Bébert est sur la placette
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Re: Bébert est sur la placette
si l'on regarde de plus prés et ca risque d'en froisser plus d'un la lozère n'a que le parc comme atout économique, vraiment sérieux pour être connue et appréciée dans toute l'europe
alors qu'elle utilise cet atout pour dévellopper une agriculture raisonnée et proche de l'environnement puisque c'est dans l'air du temps ( et la les subventions irons dans le bon sens )
-pour dévellopper un tourisme durable et pas lamentable , chercher à mettre en valeur ce qui attire les gens ici et non copier bêtement les usines à touristes déja en place sur la côte
et pour arriver à cela ,inclure dans le projet les habitants en les aidants réellement dans le' bon sens
mais ca les politiques le disent mais ne le pensent pas puisqu'ils font le contraire
alors qu'elle utilise cet atout pour dévellopper une agriculture raisonnée et proche de l'environnement puisque c'est dans l'air du temps ( et la les subventions irons dans le bon sens )
-pour dévellopper un tourisme durable et pas lamentable , chercher à mettre en valeur ce qui attire les gens ici et non copier bêtement les usines à touristes déja en place sur la côte
et pour arriver à cela ,inclure dans le projet les habitants en les aidants réellement dans le' bon sens
mais ca les politiques le disent mais ne le pensent pas puisqu'ils font le contraire
Michel- Membre actif
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Re: Bébert est sur la placette
Pourquoi pas finalement confier la gestion des successions agricoles au PNC qui obligerait une reconvertion en bio que ce soit le successeur ou un tiers, à condition bien sûr de rétribuer à son juste prix les contraintes imposées.
Piboule- Faites la taire !
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Re: Bébert est sur la placette
le PNC s'occupe déja des reprises agricoles, puisque c'est lui
qui impose l'élevage de race Aubrac en échange de subventions .
qui impose l'élevage de race Aubrac en échange de subventions .
Re: Bébert est sur la placette
Est-ce qu'il y a beaucoup d'aubracs dans le PNC ? Je pensais qu'il y avait surtout des ovins ?
Piboule- Faites la taire !
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Re: Bébert est sur la placette
Ne confondez pas la vache d'Aubrac avec l'ovin d'Orgnac.
Surcouf- Membre trop actif
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Re: Bébert est sur la placette
Surcouf a écrit:Ne confondez pas la vache d'Aubrac avec l'ovin d'Orgnac.
Ni avec l'ale/vin de Florac, mélange de malt à bière de Solpériéres et de vin de Gabalie d'Ispagnac!
Fraissinet- Membre trop actif
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Re: Bébert est sur la placette
Tiens donc Albanie qui dévie grave,
Renée faut sortir un peu et te promener* dans le parc et tu verras beaucoup d'Aubrac , les moutons
se font trés rares, comme d'ailleurs dans l'Aveyron ...
* : ta voiture est en train de se calaminer ! je remplace Totoke qui ne nous a plus parler de ton tracteur
depuis fort longntemps
Renée faut sortir un peu et te promener* dans le parc et tu verras beaucoup d'Aubrac , les moutons
se font trés rares, comme d'ailleurs dans l'Aveyron ...
* : ta voiture est en train de se calaminer ! je remplace Totoke qui ne nous a plus parler de ton tracteur
depuis fort longntemps
Re: Bébert est sur la placette
Attends je ne pige plus ont-ils droit au label Aubrac hors région de l'aubrac enfin je sais qu'il n'y a pas d'aoc mais par contre l'appellation "genisse fleur d'aubrac" ?
Piboule- Faites la taire !
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Re: Bébert est sur la placette
Viande et race Aubrac
La production bovine est majoritaire : avec 164 627 têtes en 2000, le Haut Rouergue représente 1/3 du cheptel bovin aveyronnais, et plus de 37% des vaches nourrices (allaitantes).
87 % des exploitations du Nord Aveyron sont destinée à l’élevage de bovins. Cette caractéristique détermine en grande partie le paysage et l’environnement.
