L'été, le rosé.
4 participants
Page 1 sur 1
L'été, le rosé.
Rosé d'été.
Aujourd’hui, le rosé s’est embourgeoisé. Profitant des progrès considérables dans les méthodes de vinification, il a gagné en qualité et intéresse une clientèle autrefois boudeuse, prête à mettre le prix : 6 à 8 euros pour un bon rosé du Languedoc et plus de 10 euros pour quelques stars en côtes de Provence ou Bandol. Pour en arriver là, il a aussi fallu que les viticulteurs travaillent sur la couleur : sans véritable lien avec le goût, l’éclaircissement du rosé est un indéniable élément de son nouveau succès. On admire la couleur "pelure d’oignon" d’un rosé de Provence (sur sa gambas grillée et son encornet à la plancha).
EMMANUÈLE PEYRET, Libé du 10 juillet 2008.
Du rosé et de sa couleur.
«Le rose, c’est une couleur "douce", liée à l’affectif, aux sentiments tendres, alors que le rouge est dans l’expression de sentiments forts, de passion, de violence. Avec le rose nous sommes dans le charme, la féminité… Le vin rosé, vin "léger", est souvent associé à la féminité, un rosé féminin, discret, doux, romantique, candide, à la fraîcheur fragile et sucrée, à la séduction discrète qui s’opposerait à un rosé plus provocant, robuste, piquant et masculin. Le rose est intimement lié à la rose qui lui a donné son nom, naturellement empreint de la symbolique de cette fleur, "chair du divin" selon Dante, associée aux charmes et aux plaisirs. C’est une couleur qui joue la carte du tendre et du bonheur : être couché sur un lit de roses, voir la vie en rose ou couleur de rose, carton rose, période rose, être sur un nuage rose… Féminité mais aussi gourmandise, le rose se glisse aussi du côté de l’enfance : rose bonbon, guimauve, praline, cerise, framboise… Ou du rose buvard, suave et velouté de l’écolier d’autrefois. Féminité toujours avec le roman rose ou à l’eau de rose, utopie d’un monde enchanté où tout est sucré, moelleux, fondant. Parfois considéré comme niais et chichiteux, il peut aussi être provoquant. C’est une couleur qui joue les ambiguïtés, entre "la" rose et "le" rose. Celle d’une couleur insaisissable, sous-rouge selon les physiciens, "bâtard du rouge triomphant" qui se fond dans les rouges, les jaunes, les violets… Rose si féminin, mais aussi lieu de l’ambivalence, de l’entre-deux, du double. Le rose, c’est aussi la chair, la nudité, l’érotisme, le sexe : Rose, c’est l’anagramme d’Eros. * »
Annie Mollard-Desfours historienne CNRS, Auteure du Dictionnaire des mots et expressions de couleur. Présidente du Centre français de la couleur.
http://www.liberation.fr/vous/338158.FR.php
* quand ce vin conduit au lit et aux galipettes, il devient le rosé des taies. D.G.
Aujourd’hui, le rosé s’est embourgeoisé. Profitant des progrès considérables dans les méthodes de vinification, il a gagné en qualité et intéresse une clientèle autrefois boudeuse, prête à mettre le prix : 6 à 8 euros pour un bon rosé du Languedoc et plus de 10 euros pour quelques stars en côtes de Provence ou Bandol. Pour en arriver là, il a aussi fallu que les viticulteurs travaillent sur la couleur : sans véritable lien avec le goût, l’éclaircissement du rosé est un indéniable élément de son nouveau succès. On admire la couleur "pelure d’oignon" d’un rosé de Provence (sur sa gambas grillée et son encornet à la plancha).
EMMANUÈLE PEYRET, Libé du 10 juillet 2008.
Du rosé et de sa couleur.
«Le rose, c’est une couleur "douce", liée à l’affectif, aux sentiments tendres, alors que le rouge est dans l’expression de sentiments forts, de passion, de violence. Avec le rose nous sommes dans le charme, la féminité… Le vin rosé, vin "léger", est souvent associé à la féminité, un rosé féminin, discret, doux, romantique, candide, à la fraîcheur fragile et sucrée, à la séduction discrète qui s’opposerait à un rosé plus provocant, robuste, piquant et masculin. Le rose est intimement lié à la rose qui lui a donné son nom, naturellement empreint de la symbolique de cette fleur, "chair du divin" selon Dante, associée aux charmes et aux plaisirs. C’est une couleur qui joue la carte du tendre et du bonheur : être couché sur un lit de roses, voir la vie en rose ou couleur de rose, carton rose, période rose, être sur un nuage rose… Féminité mais aussi gourmandise, le rose se glisse aussi du côté de l’enfance : rose bonbon, guimauve, praline, cerise, framboise… Ou du rose buvard, suave et velouté de l’écolier d’autrefois. Féminité toujours avec le roman rose ou à l’eau de rose, utopie d’un monde enchanté où tout est sucré, moelleux, fondant. Parfois considéré comme niais et chichiteux, il peut aussi être provoquant. C’est une couleur qui joue les ambiguïtés, entre "la" rose et "le" rose. Celle d’une couleur insaisissable, sous-rouge selon les physiciens, "bâtard du rouge triomphant" qui se fond dans les rouges, les jaunes, les violets… Rose si féminin, mais aussi lieu de l’ambivalence, de l’entre-deux, du double. Le rose, c’est aussi la chair, la nudité, l’érotisme, le sexe : Rose, c’est l’anagramme d’Eros. * »
Annie Mollard-Desfours historienne CNRS, Auteure du Dictionnaire des mots et expressions de couleur. Présidente du Centre français de la couleur.
http://www.liberation.fr/vous/338158.FR.php
* quand ce vin conduit au lit et aux galipettes, il devient le rosé des taies. D.G.
