Le FLL (Front de Libération de la Lozère)
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Re: Le FLL (Front de Libération de la Lozère)
Lu dans la partie principale du forum :
Photo de la dernière intervention des FLA (Forces Lozériennes d'Assaut) lors de la libération d'un village cévennol occupé par des Alésiens en2007.
ps :
1- Il serait également souhaitable que soient mis à l'ordre du jour les problèmes posés par les similitudes d'initiales au niveau des sigles ! On risque de s'y perdre !
2- Les persifleurs perfectionnistes pointilleux et amoureux des nanoparticules de détails inutiles s'abstiendront de raviver la discussion stérile (sujet préservé par emballage de caoutchouc lubrifié) sur l'appartenance de la Lozère à l'Auvergne, que l'on se place d'un point de vue administratif, historique ou culturels.
Je suis bien d'accord, et ça ne date pas d'aujourdhui. Il serait donc souhaitable, à l'aune des grands bouleversements préparés dans les hotels dorés, mais borgnes, par les aveugles qui peuplent les milieux anarcho-libero-parigo-technocrato-politiques, que le FLL, le FLA (Front de Libération Altiligérien), le FLA (Front de Libération Aveyronais) s'unissent dans le FLA (Front de Libération de l'Auvergne) pour envahir et soumettre la France, défaire les porteurs d'oeuillères qui regardent l'avenir comme un pirate qui scrute l'horizon en présentant l'embout de sa longue-vue à celui de ses deux yeux qui est crevé et dissimulé sous un noir bandeau !gévaudan a écrit:Finalement si la France avait suivi la lozere et l’aveyron (et un peu la haute loire) la loi ne ne serait pas passée !
Photo de la dernière intervention des FLA (Forces Lozériennes d'Assaut) lors de la libération d'un village cévennol occupé par des Alésiens en2007.
ps :
1- Il serait également souhaitable que soient mis à l'ordre du jour les problèmes posés par les similitudes d'initiales au niveau des sigles ! On risque de s'y perdre !
2- Les persifleurs perfectionnistes pointilleux et amoureux des nanoparticules de détails inutiles s'abstiendront de raviver la discussion stérile (sujet préservé par emballage de caoutchouc lubrifié) sur l'appartenance de la Lozère à l'Auvergne, que l'on se place d'un point de vue administratif, historique ou culturels.
Surcouf- Membre trop actif
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Re: Le FLL (Front de Libération de la Lozère)
Tu voudrais donc que le FLL mette les pieds dans le FLA ?
Raoul- Membre trop actif
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Victor Hugo et le FLL
Quand Victor Hugo, plus grand écrivain français, parle du FLL :
Extraits :
- Le militant FLL d’Aubrac a le torse rond et trapu, les jambes courtes, le pelage fauve. Il est lent au travail à cause de la brièveté de ses jambes.
- Sous ce rapport, le militant FLL de Margeride vaut mieux que l’Aubrac.
- Monsieur, j’ai vu deux militants FLL dans ma vie. Le premier avait les jambes basses, l’avant épais, la culotte pleine, les hanches larges, une bonne longueur de la nuque à la croupe, une bonne hauteur au garrot, le maniement riche, la peau pas facile à avoir. Le second offrait tous les signes d’un entrainement judicieux. Torse ramassé, encolure forte, jambes légères, tenue de camouflage, culotte retombante.
- Ca, c’est le militant FLL Cévenol.
- Oui, mais ayant eu quelques rapports avec le militant FLL des Causses ou le militant FLL de la vallée du Lot.
Victor Hugo, Les travailleurs de la mer, p179, éditions Elibron Classic
- La beauté des hommes n’est pas la même que la beauté des femmes.
- Et surtout des militantes FLL.
- C’est juste.
- Moi, je tiens à ce qu’une militante FLL soit jolie.
- Moi, à ce qu’elle soit bien mise.
- Oui, nette, propre, tirée à quatre épingle, astiquée.
- L’air tout neuf. Une militante FLL, ça doit toujours sortir de chez le bijoutier.
Victor Hugo, Les travailleurs de la mer, p 180, éditions Elibron Classic
Extraits :
- Le militant FLL d’Aubrac a le torse rond et trapu, les jambes courtes, le pelage fauve. Il est lent au travail à cause de la brièveté de ses jambes.
- Sous ce rapport, le militant FLL de Margeride vaut mieux que l’Aubrac.
- Monsieur, j’ai vu deux militants FLL dans ma vie. Le premier avait les jambes basses, l’avant épais, la culotte pleine, les hanches larges, une bonne longueur de la nuque à la croupe, une bonne hauteur au garrot, le maniement riche, la peau pas facile à avoir. Le second offrait tous les signes d’un entrainement judicieux. Torse ramassé, encolure forte, jambes légères, tenue de camouflage, culotte retombante.
- Ca, c’est le militant FLL Cévenol.
- Oui, mais ayant eu quelques rapports avec le militant FLL des Causses ou le militant FLL de la vallée du Lot.
Victor Hugo, Les travailleurs de la mer, p179, éditions Elibron Classic
- La beauté des hommes n’est pas la même que la beauté des femmes.
- Et surtout des militantes FLL.
- C’est juste.
- Moi, je tiens à ce qu’une militante FLL soit jolie.
- Moi, à ce qu’elle soit bien mise.
- Oui, nette, propre, tirée à quatre épingle, astiquée.
- L’air tout neuf. Une militante FLL, ça doit toujours sortir de chez le bijoutier.
Victor Hugo, Les travailleurs de la mer, p 180, éditions Elibron Classic
Surcouf- Membre trop actif
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L'éloge écrit par Henri Advienequepourrat
L’éloge du militant FLL par Henri Advienequepourrat, écrivain régionaliste, barde de l’autonomie lozérienne.
- Les militants FLL sont antipathiques au mélange des races, et le vieux sang gaulois coule presque pur dans leurs veines ; ce sont encore aujourd’hui les fils de ces Gabales qui firent trembler César dans les plaines de Gergovie, et Vercingétorix reviendrait, il reconnaîtrait ses braves soldats de l’indépendance nationale. C’est qu’en effet, le Gévaudan est une des provinces les plus nobles de France : au XVIIe siècle, les Vendéens se faisaient tuer pour un roi en combattant contre la patrie ; avant l’ère chrétienne, les Gagales marchaient pour la défense de la patrie contre un maître. Que cette conclusion nous fasse pardonner les prémisses. Le militant FLL tel qu’il est chez lui, dans sa maison, au milieu de sa famille, est beaucoup moins connu. On peut dire que ce n’est plus alors le même homme ; il est tout différent d’aspect, d’habitudes et même de langage. Son patois, l’un des nombreux dialectes de l’ancienne langue d’oc, est tout à la fois doux et énergique. Pour se faire une idée de cette population intelligente et laborieuse, il faut voir le militant FLL le dimanche sur la place publique du chef-lieu de canton, discutant ses affaires d’un air calme, ou se rendant par groupes du village à l’église de la paroisse. Sa physionomie s’harmonise alors avec le paysage qui l’entoure ; elle prend un air de finesse et en même temps de fierté et d’indépendance, qui la transforme. Cet homme est vraiment beau avec sa grosse veste, ses forts souliers ou ses sabots tout éclaboussés par la boue des champs ; c’est qu’il est chez lui, dans le cadre ou Dieu l’a placé ; c’est qu’il n’est plus dépaysé, comme dans nos villes, où le travail, les privations et l’habitude de la dépendance en ont fait une sorte d’ilote spartiate. En constatant le mode singulier d’émigration qui caractérise les habitants du Gévaudan, on peut se demander quelle en a été l’origine. Cette habitude date de ses temps malheureux où le fléau de la guerre de Cent ans, aggravé par les rivalités féodales, avait réduit au dernier état de misère toutes les populations du centre et de l’ouest de la France. L’époque de l’occupation anglaise est restée profondément gravée dans le cœur du militant FLL. Si vous trouvez au milieu d’un bois planté de chênes séculaires ou de hêtres énormes, ou sur un rocher qui domine la vallée, au confluent de deux cours d’eau qui s’engouffrent au fond des ravins, les ruines d’un vieux château, d’une ancienne forteresse, demandez au premier militant FLL qui se présentera le nom de ces ruines, et soyez sûrs qu’après vous avoir dit ce nom, il ne manquera pas d’ajouter, avec un ton de voix profondément irrité, que ce château fut bâti par les Anglais. Si la fille de Jacques Bonhomme, si Jeanne Darc, le seul homme de coeur qui illustra à jamais la France au XVe siècle, ne fut pas née en Lorraine, dans cette malheureuse province où les Anglais, les Bourguignons et les Allemands coupaient les blés en herbe, et où 10 000 français se débandaient devant un bidon anglais qui se montrait à l’horizon, si Jeanne Darc n’était pas née en Lorraine, une Jeanne Darc aurait certainement jailli des montagnes du patriotique Gévaudan.