Le Pays du Haut Rouergue a la chance de compter des outils coopératifs (CEMAC, Bœuf IPC, ADEL 12) et privés (marchands). Sur la commune de Laissac se déroule chaque mardi le 2ème marché bovin de France. Il accueille l’ensemble des acteurs qui donnent du dynamisme à l’élevage local et ouvre des perspectives sur l’exportation.
La forte présence de l’élevage bovin vient sans doute du fait que le territoire est le creuset de naissance de la race Aubrac.
De la sélection à la vente, toute la filière est présente sur le territoire avec une station raciale de l’UPRA AUBRAC « la Borie de l’Aubrac » qui permet un suivi et une recherche génétique, des producteurs de semences, des éleveurs, des marchés de vente et un abattoir (à Ste Geneviève sur Argence).
La race Aubrac est originaire des monts d’Aubrac, dans les départements de l’Aveyron, du Cantal, de la Lozère et de la Haute-Loire. Son aire d’extension s’étend essentiellement sur les zones dites difficiles des terres d’altitude, de garrigues ou de causses. Elle est présente dans 25 départements français Elle est également présente en Allemagne, en Irlande, en Suisse (animaux reproducteurs), en Italie (exportation de jeunes animaux maigres pour engraissement), au Canada et aux Etats-Unis (exportation de semences et embryons), en Grand-Bretagne, , au Maroc et même en Guyane…des pays où sa viande est très appréciée.
La race Aubrac (plus de 115 000 bêtes) arrive en cinquième position pour les races allaitantes en France avec un taux de croissance annuel de 3%. Elle se situe loin derrière la Limousine, n°2 (900 000 têtes) et la Charolaise n°1.
Dotée d’une grande force et d’une grande énergie elle fait preuve de beaucoup d’endurance au travail et a été pendant longtemps une excellente race de boeuf de travail au joug.
Réputée pour ses grandes qualités d’élevage et de rusticité, l’Aubrac est une race de mères idéale pour la production de viande, en race pure comme en croisement avec un taureau de race spécialisée. Depuis plus de 10 ans, la race exporte sa génétique sous forme de semences, de reproducteurs et d’embryons dans plus de 15 pays.
Les vêlages ont lieu en février et mars. Les vaches accompagnées de leur jeune veau transhument en estives vers le 25 Mai, à la Saint Urbain, ce qui donne lieu à des fêtes sur le parcours (St Geniez d’Olt, St Chély d’Aubrac…). Au retour qui a lieu traditionnellement le 13 octobre, à la Saint Géraud, le sevrage des jeunes veaux, bouruts est alors terminé. Les animaux passent l’hiver dans les fermes.
La production de la vache Aubrac repose sur un système fortement extensif basé sur la tradition. Les animaux se nourrissent presque exclusivement d’herbes et de fourrage.
Les éleveurs et producteurs sont soucieux de la qualité et de la valorisation de leurs produits c’est pourquoi ils s’inscrivent dans des démarches de labellisations et certifications suivantes :
Labels de qualité IGP
Identification Géographique protégée
Label rouge CCP
Certification Conformité Produit
Bio
Viande Viande bovine d’Aubrac Bœuf fermier d’Aubrac
Blason prestige
Génisse fleur d’Aubrac
Saveur occitane
Veau
Boeuf
La présence de la race Aubrac est essentielle car elle maintient un milieu entretenu et ouvert et maintient les hommes sur leurs terres.
La production bovine est majoritaire : avec 164 627 têtes en 2000, le Haut Rouergue représente 1/3 du cheptel bovin aveyronnais, et plus de 37% des vaches nourrices (allaitantes).
87 % des exploitations du Nord Aveyron sont destinée à l’élevage de bovins. Cette caractéristique détermine en grande partie le paysage et l’environnement.
Le Pays du Haut Rouergue a la chance de compter des outils coopératifs (CEMAC, Bœuf IPC, ADEL 12) et privés (marchands). Sur la commune de Laissac se déroule chaque mardi le 2ème marché bovin de France. Il accueille l’ensemble des acteurs qui donnent du dynamisme à l’élevage local et ouvre des perspectives sur l’exportation.
