots
On ne dit pas tantes, mais canadiennes, voire, au pire brésiliennes!
Fraissinet- Membre trop actif
- Nombre de messages : 2190
Age : 123
Points : 8795
Date d'inscription : 03/03/2007
Re: Les Gens de la Soupe 2009
Je suis içi!! Hélas sans soupe!
Nicole- Membre actif
- Nombre de messages : 1240
Age : 61
Points : 6544
Date d'inscription : 13/04/2007
Re: Les Gens de la Soupe 2009
Fée Violine a écrit:
Il y a quelques petites erreurs dans ton récit épique, Fraissinet.
D'abord tu parles de maléfices, mais je suis une fée, pas une sorcière.
Ensuite, le kir que j'ai bu, ce n'était pas au bar où j'allais retrouver ma famille, c'était au stand de la fête, et je l'ai payé avec des soupiers (la monnaie en vigueur à la fête de la soupe).
Et puis tu as oublié de dire que ma fille était déguisée en princesse, avec un diadème étincelant qui lui allait à ravir !
Quant au chanoine Kir, je ne l'ai pas connu personnellement, mais j'ai passé plusieurs années à Dijon, lorsqu'il était maire (ou juste après, peut-être, je ne me souviens plus). Il a aussi laissé son nom à un lac artificiel, qui est juste à côté de Dijon.
Des réponses seront données de manière officielle à tes remarques à côté au cas Carabosse.
Fraissinet- Membre trop actif
- Nombre de messages : 2190
Age : 123
Points : 8795
Date d'inscription : 03/03/2007
Re: Les Gens de la Soupe 2009
C'est pas bientôt fini, la soupe!
Il y en a ras la gamelle!
Il y en a ras la gamelle!
Cool- Membre
- Nombre de messages : 151
Age : 36
Points : 6326
Date d'inscription : 13/02/2007
Page 7 sur 11 • 1, 2, 3 ... 6, 7, 8, 9, 10, 11
Page 7 sur 11
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|