Henri Advienequepourrat (1887 – 1959), Ceux du Gévaudan, Paris, éditions Horizons de France, 1928.
« Loin d'être le cadre étriqué d'un régionalisme folklorique, le Gévaudan est pour lui le lieu privilégié pour découvrir et comprendre la nature et l'esprit autonomiste et , par là même atteindre l'universel ».
- Les militants FLL sont antipathiques au mélange des races, et le vieux sang gaulois coule presque pur dans leurs veines ; ce sont encore aujourd’hui les fils de ces Gabales qui firent trembler César dans les plaines de Gergovie, et Vercingétorix reviendrait, il reconnaîtrait ses braves soldats de l’indépendance nationale. C’est qu’en effet, le Gévaudan est une des provinces les plus nobles de France : au XVIIe siècle, les Vendéens se faisaient tuer pour un roi en combattant contre la patrie ; avant l’ère chrétienne, les Gagales marchaient pour la défense de la patrie contre un maître. Que cette conclusion nous fasse pardonner les prémisses. Le militant FLL tel qu’il est chez lui, dans sa maison, au milieu de sa famille, est beaucoup moins connu. On peut dire que ce n’est plus alors le même homme ; il est tout différent d’aspect, d’habitudes et même de langage. Son patois, l’un des nombreux dialectes de l’ancienne langue d’oc, est tout à la fois doux et énergique. Pour se faire une idée de cette population intelligente et laborieuse, il faut voir le militant FLL le dimanche sur la place publique du chef-lieu de canton, discutant ses affaires d’un air calme, ou se rendant par groupes du village à l’église de la paroisse. Sa physionomie s’harmonise alors avec le paysage qui l’entoure ; elle prend un air de finesse et en même temps de fierté et d’indépendance, qui la transforme. Cet homme est vraiment beau avec sa grosse veste, ses forts souliers ou ses sabots tout éclaboussés par la boue des champs ; c’est qu’il est chez lui, dans le cadre ou Dieu l’a placé ; c’est qu’il n’est plus dépaysé, comme dans nos villes, où le travail, les privations et l’habitude de la dépendance en ont fait une sorte d’ilote spartiate. En constatant le mode singulier d’émigration qui caractérise les habitants du Gévaudan, on peut se demander quelle en a été l’origine. Cette habitude date de ses temps malheureux où le fléau de la guerre de Cent ans, aggravé par les rivalités féodales, avait réduit au dernier état de misère toutes les populations du centre et de l’ouest de la France. L’époque de l’occupation anglaise est restée profondément gravée dans le cœur du militant FLL. Si vous trouvez au milieu d’un bois planté de chênes séculaires ou de hêtres énormes, ou sur un rocher qui domine la vallée, au confluent de deux cours d’eau qui s’engouffrent au fond des ravins, les ruines d’un vieux château, d’une ancienne forteresse, demandez au premier militant FLL qui se présentera le nom de ces ruines, et soyez sûrs qu’après vous avoir dit ce nom, il ne manquera pas d’ajouter, avec un ton de voix profondément irrité, que ce château fut bâti par les Anglais. Si la fille de Jacques Bonhomme, si Jeanne Darc, le seul homme de coeur qui illustra à jamais la France au XVe siècle, ne fut pas née en Lorraine, dans cette malheureuse province où les Anglais, les Bourguignons et les Allemands coupaient les blés en herbe, et où 10 000 français se débandaient devant un bidon anglais qui se montrait à l’horizon, si Jeanne Darc n’était pas née en Lorraine, une Jeanne Darc aurait certainement jailli des montagnes du patriotique Gévaudan.
Henri Advienequepourrat (1887 – 1959), Ceux du Gévaudan, Paris, éditions Horizons de France, 1928.
« Loin d'être le cadre étriqué d'un régionalisme folklorique, le Gévaudan est pour lui le lieu privilégié pour découvrir et comprendre la nature et l'esprit autonomiste et , par là même atteindre l'universel ».
Surcouf- Membre trop actif
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Raoul- Membre trop actif
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Re: Le FLL (Front de Libération de la Lozère)
Bordeù (Bordeaux), prochain lieu de déferlement de la vindicte FLLiène ?
D’improbables malappris (et bien malappris ne profite jamais !) ont déposé sur un de nos beaux mégalithes, un horrible chiffon revendicatif d’une appartenance à une confrérie d’ivrognes footballistique, comme un canidé l’aurait fait contre un réverbère, ou un faux arabe contre un vrai berbère.
Ces borde laids ont une vision un peu trop large de l’Occitanie. Ici, ils sont en Gévaudan, terre insoumise, fière, libre et rebelle, comme celle de Cadix ! D’autant que ces bordeùligans ont propagé la légende mycologique qui attire tant de parasites sur notre sol. Voici ce qu'on peut lire sur le site des ces bordelets :
« Afortir son sosten a Bordèu de'n pertot !
Affirmer son soutien à Bordèu partout! Comme ici dans cette belle région occitane du mont Lozère où les menhirs poussent comme des champignons... Et comme l'hiver arrive sur ce plateau venteux à près de 1000 mètres d'altitude, une petite laine était devenue nécessaire ! »
-> http://girondins.de.bordeu.over-blog.com/40-index.html
(lire au vendredi 9 novembre 2007)
Que les menhirs aient poussé comme des champignons, certes ! Mais ce genre d’affirmation, sortie de bouches à l’haleine chargée de pinard rouge, pourrait laisser croire aussi que les champignons, en Lozère, poussent comme des menhirs. Or, tout lozérien sain de corps et d’esprit, sait bien qu’il y a, en Gévaudan, plus de menhir que de champignons. Et d’ailleurs, que peut connaitre un girondin de Bordeaux aux champignons, les seuls utilisés par cette engeance étant le champignon de Paris, qui sert dans les fights contre les homoncules décérébrés du PSG.
Et si ces frileux ont besoin d’une petite laine sur le Mont Lozère, c’est dire la faiblesse de leur résistance aux légers frimas de nos montagnes. Il est vrai que même issus de néanderthaliens, leur système pileux a chu, et ces glabres se trouvent fort dépourvus quand la bise fut venue.
Ces girondins, qui n’ont pas du inspirer Rodin pour son penseur, seraient donc bien avisés de venir lestement recouvrer leur triste tissu territorial, s’ils ne veulent qu’une volée de rondins vienne s’abattre sur leurs épaules et que sur leurs tombes soit inscrit :
« Ci-git Rondini aqui dourmen per semper, aquelhos la tera nostra noun respetat ! »
Traduction en français :
Six girondins gisent ici pour avoir profané le sol sacré des Gabales.
D’improbables malappris (et bien malappris ne profite jamais !) ont déposé sur un de nos beaux mégalithes, un horrible chiffon revendicatif d’une appartenance à une confrérie d’ivrognes footballistique, comme un canidé l’aurait fait contre un réverbère, ou un faux arabe contre un vrai berbère.
Ces borde laids ont une vision un peu trop large de l’Occitanie. Ici, ils sont en Gévaudan, terre insoumise, fière, libre et rebelle, comme celle de Cadix ! D’autant que ces bordeùligans ont propagé la légende mycologique qui attire tant de parasites sur notre sol. Voici ce qu'on peut lire sur le site des ces bordelets :
« Afortir son sosten a Bordèu de'n pertot !