La forte présence de l’élevage bovin vient sans doute du fait que le territoire est le creuset de naissance de la race Aubrac.
De la sélection à la vente, toute la filière est présente sur le territoire avec une station raciale de l’UPRA AUBRAC « la Borie de l’Aubrac » qui permet un suivi et une recherche génétique, des producteurs de semences, des éleveurs, des marchés de vente et un abattoir (à Ste Geneviève sur Argence).
La race Aubrac est originaire des monts d’Aubrac, dans les départements de l’Aveyron, du Cantal, de la Lozère et de la Haute-Loire. Son aire d’extension s’étend essentiellement sur les zones dites difficiles des terres d’altitude, de garrigues ou de causses. Elle est présente dans 25 départements français Elle est également présente en Allemagne, en Irlande, en Suisse (animaux reproducteurs), en Italie (exportation de jeunes animaux maigres pour engraissement), au Canada et aux Etats-Unis (exportation de semences et embryons), en Grand-Bretagne, , au Maroc et même en Guyane…des pays où sa viande est très appréciée.
La race Aubrac (plus de 115 000 bêtes) arrive en cinquième position pour les races allaitantes en France avec un taux de croissance annuel de 3%. Elle se situe loin derrière la Limousine, n°2 (900 000 têtes) et la Charolaise n°1.
Dotée d’une grande force et d’une grande énergie elle fait preuve de beaucoup d’endurance au travail et a été pendant longtemps une excellente race de boeuf de travail au joug.
Réputée pour ses grandes qualités d’élevage et de rusticité, l’Aubrac est une race de mères idéale pour la production de viande, en race pure comme en croisement avec un taureau de race spécialisée. Depuis plus de 10 ans, la race exporte sa génétique sous forme de semences, de reproducteurs et d’embryons dans plus de 15 pays.
Les vêlages ont lieu en février et mars. Les vaches accompagnées de leur jeune veau transhument en estives vers le 25 Mai, à la Saint Urbain, ce qui donne lieu à des fêtes sur le parcours (St Geniez d’Olt, St Chély d’Aubrac…). Au retour qui a lieu traditionnellement le 13 octobre, à la Saint Géraud, le sevrage des jeunes veaux, bouruts est alors terminé. Les animaux passent l’hiver dans les fermes.
La production de la vache Aubrac repose sur un système fortement extensif basé sur la tradition. Les animaux se nourrissent presque exclusivement d’herbes et de fourrage.
Les éleveurs et producteurs sont soucieux de la qualité et de la valorisation de leurs produits c’est pourquoi ils s’inscrivent dans des démarches de labellisations et certifications suivantes :
Labels de qualité IGP
Identification Géographique protégée
Label rouge CCP
Certification Conformité Produit
Bio
Viande Viande bovine d’Aubrac Bœuf fermier d’Aubrac
Blason prestige
Génisse fleur d’Aubrac
Saveur occitane
Veau
Boeuf
La présence de la race Aubrac est essentielle car elle maintient un milieu entretenu et ouvert et maintient les hommes sur leurs terres.
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Re: Bébert est sur la placette
Pour une fois qu'on parle de vache s'en s'énerver, c'est bien.
Raoul- Membre trop actif
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Re: Bébert est sur la placette
Forcément "la fleur d'aubrac" a moins de trente six moi tu ne risques pas de rencontrer du nerf !
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Re: Bébert est sur la placette
Historique de la fleur Aubrac
L’histoire de la fleur d’Aubrac débute en 1988 par une enquête commandée par le CREAL (Centre régional d’études alimentaires) auprès des consommateurs de l’Héraut. Celle-ci a révélé l’existence d’un débouché local intéressant pour les viandes de qualité.
Dans le même temps, la boucherie artisanale devait faire face à une baisse de sa part de marché au profit de la grande distribution. En 1991, sous l’impulsion de LRE (Languedoc Roussillon Elevage), organisme chargé de promouvoir les produits régionaux, la filière fleur d’Aubrac va naître.
Cette même année, la chambre des métiers de l’Héraut, en collaboration avec les techniciens de la chambre d’agriculture, organise une phase test de valorisation de carcasses de génisses auprès de 10 bouchers du département en vue de définir les principales caractéristiques bouchères que le produit devra présenter. Cette phase aboutit à la création de l’A.P.A (Association des Produits de l’Aubrac).
Le 7 août 1991, une démarche auprès de l’INPI (Institut National de la Propriété Individuelle) est engagée et aboutit à l’obtention de « marque collective d’entreprises » pour le produit fleur d’Aubrac.
Le signe distinctif est le trèfle à quatre feuilles
La première génisse « fleur d’Aubrac » est commercialisée en octobre 1991.
En janvier 1992, la COBO.34 (Coopérative des Bouchers de l’Héraut) est créée, elle regroupe 20 bouchers chargés de la promotion et de la diffusion exclusive de la marque dans l’Héraut.
Après l’adhésion en 1991 des groupements de producteurs CEMAC et SICA Montagne, l’année 1992 connaît l’adhésion de deux nouveaux groupements à la filière. (Bovi Plateau Central et Coopérative d’élevage Velay Gévaudan).
En 1993, les débouchés se diversifient sur le marché Parisien et local en Aveyron et Lozère.
En 1995, les responsables de la filière décident de s’engager dans la voie de la certification de conformité produit (CCP) fleur d’Aubrac. C’est en février 2002 que la « fleur d’Aubrac » obtient sa certification de conformité produit doublée d’une proposition favorable de l’INAO pour l’homologation Européenne d’une IGP (Indication géographique protégée) le 13 septembre de la même année.
L’histoire de la fleur d’Aubrac débute en 1988 par une enquête commandée par le CREAL (Centre régional d’études alimentaires) auprès des consommateurs de l’Héraut. Celle-ci a révélé l’existence d’un débouché local intéressant pour les viandes de qualité.
Dans le même temps, la boucherie artisanale devait faire face à une baisse de sa part de marché au profit de la grande distribution. En 1991, sous l’impulsion de LRE (Languedoc Roussillon Elevage), organisme chargé de promouvoir les produits régionaux, la filière fleur d’Aubrac va naître.
Cette même année, la chambre des métiers de l’Héraut, en collaboration avec les techniciens de la chambre d’agriculture, organise une phase test de valorisation de carcasses de génisses auprès de 10 bouchers du département en vue de définir les principales caractéristiques bouchères que le produit devra présenter. Cette phase aboutit à la création de l’A.P.A (Association des Produits de l’Aubrac).
Le 7 août 1991, une démarche auprès de l’INPI (Institut National de la Propriété Individuelle) est engagée et aboutit à l’obtention de « marque collective d’entreprises » pour le produit fleur d’Aubrac.
Le signe distinctif est le trèfle à quatre feuilles
La première génisse « fleur d’Aubrac » est commercialisée en octobre 1991.
En janvier 1992, la COBO.34 (Coopérative des Bouchers de l’Héraut) est créée, elle regroupe 20 bouchers chargés de la promotion et de la diffusion exclusive de la marque dans l’Héraut.
Après l’adhésion en 1991 des groupements de producteurs CEMAC et SICA Montagne, l’année 1992 connaît l’adhésion de deux nouveaux groupements à la filière. (Bovi Plateau Central et Coopérative d’élevage Velay Gévaudan).
En 1993, les débouchés se diversifient sur le marché Parisien et local en Aveyron et Lozère.
En 1995, les responsables de la filière décident de s’engager dans la voie de la certification de conformité produit (CCP) fleur d’Aubrac. C’est en février 2002 que la « fleur d’Aubrac » obtient sa certification de conformité produit doublée d’une proposition favorable de l’INAO pour l’homologation Européenne d’une IGP (Indication géographique protégée) le 13 septembre de la même année.