Affirmer son soutien à Bordèu partout! Comme ici dans cette belle région occitane du mont Lozère où les menhirs poussent comme des champignons... Et comme l'hiver arrive sur ce plateau venteux à près de 1000 mètres d'altitude, une petite laine était devenue nécessaire ! »
-> http://girondins.de.bordeu.over-blog.com/40-index.html
(lire au vendredi 9 novembre 2007)
Que les menhirs aient poussé comme des champignons, certes ! Mais ce genre d’affirmation, sortie de bouches à l’haleine chargée de pinard rouge, pourrait laisser croire aussi que les champignons, en Lozère, poussent comme des menhirs. Or, tout lozérien sain de corps et d’esprit, sait bien qu’il y a, en Gévaudan, plus de menhir que de champignons. Et d’ailleurs, que peut connaitre un girondin de Bordeaux aux champignons, les seuls utilisés par cette engeance étant le champignon de Paris, qui sert dans les fights contre les homoncules décérébrés du PSG.
Et si ces frileux ont besoin d’une petite laine sur le Mont Lozère, c’est dire la faiblesse de leur résistance aux légers frimas de nos montagnes. Il est vrai que même issus de néanderthaliens, leur système pileux a chu, et ces glabres se trouvent fort dépourvus quand la bise fut venue.
Ces girondins, qui n’ont pas du inspirer Rodin pour son penseur, seraient donc bien avisés de venir lestement recouvrer leur triste tissu territorial, s’ils ne veulent qu’une volée de rondins vienne s’abattre sur leurs épaules et que sur leurs tombes soit inscrit :
« Ci-git Rondini aqui dourmen per semper, aquelhos la tera nostra noun respetat ! »
Traduction en français :
Six girondins gisent ici pour avoir profané le sol sacré des Gabales.
Surcouf- Membre trop actif
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Re: Le FLL (Front de Libération de la Lozère)
D'autant qu'il y beaucoup plus de cèpes à Bordeaux que partout ailleurs. (ben quoi, et le Cèpe de Bordeaux alors ?? !!)
S'il n'ont pas de menhirs chez eux, on peut leur conseiller de suivre les indications suivantes :
Les menhirs sont des monuments sauvages impossibles à cultiver de façon industrielle. L'amateur peut simplement se contenter de composer un environnement favorable à leur développement. Ainsi pour récolter des menhirs, vous aurez besoin d'une plaine composée d'herbe et de buis d'au moins 2,34568 ans (et des poussières).
Si le terrain ne donne pas naturellement des menhirs, vous pouvez tenter de les ensemencer en disséminant de vieux menhirs sur le sol ou en mettant des éclats de menhir dans une taupinière en s'abstenant de faire la chasse aux taupes, sinon ça sert à rien.
Lors de la récolte, on conseille souvent de couper le menhir plutôt que de l'arracher afin d'en retrouver au même endroit la saison suivante. Toutefois, la meilleure solution semble être de saisir le menhir par sa base, de le faire tourner d'un quart de tour et de tirer (fort), ce qui évite une éventuelle contamination par le pic non stérilisé du marteau piqueur.
Mettre le menhir nettoyé dans un grand panier et non dans un sac plastique et pas seulement, comme on verra ci dessous parce qu'il n'est manisfestement pas assez solide).
En effet, lors de la suite de votre promenade sur la plaine pleine d'herbe et de buis , vous contribuerez ainsi à disséminer des éclats de menhir qui passent sans problème à travers les mailles d'un panier en osier mais n'ont aucune chance dans un sac en plastique.
S'il n'ont pas de menhirs chez eux, on peut leur conseiller de suivre les indications suivantes :
Les menhirs sont des monuments sauvages impossibles à cultiver de façon industrielle. L'amateur peut simplement se contenter de composer un environnement favorable à leur développement. Ainsi pour récolter des menhirs, vous aurez besoin d'une plaine composée d'herbe et de buis d'au moins 2,34568 ans (et des poussières).
Si le terrain ne donne pas naturellement des menhirs, vous pouvez tenter de les ensemencer en disséminant de vieux menhirs sur le sol ou en mettant des éclats de menhir dans une taupinière en s'abstenant de faire la chasse aux taupes, sinon ça sert à rien.
Lors de la récolte, on conseille souvent de couper le menhir plutôt que de l'arracher afin d'en retrouver au même endroit la saison suivante. Toutefois, la meilleure solution semble être de saisir le menhir par sa base, de le faire tourner d'un quart de tour et de tirer (fort), ce qui évite une éventuelle contamination par le pic non stérilisé du marteau piqueur.
Mettre le menhir nettoyé dans un grand panier et non dans un sac plastique et pas seulement, comme on verra ci dessous parce qu'il n'est manisfestement pas assez solide).
En effet, lors de la suite de votre promenade sur la plaine pleine d'herbe et de buis , vous contribuerez ainsi à disséminer des éclats de menhir qui passent sans problème à travers les mailles d'un panier en osier mais n'ont aucune chance dans un sac en plastique.
Raoul- Membre trop actif
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Re: Le FLL (Front de Libération de la Lozère)
Raoul a écrit: ... Mettre le menhir nettoyé dans un grand panier et non dans un sac plastique et pas seulement, comme on verra ci dessous parce qu'il n'est manisfestement pas assez solide). En effet, lors de la suite de votre promenade sur la plaine pleine d'herbe et de buis, vous contribuerez ainsi à disséminer des éclats de menhir qui passent sans problème à travers les mailles d'un panier en osier mais n'ont aucune chance dans un sac en plastique.
Pensez aussi à ne pas mélanger dans votre panier en osier les bons menhirs avec les mauvais (en polystyrène) pour éviter la contamination. En cas de doute, faites vérifier votre récolte auprès d'un tailleur de pierres.
Surcouf- Membre trop actif
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Raoul- Membre trop actif
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Surcouf- Membre trop actif
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Le FLL du Gévaudan protège la Bête.
Bon, j'ai reçu un mail vindicatif du FLL qui trouve qu'on en prend un peu trop à notre aise sur le dos de la Bête du Gévaudan dans le fil qui lui est consacré, que nous serions par trop irrespectueux de l'animal totémique qui a fait la réputation de la contrée, et que si on continue à lui brouter le poil (à la Bête), on va voir de quel bois il se chauffe (le FLL). Il intime donc l’ordre de clore les déviances hérétiques (je cite) et les familiarités déplacées, et qu'il soit fait désormais œuvre de salubrité publique en ces temps de transhumances estivales, en informant les quidams, les quidames et les quidemoiselles qui envisageraient d’aller, idée saugrenue, farnienter au sud des Cévennes, dans les plaines alluvionnaires du Rhône, territoires dangereux ou rodent encore d’inquiétantes présences, des risques auxquels s’exposent ces nomades saisonniers. Pôvres touristes trompés par l’omission permanente dues aux médias francoparisiens ligués avec les intérêts touristiques de la susdite province qui croule sous un soleil de plomb et s’étale comme un camenbert oublié au sahel et qui se liquéfie autant par la chaleur que par de fromagères larmes car il sait qu’il ne reverra pas sa Normandie, les vaches rousses blanches et noires sur lesquelles tombe la pluie, et les cerisiers blancs, une mare avec des canards, des pommiers dans la prairie et le bon cidre doux, les œufs, les bœufs, un p'tit village plein d'amis et puis les filles aux joues rouges qui donnent aux hommes de là-bas, qui donnent aux hommes de l'amour, l'amour made in Normandie.