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Re: Bébert est sur la placette
Je crois que le doryphore voit juste : dans les jeux de pouvoir, la ligne de démarcation se situe entre ce qui est humain et ce qui ne l'est pas. Que ce soit les actions (ou les inactions) du PNC ou les processus du sieur boutefeux pour remplir son numérus clausus de reconduites.
Il me paraît tout à fait normal que dans la levée de boucliers contre le PNC, ce soit les praticiens de l'abus de pouvoir qui soient en première ligne : ils savent de quoi ils parlent.
Le politique, soit il fait avec les gens et il est légitime ; soit il fait sans les gens et il va droit au fiasco.
Il me paraît tout à fait normal que dans la levée de boucliers contre le PNC, ce soit les praticiens de l'abus de pouvoir qui soient en première ligne : ils savent de quoi ils parlent.
Le politique, soit il fait avec les gens et il est légitime ; soit il fait sans les gens et il va droit au fiasco.
Re: Bébert est sur la placette
Renée a écrit:Forcément "la fleur d'aubrac" a moins de trente six moi tu ne risques pas de rencontrer du nerf !
Non c'est juste que de parler de génisse sans bouillir, c'est bien.
Raoul- Membre trop actif
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Re: Bébert est sur la placette
Sont sympa les génies d'aubrac, quand je les rencontre on se taille une bavette !
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Re: Bébert est sur la placette
Du coup à la revente on a un bonnux.
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Re: Bébert est sur la placette
Avec le berger, les vaches ne polluent plus car quand l'homo est là, la saleté s'en va.
Invité- Invité
Re: Bébert est sur la placette
Pas de bactéries à craindre avec les aubracs
car dieu les protège
et dieu yavé lacroix
car dieu les protège
et dieu yavé lacroix
Piboule- Faites la taire !
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Re: Bébert est sur la placette
Si la bonne humeur plane sur les hauts plateaux, c'est que la vache rit!
Fraissinet- Membre trop actif
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Re: Bébert est sur la placette
Bon, c'est pas tout ça. La récréation est terminée.
Résumons-nous :
Il y a les institutions dites démocratiques.
Plus on est éloigné de la population moins on est capable de prendre la prendre en compte.
Plus on est proche et plus on est soumis à sa pression qui tient rarement de l'intérêt collectif.
C'est un équilibre qu'il faut trouver et quoi qu'il en soit cet équilibre est toujours fragile et jamais parfait.
Plus personne n'essaie même de contenir l'établissement public national PNC dans ses compétences.
A force de raisonner sur des chiffres dans des bureaux en pensant a sa promotion personnelle , on en arrive à être complètement déconnecté de la réalitée et le pire à en perdre toute responsabilitée et toute culpabilitée
L'Etat : ne lâche aux mains des politiques que ce qu'il veut bien.
Mais l'Etat (que nous avions connu extrêmement totalitaire mais plutôt rigoureux sur les principes républicain) est devenu une chiffe molle devant les petits chefs de clan locaux.
Le PNC : Apparemment un monarque complètement coupé de ses sujets. Pour rien au monde je ne voudrais être dirigé par des fonctionnaires sans lien avec la population et ca, même si je suis conscient (et que je peste contre) la propention au clientélisme des élus locaux.
Ou c'est un parc" national", et national ca veut pas dire lozérien , ou ca devient un parc régional .
si ca reste un parc national il doit être géré comme les autres , en tenant compte de sa spécificité bien sûr : les habitants.
L'embêtant, c'est que le PNC détient des pouvoirs et que tout pouvoir permet l'abus de pouvoir.
Au sujet des mines du Mazel , si le Parc avait un tant soit peu de pouvoir ou de concience ou de fierté ou quoi que ce soit d'humain , il nous aurait fait un petit signe ne serais- ce que pendant qu'on attendais le résultat des analyses de prise de sang de notre gamin , mais rien même pas un appel , le silence total , l'ignorance
sa mission premiére , peut être je me trompe mais c'est de protéger un site qui à une forte valeur naturelle , vieller à maintenir sa biodiversitée , ses écosystémes .quel est son rôle ? informer, surveiller, réguler , protéger, éventuellement garder , c'est bien des gardes assermentées non au parc ?
c'est vrai le PNC à une mission différente des autres parc puisqu'il intégre des populations , mais il faut qu'il fasse avec ou qu'il arrête
je vois un malaise car le parc ne fait plus que de la politique et s'éloigne de sa mission premiére sur le terrain
et la dérive ca donne : des anciennes drailles cloturées sans passages pour les randonneurs par des agriculteurs tout puissants
des cars entiers de 40 personnes qui débarquent en grandes pompes sur les pistes du mas de la barque pour écouter bramer le cerf cosanguin
des colonnes de quads ou de 4x4 qui s'aventurent de plus en plus sur les chemins et qui croisent les troupeaux d'ânes de stevenson
des bagarres entres 30,13 et 34 qui s'arrachent les quelques cèpes tchernobylés qui poussent en dehors des pancartes , ramassage inerdit sous peine de mort
Faut qu'il arrête le parc ou qu'il intégre dans ses missions la protection des humains qui l'habitent , en les aidants à vivre en harmonie avec la nature qu'il est censé protéger
La Lozère :
-la Lozère n'a que le Parc comme atout économique vraiment sérieux pour être connue et appréciée dans toute l'Europe
Les élus :
-Propension au clientélisme local
-Il existe de fortes raisons pour que les élus tiennent le PNC dans les limites de ses compétences et défendent leurs administrés contre les empiètements : ils ne le font pas ; il n'en existe aucune pour qu'ils soient décideurs à la place de l'Etat
Résumons-nous :
Il y a les institutions dites démocratiques.
Plus on est éloigné de la population moins on est capable de prendre la prendre en compte.
Plus on est proche et plus on est soumis à sa pression qui tient rarement de l'intérêt collectif.
C'est un équilibre qu'il faut trouver et quoi qu'il en soit cet équilibre est toujours fragile et jamais parfait.
Plus personne n'essaie même de contenir l'établissement public national PNC dans ses compétences.
A force de raisonner sur des chiffres dans des bureaux en pensant a sa promotion personnelle , on en arrive à être complètement déconnecté de la réalitée et le pire à en perdre toute responsabilitée et toute culpabilitée
L'Etat : ne lâche aux mains des politiques que ce qu'il veut bien.
Mais l'Etat (que nous avions connu extrêmement totalitaire mais plutôt rigoureux sur les principes républicain) est devenu une chiffe molle devant les petits chefs de clan locaux.
Le PNC : Apparemment un monarque complètement coupé de ses sujets. Pour rien au monde je ne voudrais être dirigé par des fonctionnaires sans lien avec la population et ca, même si je suis conscient (et que je peste contre) la propention au clientélisme des élus locaux.
Ou c'est un parc" national", et national ca veut pas dire lozérien , ou ca devient un parc régional .
si ca reste un parc national il doit être géré comme les autres , en tenant compte de sa spécificité bien sûr : les habitants.
L'embêtant, c'est que le PNC détient des pouvoirs et que tout pouvoir permet l'abus de pouvoir.
Au sujet des mines du Mazel , si le Parc avait un tant soit peu de pouvoir ou de concience ou de fierté ou quoi que ce soit d'humain , il nous aurait fait un petit signe ne serais- ce que pendant qu'on attendais le résultat des analyses de prise de sang de notre gamin , mais rien même pas un appel , le silence total , l'ignorance
sa mission premiére , peut être je me trompe mais c'est de protéger un site qui à une forte valeur naturelle , vieller à maintenir sa biodiversitée , ses écosystémes .quel est son rôle ? informer, surveiller, réguler , protéger, éventuellement garder , c'est bien des gardes assermentées non au parc ?