Car, ce qui n’est pas dit pas à tous ces braves égarés des congés payés, c’est qu’en se rendant la bas, ces longues caravanes de juilletistes ou d’aoutiens, ces bédouins autoroutiers, routiers aériens et chemindefériques qui patientent 11 mois pour aller, le 12eme, planter la tente, louer le cabanon, ou investir le mas, prennent de considérables risques inconsidérés. C’est sidérant ! Ils peuvent en effet, à tout moment être attaqués par des nuages de moustiques (authentique !) dont les moins recommandables pourraient bien leur refiler le virus du Nil. A toute heure du jour sont posés sur les troncs d’arbres des escadres vrombissantes de cigales dont l’impact sur les tympans est comparable au décollage des Rafales-marine du pont du Charles-de-Gaulle. A la nuit tombée, il est fréquent que les vols de flamands roses se rendant au point d’eau se fassent, en guise d’apéritif, une becquetée de touristes. Vous croyez qu’il s’est inspiré de quelle région Alfred Hitchcock quand il a tourné son film « Les oiseaux » ? Certains témoins, adeptes du jaune, ont même prétendu avoir vu des éléphants roses se joindre aux flamands, par mimétisme. Cette scène aurait été observée dans le ciel au dessus de Wallon-pont-d’Arc. Plus terrible encore, on ne compte plus les crocodiles qui hantent les égouts de Nîmes et qui se croque une Odile, un Maure, une jambe ou un monsieur en un coup de dent ! Et en plus les Nîmois en sont fiers, ce vaurien de saurien orne même le blason de la cité !
Les agents d’entretien qui s’affairent à entretenir les réseaux d’eaux usées de la ville sont souvent victimes du vorace reptile, une seconde d’inattention, la bête bondi et hop, l’affairé est dans le sac.
Encore plus fort, la Tarasque, déjà décrite par Alphonse Daudet, se nourris des dadais qu’elle chasse dans les zones périurbaines entre Arles et Nîmes et dans les campings municipaux des villages qui constituent ses garde-mangers.
Mais, de tous ces dangers extrêmes, il en est un dont l’horreur indicible va au delà, et dont le seul nom glace le sang, même à ceux qui ont le sang chaud comme Panza, et qui plus est à ceux qui font preuve de sang-froid comme les picards. Le pire qui puisse arriver, c’est d’être la proie de l’abominable homme des garrigues. Hominidé omnivore au pelage fauve foncé échappé du pléistocène, sa cène à lui se compose des apôtres qui randonnent naïvement dans le maquis méditerranéen, et son appétit féroce n’est pas forcément rassasié au bout du 12eme ! Maintes fois vu, décrit, photographié, dessiné, portraitisé, estampillé même, il vagabonde dans les milieux forestiers à végétation basse, sans que les autorités compétentes n’aient jamais fait la moindre recommandation.
photo prise en 2007 entre le Pont du Gard et Uzès.
Alors, prenez garde et faite savoir autour de vous qu’il est des coins à éviter ! J'en donne pour preuve cette comptine qui se chantait déjà lorsque des enfants lozériens étaient contraints, par manque d’infrastructures universitaires, d’aller étudier supérieurement dans les territoires de chasse de l’AHG :
« Petits lozériens plein de peine,
Dans le Gard prenez garde à vous,
Il est de sombres bêtes humaines
Plus féroces que les loups. »
Attention toutefois à ne pas confondre l’AHG avec un foronaute habitué de ces lieux dont nous tairons le nom pour ne pas le froisser mais qui se prénomme Bernard et qui se dandine tout en dinandant vers la Garde-Guérin. Toute ressemblance serait fortuite et pure coïncidence.
Car, ce qui n’est pas dit pas à tous ces braves égarés des congés payés, c’est qu’en se rendant la bas, ces longues caravanes de juilletistes ou d’aoutiens, ces bédouins autoroutiers, routiers aériens et chemindefériques qui patientent 11 mois pour aller, le 12eme, planter la tente, louer le cabanon, ou investir le mas, prennent de considérables risques inconsidérés. C’est sidérant ! Ils peuvent en effet, à tout moment être attaqués par des nuages de moustiques (authentique !) dont les moins recommandables pourraient bien leur refiler le virus du Nil. A toute heure du jour sont posés sur les troncs d’arbres des escadres vrombissantes de cigales dont l’impact sur les tympans est comparable au décollage des Rafales-marine du pont du Charles-de-Gaulle. A la nuit tombée, il est fréquent que les vols de flamands roses se rendant au point d’eau se fassent, en guise d’apéritif, une becquetée de touristes. Vous croyez qu’il s’est inspiré de quelle région Alfred Hitchcock quand il a tourné son film « Les oiseaux » ? Certains témoins, adeptes du jaune, ont même prétendu avoir vu des éléphants roses se joindre aux flamands, par mimétisme. Cette scène aurait été observée dans le ciel au dessus de Wallon-pont-d’Arc. Plus terrible encore, on ne compte plus les crocodiles qui hantent les égouts de Nîmes et qui se croque une Odile, un Maure, une jambe ou un monsieur en un coup de dent ! Et en plus les Nîmois en sont fiers, ce vaurien de saurien orne même le blason de la cité !
Les agents d’entretien qui s’affairent à entretenir les réseaux d’eaux usées de la ville sont souvent victimes du vorace reptile, une seconde d’inattention, la bête bondi et hop, l’affairé est dans le sac.
Encore plus fort, la Tarasque, déjà décrite par Alphonse Daudet, se nourris des dadais qu’elle chasse dans les zones périurbaines entre Arles et Nîmes et dans les campings municipaux des villages qui constituent ses garde-mangers.
Mais, de tous ces dangers extrêmes, il en est un dont l’horreur indicible va au delà, et dont le seul nom glace le sang, même à ceux qui ont le sang chaud comme Panza, et qui plus est à ceux qui font preuve de sang-froid comme les picards. Le pire qui puisse arriver, c’est d’être la proie de l’abominable homme des garrigues. Hominidé omnivore au pelage fauve foncé échappé du pléistocène, sa cène à lui se compose des apôtres qui randonnent naïvement dans le maquis méditerranéen, et son appétit féroce n’est pas forcément rassasié au bout du 12eme ! Maintes fois vu, décrit, photographié, dessiné, portraitisé, estampillé même, il vagabonde dans les milieux forestiers à végétation basse, sans que les autorités compétentes n’aient jamais fait la moindre recommandation.
photo prise en 2007 entre le Pont du Gard et Uzès.
Alors, prenez garde et faite savoir autour de vous qu’il est des coins à éviter ! J'en donne pour preuve cette comptine qui se chantait déjà lorsque des enfants lozériens étaient contraints, par manque d’infrastructures universitaires, d’aller étudier supérieurement dans les territoires de chasse de l’AHG :
« Petits lozériens plein de peine,
Dans le Gard prenez garde à vous,
Il est de sombres bêtes humaines
Plus féroces que les loups. »
Attention toutefois à ne pas confondre l’AHG avec un foronaute habitué de ces lieux dont nous tairons le nom pour ne pas le froisser mais qui se prénomme Bernard et qui se dandine tout en dinandant vers la Garde-Guérin. Toute ressemblance serait fortuite et pure coïncidence.
Surcouf- Membre trop actif
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Re: Le FLL (Front de Libération de la Lozère)
Ca fait longtemps qu'on a pas de nouvelles du FLL ? 35 heures ? Extension dans le Languedoc , délocalisation en Lorraine, dans la Loire, le Loir et Cher, le Loiret, le Lot ? Expatriation au Laos, Lettonie, Lesotho, Liban, Liberia, Lybie, Lichtenstein ou Luxembourg ?
J'en profite pour vous mettre un truc qui était passé inaperçu, en 2005, au sujet de délocalisation d'usines de production en Roumanie. Un membre dirigeant du FLL exposait sur bravepatrie.com son ressentir face à ces projets, alors que ces productions auraient pu être prises en charge par la Lozère en voie d'indépandantisation :
" La Lozère port de mer sans grève
Bande d’uluberlus sans tuba ni trompette. Une fois de plus alors que notre menace de commander aux éléments a été mis à exécution en réponse à la fin de non-recevoir des plus hautes instances de notre pays (Préfet du Jura, Président de l’amicale des boulistes de Viroflay ou encore Premier Ministre de Progrès), des plaisantins commandités par les réactionnaires de Haute Loire, les dégénérés collaborateurs de la francophonie originaire du Gard traître à tout, des moussaillons bassement cantalous se permettent de plaisanter alors que l’époque n’est plus au rire mais à la réflexion mêlée d’agir communicationnel comme le disais si bien le philosophe typiquement Lozérien Habbermäss. En conséquence le Front de Libération de la Lozère (C) (R) décrète :
- des blessures aux ongles seront infligées aux petits personnages qui parleraient en mal où s’y attèleraient par la pensée (ce qui en plus est lâche) de notre nation fière libre et en voie d’indépendance grâce à l’indéfectible courage de nos troupes aussi vaillantes que nombreuses.