c'est vrai le PNC à une mission différente des autres parc puisqu'il intégre des populations , mais il faut qu'il fasse avec ou qu'il arrête
je vois un malaise car le parc ne fait plus que de la politique et s'éloigne de sa mission premiére sur le terrain
et la dérive ca donne : des anciennes drailles cloturées sans passages pour les randonneurs par des agriculteurs tout puissants
des cars entiers de 40 personnes qui débarquent en grandes pompes sur les pistes du mas de la barque pour écouter bramer le cerf cosanguin
des colonnes de quads ou de 4x4 qui s'aventurent de plus en plus sur les chemins et qui croisent les troupeaux d'ânes de stevenson
des bagarres entres 30,13 et 34 qui s'arrachent les quelques cèpes tchernobylés qui poussent en dehors des pancartes , ramassage inerdit sous peine de mort
Faut qu'il arrête le parc ou qu'il intégre dans ses missions la protection des humains qui l'habitent , en les aidants à vivre en harmonie avec la nature qu'il est censé protéger
La Lozère :
-la Lozère n'a que le Parc comme atout économique vraiment sérieux pour être connue et appréciée dans toute l'Europe
Les élus :
-Propension au clientélisme local
-Il existe de fortes raisons pour que les élus tiennent le PNC dans les limites de ses compétences et défendent leurs administrés contre les empiètements : ils ne le font pas ; il n'en existe aucune pour qu'ils soient décideurs à la place de l'Etat
Invité- Invité
Re: Bébert est sur la placette
Et bien on a bien bossé quand même !
Personnellement je ne vois pas les élus gérer le parc en respectant l'environnement. Il faut je pense des spécialistes pointus qui ne font aucune politique qu'ils soient lozériens ou "estrangers". Il faut que les administrateurs du parc aient pouvoir de faire appliquer les règles surtout celles qui ont été validées par un tribunal, une cour d'appel et le conseil d'état !
Il faut que les habitants puissent vivre mieux et qu'ils soient justement rémunérés pour toutes les contraintes.
Personnellement je ne vois pas les élus gérer le parc en respectant l'environnement. Il faut je pense des spécialistes pointus qui ne font aucune politique qu'ils soient lozériens ou "estrangers". Il faut que les administrateurs du parc aient pouvoir de faire appliquer les règles surtout celles qui ont été validées par un tribunal, une cour d'appel et le conseil d'état !
Il faut que les habitants puissent vivre mieux et qu'ils soient justement rémunérés pour toutes les contraintes.
Piboule- Faites la taire !
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Re: Bébert est sur la placette
En effet, on arrête de rigoler!
Le PNC constitue, avec le défunt CFD, le seul projet d'envergure réunissant les Cévennes.
Il agit depuis des années en valorisation du patrimoine local.
Il est le seul contrepouvoir à l'influence du nord du département et le seul à disposer de la puissance financière de l'état.
Ceci attire les convoitises que l'on voit s'exprimer maintenant...
Pour le reste, des débats pour définir les futures modalités de fonctionnement (la charte) et le tour est joué.
Quant aux paysans (que je n'aime pas beaucoup d'une façon générale), ils sont plus sensibles à la protection de leurs intérêts qu'à ceux de la collectivité.
Crocodile Dundee, dans le film éponyme, répondait à une journaliste que ce n'était pas aux aborigènes qu'appartenaient les montagnes australiennes, mais bien le contraire...
Le PNC constitue, avec le défunt CFD, le seul projet d'envergure réunissant les Cévennes.
Il agit depuis des années en valorisation du patrimoine local.
Il est le seul contrepouvoir à l'influence du nord du département et le seul à disposer de la puissance financière de l'état.
Ceci attire les convoitises que l'on voit s'exprimer maintenant...
Pour le reste, des débats pour définir les futures modalités de fonctionnement (la charte) et le tour est joué.
Quant aux paysans (que je n'aime pas beaucoup d'une façon générale), ils sont plus sensibles à la protection de leurs intérêts qu'à ceux de la collectivité.
Crocodile Dundee, dans le film éponyme, répondait à une journaliste que ce n'était pas aux aborigènes qu'appartenaient les montagnes australiennes, mais bien le contraire...
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