- les canalisations de gaz en plâtres seront mouillées jusqu’à la désintégration totale des habitations de pauvres français.
Nous faisons un appel d’offre pour un ou plusieurs Sous-Marin Nucléaire Lanceur d’Engins. Nous souhaiterions qu’ils soient équipés de moteurs Peugeot car je connais assez bien le concessionnaire sur St-Chély d’Apcher. Messieurs les rigolos l’heure de la douche froide est venue et cela n’a rien du jacusi que vous attendiez. Notre vaguelette (la deuxième puisque nos collègues du F.L. de la Lorraine revendique la 7ème vague des moments de grande marée sur le littoral haut-Normand) n’est que le prélude à une « éjac faç » dont vos lèvres se souviendront.
Gros poutous.
Allah Yole - janvier 2005 "
Je tiens à préciser que certaines idées à consonnance fortement maritime lisibles dans les propos inondés d'opacité et aussi fumeux qu'allumés exposés ci-dessus par cet imam dont le nom coupable laisse entrevoir une probable origine aveyronaise, n'ont strictement rien à voir avec les tendances iodées et océaniques qu'on peut parfois deviner dans mes propres embruns foronautiques, de même que la menace de pratiques aussi débauchées que licencieuses qui sous-jaçent dans la dernière phrase !
http://bravepatrie.com/Face-a-MSF-M-Mattei-invite-les-Francais-a-continuer-d-envoyer-du-pognon,234#forum4167
J'en profite pour vous mettre un truc qui était passé inaperçu, en 2005, au sujet de délocalisation d'usines de production en Roumanie. Un membre dirigeant du FLL exposait sur bravepatrie.com son ressentir face à ces projets, alors que ces productions auraient pu être prises en charge par la Lozère en voie d'indépandantisation :
" La Lozère port de mer sans grève
Bande d’uluberlus sans tuba ni trompette. Une fois de plus alors que notre menace de commander aux éléments a été mis à exécution en réponse à la fin de non-recevoir des plus hautes instances de notre pays (Préfet du Jura, Président de l’amicale des boulistes de Viroflay ou encore Premier Ministre de Progrès), des plaisantins commandités par les réactionnaires de Haute Loire, les dégénérés collaborateurs de la francophonie originaire du Gard traître à tout, des moussaillons bassement cantalous se permettent de plaisanter alors que l’époque n’est plus au rire mais à la réflexion mêlée d’agir communicationnel comme le disais si bien le philosophe typiquement Lozérien Habbermäss. En conséquence le Front de Libération de la Lozère (C) (R) décrète :
- des blessures aux ongles seront infligées aux petits personnages qui parleraient en mal où s’y attèleraient par la pensée (ce qui en plus est lâche) de notre nation fière libre et en voie d’indépendance grâce à l’indéfectible courage de nos troupes aussi vaillantes que nombreuses.
- les canalisations de gaz en plâtres seront mouillées jusqu’à la désintégration totale des habitations de pauvres français.
Nous faisons un appel d’offre pour un ou plusieurs Sous-Marin Nucléaire Lanceur d’Engins. Nous souhaiterions qu’ils soient équipés de moteurs Peugeot car je connais assez bien le concessionnaire sur St-Chély d’Apcher. Messieurs les rigolos l’heure de la douche froide est venue et cela n’a rien du jacusi que vous attendiez. Notre vaguelette (la deuxième puisque nos collègues du F.L. de la Lorraine revendique la 7ème vague des moments de grande marée sur le littoral haut-Normand) n’est que le prélude à une « éjac faç » dont vos lèvres se souviendront.
Gros poutous.
Allah Yole - janvier 2005 "
Je tiens à préciser que certaines idées à consonnance fortement maritime lisibles dans les propos inondés d'opacité et aussi fumeux qu'allumés exposés ci-dessus par cet imam dont le nom coupable laisse entrevoir une probable origine aveyronaise, n'ont strictement rien à voir avec les tendances iodées et océaniques qu'on peut parfois deviner dans mes propres embruns foronautiques, de même que la menace de pratiques aussi débauchées que licencieuses qui sous-jaçent dans la dernière phrase !
http://bravepatrie.com/Face-a-MSF-M-Mattei-invite-les-Francais-a-continuer-d-envoyer-du-pognon,234#forum4167
Surcouf- Membre trop actif
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Re: Le FLL (Front de Libération de la Lozère)
A la lecture du post sur la philatélie et ses dérivés alimentaires, le FLL communique :
https://forum-lozere.1fr1.net/lozere-off-line-f1/philatelie-t2157.htm?sid=031ca14cfc87fb303cca386113e8d7a7#52512
Suite à la publication sur le forum de LOFF de considérations culinaires attenantes à l’un des mets emblématiques de notre nation fière, libre, souveraine et gourmande, et en conséquence de quoi l’état-major d’hommes du mouvement de libération et de mise en vacance de la colonie parisienne, s’est réuni ce jour en conclave en notre capitale de Javols, en treillis-culteur c'est-à-dire une tenue mi agricole mi de camouflage et avons décidé à l’unanimité de rendre publique la déclaration suivante :
- Il y a quelques temps, notre mouvement de lutte pour la reconquête du pouvoir usurpé par des assemblées de rencontre, des conseillers-généraux félons, des quarterons de parisiens en retraite appuyés par les inénarrables homoncules déguisés en insectes rayés qui parasitent encore et toujours nos marches du sud, a subi une honteuse et pathétique tentative d’infiltration par des policiers britanniques. Ce qui prouve, 1, que le complexe militaro-industriel et politique français a eu recours à des mercenaires étrangers, 2, que les rumeurs quant à l’endormissement supposé de nos troupes voire à la dissolution de nos unités combattantes étaient de pures rumeurs aussi farfelues qu’infondées, 3, que le Palais de Buckingham et celui de l’Elysée marchent main dans la main et concourent à une prise en tenaille, basse stratégie de tourne vice révélant leur crainte d’avoir à livrer un combat loyal et frontal renvoyant dos à dos les principes de chevalerie qui nous animent et la veulerie qui les habite, à l’endroit de laquelle nous feront toujours face. Là, sous les conseils amicaux et grammaticaux des professeurs de la langue gabale, il nous est apparu opportun de mettre un point pour ne pas s’asphyxier à la lecture de notre précieux communiqué. L’un de ces infâmes sicaires a la solde des forces d’occupation, répondant au ridicule sobriquet de Bobby, appellation rusée mais qui ne nous a pas trompés, ce qui nous a permis de conduire rapidement une enquête quant à ses origines. A la pointe des méthodes d’investigation, nos services de contre-espionnage ont rapidement identifié l’individu qui eu quand même le temps de travestir l’un de nos chants de marche, pour en faire, après que nous l’ayons libéré car nous sommes magnanimes, un succès de la chanson populaire engagée. Aujourd’hui, alors que refait surface l’exquise purée agrémentée de tome divine, adoucie d’une légère crème fraiche et relevée d’une pointe d’ail, nous dévoilons la teneur originelle de ce que le malfaisant Bobby transforma en avanie et framboise. Les quelques martiaux couplets relatent les pérégrinations d’un de nos régiments de chasseurs-cévenols, patrouillant le long de la frontière sud, surveillant les mouvements des légions doryphoriques gariguettes et des compagnies roqueforcluses larzaciennes.
ALIGOT ET BRANDADE
Elle s’appelait Shérazade
Mais on l'appelait Razade
Pour son blanc aligoté
Dont elle emplissait largement
Les godets.
Elle nous servait à boire
Dans un bled perdu du Gard
Mais c'était pas une gardoise
Elle était d’une autre région
Comm’ ceux de Mende ou Florac
Et même ceux de Malbouzon
D'ailleurs elle était d'Aubrac
Quel aligot.
Aligot et brandade
Sont les mamelles du festin
Elle venait du pays des lauzes
A ne pas confondre avec L’Ardoise*
Petit village du Gard
Qui est à bien des égards
Rhodanien.
Et tout en étant gardienne
L'était avant tout lozérienne
Elle avait appris à Langlade**
A préparer la brandade
Avec de l’huile et de la morue
Plat de poisson qui l’eut cru
Elle qui était plutôt viande
Quel aligot
Aligot et brandade
Sont les mamelles du festin
Un jour prise de fatigue
Ramollie comme une figue
Elle se trompa d’ingrédients
Mis la tome dans la morue
Quel gâchis.
Parmentier et par mégarde
Poisson et fromage fondus
Confuse de sa couillonnade
Elle alla se réfugier
Dans un Macdo aveyronnais
Ou elle servi à bouffer
Des burgers gras et répugnants
Quelle déchéance
Mais
Aligot et brandade
Sont les hirondelles du destin
Dans sa prison aveyronnaise
Shérazade n’est pas à l’aise
Mais un chevalier moustachu
Va délivrer la reclue.
José Bové
A grand coup de démontage
Sort Shérazade de sa cage
Et lui déclare sans ambage
Suis-moi dans mon pugilat
Les OGM pourfendons
Dans le fromage et le poisson
De l’Aubrac à Malbouzon
Quel beau combat.
Moralité :
Aligot et brandade
Sont les rebelles des intestins
* : 30290
** : 48000 Brenoux, où est une pisciculture réputée
https://forum-lozere.1fr1.net/lozere-off-line-f1/philatelie-t2157.htm?sid=031ca14cfc87fb303cca386113e8d7a7#52512
Suite à la publication sur le forum de LOFF de considérations culinaires attenantes à l’un des mets emblématiques de notre nation fière, libre, souveraine et gourmande, et en conséquence de quoi l’état-major d’hommes du mouvement de libération et de mise en vacance de la colonie parisienne, s’est réuni ce jour en conclave en notre capitale de Javols, en treillis-culteur c'est-à-dire une tenue mi agricole mi de camouflage et avons décidé à l’unanimité de rendre publique la déclaration suivante :
- Il y a quelques temps, notre mouvement de lutte pour la reconquête du pouvoir usurpé par des assemblées de rencontre, des conseillers-généraux félons, des quarterons de parisiens en retraite appuyés par les inénarrables homoncules déguisés en insectes rayés qui parasitent encore et toujours nos marches du sud, a subi une honteuse et pathétique tentative d’infiltration par des policiers britanniques. Ce qui prouve, 1, que le complexe militaro-industriel et politique français a eu recours à des mercenaires étrangers, 2, que les rumeurs quant à l’endormissement supposé de nos troupes voire à la dissolution de nos unités combattantes étaient de pures rumeurs aussi farfelues qu’infondées, 3, que le Palais de Buckingham et celui de l’Elysée marchent main dans la main et concourent à une prise en tenaille, basse stratégie de tourne vice révélant leur crainte d’avoir à livrer un combat loyal et frontal renvoyant dos à dos les principes de chevalerie qui nous animent et la veulerie qui les habite, à l’endroit de laquelle nous feront toujours face. Là, sous les conseils amicaux et grammaticaux des professeurs de la langue gabale, il nous est apparu opportun de mettre un point pour ne pas s’asphyxier à la lecture de notre précieux communiqué. L’un de ces infâmes sicaires a la solde des forces d’occupation, répondant au ridicule sobriquet de Bobby, appellation rusée mais qui ne nous a pas trompés, ce qui nous a permis de conduire rapidement une enquête quant à ses origines. A la pointe des méthodes d’investigation, nos services de contre-espionnage ont rapidement identifié l’individu qui eu quand même le temps de travestir l’un de nos chants de marche, pour en faire, après que nous l’ayons libéré car nous sommes magnanimes, un succès de la chanson populaire engagée. Aujourd’hui, alors que refait surface l’exquise purée agrémentée de tome divine, adoucie d’une légère crème fraiche et relevée d’une pointe d’ail, nous dévoilons la teneur originelle de ce que le malfaisant Bobby transforma en avanie et framboise. Les quelques martiaux couplets relatent les pérégrinations d’un de nos régiments de chasseurs-cévenols, patrouillant le long de la frontière sud, surveillant les mouvements des légions doryphoriques gariguettes et des compagnies roqueforcluses larzaciennes.
ALIGOT ET BRANDADE
Elle s’appelait Shérazade
Mais on l'appelait Razade
Pour son blanc aligoté
Dont elle emplissait largement
Les godets.
Elle nous servait à boire
Dans un bled perdu du Gard
Mais c'était pas une gardoise
Elle était d’une autre région
Comm’ ceux de Mende ou Florac
Et même ceux de Malbouzon
D'ailleurs elle était d'Aubrac
Quel aligot.
Aligot et brandade
Sont les mamelles du festin
Elle venait du pays des lauzes
A ne pas confondre avec L’Ardoise*
Petit village du Gard
Qui est à bien des égards
Rhodanien.
Et tout en étant gardienne
L'était avant tout lozérienne
Elle avait appris à Langlade**
A préparer la brandade
Avec de l’huile et de la morue
Plat de poisson qui l’eut cru
Elle qui était plutôt viande
Quel aligot
Aligot et brandade
Sont les mamelles du festin
Un jour prise de fatigue
Ramollie comme une figue
Elle se trompa d’ingrédients
Mis la tome dans la morue
Quel gâchis.
Parmentier et par mégarde
Poisson et fromage fondus
Confuse de sa couillonnade
Elle alla se réfugier
Dans un Macdo aveyronnais
Ou elle servi à bouffer
Des burgers gras et répugnants
Quelle déchéance
Mais
Aligot et brandade
Sont les hirondelles du destin
Dans sa prison aveyronnaise
Shérazade n’est pas à l’aise
Mais un chevalier moustachu
Va délivrer la reclue.
José Bové
A grand coup de démontage
Sort Shérazade de sa cage
Et lui déclare sans ambage
Suis-moi dans mon pugilat
Les OGM pourfendons
Dans le fromage et le poisson
De l’Aubrac à Malbouzon
Quel beau combat.
Moralité :
Aligot et brandade
Sont les rebelles des intestins
* : 30290
** : 48000 Brenoux, où est une pisciculture réputée
Surcouf- Membre trop actif
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Re: Le FLL (Front de Libération de la Lozère)
la seule chose qu'on en commun la brandade et l'aligot c'est qu'ils s'accomodent de pommes de terre
pommes de terre dont sont dailleurs trés friand les doryphores
pommes de terre dont sont dailleurs trés friand les doryphores
Michel- Membre actif
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Re: Le FLL (Front de Libération de la Lozère)
Entendrait-on à nouveau parler du FLL dans le Sud ?
Serait-ce une bonne année pour les Cévenols Révolutionnaires Unifiés ?
C'est ce que pourrait laisser penser une récente intervention, qu'il faut saluer ici, celle de l'Association Ventajolaise Expiatoire, toutefois de sinistre renom*, visant à rassembler dans un esprit constructif en son sein différents groupuscules et à mettre à l'ombre l'Amicale Désespérante du Rouve de l'Eberlûment Tentatoire d'une part et en lumière la piquante Union Bluecharde de l'Action Cassagnacoise (un mouvement fait de rapprochements régionaux improbables et certes un peu confus, il faut bien en convenir) d'autre part.
A moins que ces faux amis mentent, il semblerait qu'un Consensus Utilitaire Libérateur ait été atteint qui permette une bonne pénétration par le Vairon Invasif Testimonial des idéaux révolutionnaires.
Ce serait toutefois sans compter sur la surveillance active, depuis le haut de la montagne, du mouvement d'origine du FLL dans cette région, à savoir l'Association de Barre les Cévennes qui, jumelée à l'action apaisante du Val Vacant certes Fourré, aurait regroupé les Trois Vallées Arécomiques avec la zone Hors Tarn pour constituer une section régionale plus large dans le célèbre mouvement des Toutes Tendances Confondues.
Nulle certitude en effet qu'il faille acheter ce concept sans mot dire.
Il ne faudrait surtout pas croire que ce serait pour autant le moment d'écouler ses bons produits à l'abri du soleil et de ramener sa fraise halle de vente à l'ombre.
Mais, cette fois, sans nul doute, loin des tergiversations politiques habituelles propres aux inter-communalités, c'est à de nouveaux soubresauts d'activisme du FLL qu'il faut se préparer.
* L'effondrement en 1930 de la voie du Céfédé dans la vallée de Ventajols lui avait à l'époque été imputé bien que l'influence du Mouvement Eternisant et Traumatisant d'un Episode par trop Ostentatoire avait à l'époque été également évoquée.
Serait-ce une bonne année pour les Cévenols Révolutionnaires Unifiés ?
C'est ce que pourrait laisser penser une récente intervention, qu'il faut saluer ici, celle de l'Association Ventajolaise Expiatoire, toutefois de sinistre renom*, visant à rassembler dans un esprit constructif en son sein différents groupuscules et à mettre à l'ombre l'Amicale Désespérante du Rouve de l'Eberlûment Tentatoire d'une part et en lumière la piquante Union Bluecharde de l'Action Cassagnacoise (un mouvement fait de rapprochements régionaux improbables et certes un peu confus, il faut bien en convenir) d'autre part.
A moins que ces faux amis mentent, il semblerait qu'un Consensus Utilitaire Libérateur ait été atteint qui permette une bonne pénétration par le Vairon Invasif Testimonial des idéaux révolutionnaires.
Ce serait toutefois sans compter sur la surveillance active, depuis le haut de la montagne, du mouvement d'origine du FLL dans cette région, à savoir l'Association de Barre les Cévennes qui, jumelée à l'action apaisante du Val Vacant certes Fourré, aurait regroupé les Trois Vallées Arécomiques avec la zone Hors Tarn pour constituer une section régionale plus large dans le célèbre mouvement des Toutes Tendances Confondues.
Nulle certitude en effet qu'il faille acheter ce concept sans mot dire.
Il ne faudrait surtout pas croire que ce serait pour autant le moment d'écouler ses bons produits à l'abri du soleil et de ramener sa fraise halle de vente à l'ombre.
Mais, cette fois, sans nul doute, loin des tergiversations politiques habituelles propres aux inter-communalités, c'est à de nouveaux soubresauts d'activisme du FLL qu'il faut se préparer.
* L'effondrement en 1930 de la voie du Céfédé dans la vallée de Ventajols lui avait à l'époque été imputé bien que l'influence du Mouvement Eternisant et Traumatisant d'un Episode par trop Ostentatoire avait à l'époque été également évoquée.
Fraissinet- Membre trop actif
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Re: Le FLL (Front de Libération de la Lozère)
Je crois savoir que les Bataillons Irréductibles des Territoriaux Embarqués s’enfonceront sous peu dans les lignes humides de la Force d’Eradication Nationale Trans Européenne, légion de mercenaires féminins d’Amazonie, jusqu’à ce que l’Ordre Royal des Gabales d’Aubrac Sudistes Margeridiens d’Elite atteigne son paroxysme de bataille avec le renfort des Lozériens Anonymes Natifs Guerriers Unis Engagés. Les Nouveaux Invasifs Mitoyens Organisés Insolemment Séparatistes ne devraient pas s'en relever.
Surcouf- Membre trop actif
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Date d'inscription : 13/02/2007
Re: Le FLL (Front de Libération de la Lozère)
Pfff, trop de monde, cette opération va capoter.
Raoul- Membre trop actif
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Points : 7330
Date d'inscription : 13/02/2007
Re: Le FLL (Front de Libération de la Lozère)
Et tu ne savais pas encore que toutes les Forces Armées Loyalistes Lozériennes Opérationnelles de Parachutistes Exterminateurs, sauf le Mouvement Aubrac Margeride Militant d'Action Intempestive Résolumment Europhobe, étaient de la partie !
Surcouf- Membre trop actif
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Points : 8180
Date d'inscription : 13/02/2007
Re: Le FLL (Front de Libération de la Lozère)
Et ceci sans compter sur la dimension féministe, bien souvent méprisée à l'intérieur du FLL dont heureusement les agissements perturbatoires des Marvejolaises Serverettoises Trélandaises sont contenues par l'association réunie des Canourguaises Albarétives Pelousiennes d'Origine Termoise et Establée.
On est malheureusement bien loin là des Factions Unitaires Caussenardes Karstiques!
On est malheureusement bien loin là des Factions Unitaires Caussenardes Karstiques!
Fraissinet- Membre trop actif
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Points : 9011
Date d'inscription : 03/03/2007
Le pont ceints d'esprits
Le pont ceint d’esprits
Le FLL, Fer de Lance de la Lozérianité, mouvement luttant avec ardeur et art d’heurts au dur labeur de reconquête de la fierté, liberté et souveraineté lozérienne, vient de revendiquer la paralysie des travaux sur la N88 à l’entrée nord-est de Mende. Les militants encerclent les deux ronds points d’accès, déployant tout autour leur génie et leur intelligence comme des cordons sanitaires, provoquant la fermeture de fait du viaduc de Rieucros devant relier le causse d’Auge à la vallée du Lot. Cet axe routier, censé desservir Lyon et Toulouse, doit serpenter sur la Lozère comme un reptile sur le pied de guerre, laissant un trait bitumeux tiré sur des paysages margeridiens, légendaires, millénaires et bucoliques, là même où Du Guesclin ne bu qu’eau, lie que le pauvre assimila mal à cause de sa fraicheur alors qu’il venait de suer contre l’anglais.
Mais au delà de ces deux villes françaises, un complot international vise à aller jusqu’à Vienne capitale de l’Autriche. Pratiquant la politique de l’autruche, les élus locaux n’ont pas vu, ou n’ont pas voulu voir, que derrière l’Autriche se dessine l’ombre sombre de l’Empire Austro-hongrois. Au fin fond de ces régions reculées, peu connues et insécures, peuplées de slaves, de magyars et de finno-ougriens, une organisation transnationale fomente de basses œuvres visant à établir sur l’Europe une hégémonie démoniaque. La Hongrie est un pays mystérieux où vivent les hongres, créatures qui sont aux chevaux ce que les bœufs sont aux taureaux et les eunuques aux harems. Privés par dame nature des attributs sièges de la virilité et par la même de la force, du courage et de l’endurance, ils sont contraints pour survivre à cultiver l’art de la ruse, de la fourberie, de la tromperie, de la trahison et du machiavélisme en général. Privés de potentiel conquérant au sens noble du terme, ils agissent sous couvert de réseaux, de sociétés secrètes, de lobbying et autres pratiques inavouables auxquelles les hommes répugnent, laissant ces machinations putrides aux politiciens, aux francs-maçons et autres comploteurs. Leur capacité d’action et de nuisance est redoutable puisque des enquêtes concordantes amènent à penser qu’ils ont réussi à investir le pouvoir suprême, plaçant un des leurs à la tête d’une république d’Europe occidentale.
Ces hongres sont donc à l’origine de l’expansion asphalteuse du réseau est/ouest traversant notre belle contrée, causant au passage une augmentation de la population asthmatique due aux allergies à la pollution induite par les travaux goudronneux. C’est pour ne pas être enduit de ce goudron que le FLL prend la plume et sonne les bourdons des clochers de tourmente afin que résonne le son des cloches de la résistance à l’envahisseur hongre, ces bougres d’êtres maigres, bruns et grevés de franchise, gredins ourdissant depuis leurs gradins des monts Mátra la trame de leur forfait sous couvert d’une anodine entreprise autoroutière.
Mais quel est le but de ces travaux de romains qui feront de nos compatriotes campagnards des urbains malsains par l’arrivée inéluctable d’essaims de parasites véhiculés par les rubans autoroutiers. Il s’agit ni plus ni moins que de construire une voie de communication qui permettra aux hongres de piller et ramener en Hongrie les nouvelles production vitivinicoles lozériennes, relancées depuis quelques années le long des terrasses du Tarn. En effet, le vignoble hongre vient d’être ravagé par un redoutable mildiou qui a détruit la presque totalité des vignes. Le liquide produit par les verjus restant n’est qu’un ignoble ersatz de ce qui faisait autrefois la réputation de la région, le tokay et le pinot gris. Aujourd’hui, il ne leur reste qu’un pinot gris sans thème, redoutable breuvage qui sortirait un mort de sa bière. Alors pour remplacer le vin de tokay, ils veulent faucher les vins de Gabalie contenant du cépage clinton. Histoire de rester dans le domaine des vins qui rendent fou probablement.
C’était sans compter avec les gardiens de la paix lozérienne qui, en étranglant le goulet routier du viaduc de Rieucros, passe au collet le cou tordu des sournois étrangers pris la main dans le sac, coupant court du coup à l’extension de la pénétrante en macadam. Il n’y aura pas de naphte dans le palais lozérien. On crie « sus à la Hongrie » à l’unisson chez les Frères de Lutte du Landernau gabale. Haro sur l’hongre qui devra payer rubis sur l’ongle le prix de sa forfaiture. L’impudent centaure a tort de croire qu’on guérit d’avoir réveillé les Loups du Gévaudan. Dés lors qu’ils poussent sous la lune leurs longs cris appelant la meute à l’émeute, le sort de l’imprudent ennemi est réglé. Le loup, animal totémique de la nation gabale, emblème du peuple lozérien, icône païenne qui tel un Bouddha peste contre toute invasion, boutera comme les anciens druides thaumaturges le sang impur des sillons de nos vignes et préserva la production du haut vin, coupant court aux projets transhumés qui voulaient détourner notre ambroisie dans les plaines aujourd’hui vides du Danube. Leur fleuve ne rougira pas du détournement de nos tonneaux. Il gardera le bleu ecchymotique des marrons violacés que vont ramasser les hongres saugrenus qui faute de pinard ne récolteront que du beurre noir.
Ils pourront toujours se faire des épinards.
Le FLL, Fer de Lance de la Lozérianité, mouvement luttant avec ardeur et art d’heurts au dur labeur de reconquête de la fierté, liberté et souveraineté lozérienne, vient de revendiquer la paralysie des travaux sur la N88 à l’entrée nord-est de Mende. Les militants encerclent les deux ronds points d’accès, déployant tout autour leur génie et leur intelligence comme des cordons sanitaires, provoquant la fermeture de fait du viaduc de Rieucros devant relier le causse d’Auge à la vallée du Lot. Cet axe routier, censé desservir Lyon et Toulouse, doit serpenter sur la Lozère comme un reptile sur le pied de guerre, laissant un trait bitumeux tiré sur des paysages margeridiens, légendaires, millénaires et bucoliques, là même où Du Guesclin ne bu qu’eau, lie que le pauvre assimila mal à cause de sa fraicheur alors qu’il venait de suer contre l’anglais.
Mais au delà de ces deux villes françaises, un complot international vise à aller jusqu’à Vienne capitale de l’Autriche. Pratiquant la politique de l’autruche, les élus locaux n’ont pas vu, ou n’ont pas voulu voir, que derrière l’Autriche se dessine l’ombre sombre de l’Empire Austro-hongrois. Au fin fond de ces régions reculées, peu connues et insécures, peuplées de slaves, de magyars et de finno-ougriens, une organisation transnationale fomente de basses œuvres visant à établir sur l’Europe une hégémonie démoniaque. La Hongrie est un pays mystérieux où vivent les hongres, créatures qui sont aux chevaux ce que les bœufs sont aux taureaux et les eunuques aux harems. Privés par dame nature des attributs sièges de la virilité et par la même de la force, du courage et de l’endurance, ils sont contraints pour survivre à cultiver l’art de la ruse, de la fourberie, de la tromperie, de la trahison et du machiavélisme en général. Privés de potentiel conquérant au sens noble du terme, ils agissent sous couvert de réseaux, de sociétés secrètes, de lobbying et autres pratiques inavouables auxquelles les hommes répugnent, laissant ces machinations putrides aux politiciens, aux francs-maçons et autres comploteurs. Leur capacité d’action et de nuisance est redoutable puisque des enquêtes concordantes amènent à penser qu’ils ont réussi à investir le pouvoir suprême, plaçant un des leurs à la tête d’une république d’Europe occidentale.
Ces hongres sont donc à l’origine de l’expansion asphalteuse du réseau est/ouest traversant notre belle contrée, causant au passage une augmentation de la population asthmatique due aux allergies à la pollution induite par les travaux goudronneux. C’est pour ne pas être enduit de ce goudron que le FLL prend la plume et sonne les bourdons des clochers de tourmente afin que résonne le son des cloches de la résistance à l’envahisseur hongre, ces bougres d’êtres maigres, bruns et grevés de franchise, gredins ourdissant depuis leurs gradins des monts Mátra la trame de leur forfait sous couvert d’une anodine entreprise autoroutière.
Mais quel est le but de ces travaux de romains qui feront de nos compatriotes campagnards des urbains malsains par l’arrivée inéluctable d’essaims de parasites véhiculés par les rubans autoroutiers. Il s’agit ni plus ni moins que de construire une voie de communication qui permettra aux hongres de piller et ramener en Hongrie les nouvelles production vitivinicoles lozériennes, relancées depuis quelques années le long des terrasses du Tarn. En effet, le vignoble hongre vient d’être ravagé par un redoutable mildiou qui a détruit la presque totalité des vignes. Le liquide produit par les verjus restant n’est qu’un ignoble ersatz de ce qui faisait autrefois la réputation de la région, le tokay et le pinot gris. Aujourd’hui, il ne leur reste qu’un pinot gris sans thème, redoutable breuvage qui sortirait un mort de sa bière. Alors pour remplacer le vin de tokay, ils veulent faucher les vins de Gabalie contenant du cépage clinton. Histoire de rester dans le domaine des vins qui rendent fou probablement.
C’était sans compter avec les gardiens de la paix lozérienne qui, en étranglant le goulet routier du viaduc de Rieucros, passe au collet le cou tordu des sournois étrangers pris la main dans le sac, coupant court du coup à l’extension de la pénétrante en macadam. Il n’y aura pas de naphte dans le palais lozérien. On crie « sus à la Hongrie » à l’unisson chez les Frères de Lutte du Landernau gabale. Haro sur l’hongre qui devra payer rubis sur l’ongle le prix de sa forfaiture. L’impudent centaure a tort de croire qu’on guérit d’avoir réveillé les Loups du Gévaudan. Dés lors qu’ils poussent sous la lune leurs longs cris appelant la meute à l’émeute, le sort de l’imprudent ennemi est réglé. Le loup, animal totémique de la nation gabale, emblème du peuple lozérien, icône païenne qui tel un Bouddha peste contre toute invasion, boutera comme les anciens druides thaumaturges le sang impur des sillons de nos vignes et préserva la production du haut vin, coupant court aux projets transhumés qui voulaient détourner notre ambroisie dans les plaines aujourd’hui vides du Danube. Leur fleuve ne rougira pas du détournement de nos tonneaux. Il gardera le bleu ecchymotique des marrons violacés que vont ramasser les hongres saugrenus qui faute de pinard ne récolteront que du beurre noir.
Ils pourront toujours se faire des épinards.
Surcouf- Membre trop actif
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Re: Le FLL (Front de Libération de la Lozère)
Surcouf a écrit:Le pont ceint d’esprits
C’est pour ne pas être enduit de ce goudron que le FLL prend la plume.
Sans toutefois mettre en cause le terrifiant Complot Inhibiteur Auxillacois, force est de reconnaître que, pour faire couler de l'encre, le Fomenteur Laveyrunais* du Lot ne lésine pas sur les moyens.
* Mais que peut on attendre de bon de ce sang mêlé de ruthènes en rut et de nos accortes gabalitaines ?
Aujourd’hui, il ne leur reste qu’un pinot gris sans thème, redoutable breuvage qui sortirait un mort de sa bière.
Ce propos, morbide, est bien obscur et ma version en est qu'il s'agit là en réalité du pineau, ce fameux vin cuit mêlé d'eau de vie (Glossaire saintongeais).
Fraissinet- Membre trop actif
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