Dana Grolulu- Membre
- Nombre de messages : 255
Age : 60
Points : 6665
Date d'inscription : 15/02/2007
Re: L'été, le rosé.
Moi, quand une Annie Mollard me parle d'Eros, ça ne m'engage pas trop.
Elle est super bavarde, elle peut tenir le crachoir pendant des heures.
Elle est super bavarde, elle peut tenir le crachoir pendant des heures.
Raoul- Membre trop actif
- Nombre de messages : 2925
Points : 7330
Date d'inscription : 13/02/2007
Re: L'été, le rosé.
Les caves de Béziers lance le "20 rosé" en canette.
http://www.midilibre.com/articles/2008/07/08/20080708-EVENEMENT-Cet-ete-le-20-rose-se-boit-en-canette.php5
http://www.cavesdebeziers.com/vin.php
http://www.midilibre.com/articles/2008/07/08/20080708-EVENEMENT-Cet-ete-le-20-rose-se-boit-en-canette.php5
http://www.cavesdebeziers.com/vin.php
Dana Grolulu- Membre
- Nombre de messages : 255
Age : 60
Points : 6665
Date d'inscription : 15/02/2007
Re: L'été, le rosé.
J'ai bu ce wwek-end un vin blanc de l'Abbaye de Valmagne, terroir de Villeveyrac, dans l'hérault. C'est un assemblage de roussanne, marsanne et de viognier. D'une jolie couleur jaune chaud, le vin est légèrement gras, fruité, avec un trés léger arome de miel et d'abricot sec. Il tombe à point nommé sur un poisson en sauce.
Dana Grolulu- Membre
- Nombre de messages : 255
Age : 60
Points : 6665
Date d'inscription : 15/02/2007
Re: L'été, le rosé.
Des chinois de Lozère travaillent dans l'Hérault à la séduction de la reine d'Angleterre !
Un vin d'Oc veut séduire la reine d'Angleterre
Le domaine Calage-Resseguier, qui finit ses vendanges tardives, fournit déjà l'Assemblée nationale. Huan Yang vient de Chine, où la culture de la vigne s'éveille à peine. Le moult, la fermentation, la vinification ne font pas partie du vocabulaire usuel. Encore moins les vendanges tardives. Comme celles que la jeune Asiatique a découvertes ce lundi, à Saint-Bauzille-de-la-Sylve, au domaine Calage-Resseguier .
Avec huit autres lycéens, comme elle, de l'école hôtelière de Saint-Chély-d'Apcher, en Lozère, Huan Yang compose la colle conduite par Léon Calage, Bernard Resseguier et Marc Portal, le trio à la tête de l'exploitation de huit hectares. L'ambiance est joyeuse. Les patrons ne chargent pas la mule. Les vendangeurs d'un jour ont eu droit à un bon petit déjeuner avant de se lancer dans les rangées. Dans les seaux, du grenache blanc. Il viendra composer, avec le chardonnay ramassé il y a une dizaine de jours, la cuvée Ficus, vinifiée et élevée quatorze mois en barriques, idéale pour accompagner le foie gras.
« Depuis cinq ans, on accueille la filière sommellerie de Saint-Chély. Les élèves suivent assidûment tout le processus d'élaboration du cru », observe Léon Calage. Il faut dire qu'ils sont à bonne école. Les maîtres des lieux ne sont pas nés de la dernière pluie. En 2001, quand ils ont fondé le domaine, Léon et Bernard cultivaient déjà la terre. Marc, oenologue de formation, parcourait le globe pour prodiguer ses conseils. Copains d'enfance, ils connaissaient parfaitement leur complémentarité pour faire tourner l'entreprise. Marc est le nez du trio. Bernard évolue à l'intendance des vignes et des papiers. Léon, le verbe facile, est aussi sur le terrain et supervise la vente.
« On nous a pris pour des fous de partir comme ça », remarque Bernard Resseguier. En peu de temps, les trois amis ont fait leur bonhomme de chemin. Le bouche- à-oreille. La simplicité. Les kilomètres pour convaincre de la qualité de leurs neuf cuvées élaborées en culture raisonnée. Quelque 50 000 bouteilles, des bonnes tables fidèles chaque année. Leur cave particulière est déjà sur les tables de l'Assemblée nationale. Bientôt le Sénat. Et si tout roule : le château des Windsor. Dans une barrique, un vin mijote. Commande spéciale d'un Britannique qui chasse avec le prince Charles. Un peu et la reine d'Angleterre pourrait se laisser tenter. Et la Chine... sûrement avec Huan Yang, séduite, pour ambassadrice.
http://www.midilibre.com/vinsdusud/articles/2008/11/18/20081118-A
Un vin d'Oc veut séduire la reine d'Angleterre
Le domaine Calage-Resseguier, qui finit ses vendanges tardives, fournit déjà l'Assemblée nationale. Huan Yang vient de Chine, où la culture de la vigne s'éveille à peine. Le moult, la fermentation, la vinification ne font pas partie du vocabulaire usuel. Encore moins les vendanges tardives. Comme celles que la jeune Asiatique a découvertes ce lundi, à Saint-Bauzille-de-la-Sylve, au domaine Calage-Resseguier .
Avec huit autres lycéens, comme elle, de l'école hôtelière de Saint-Chély-d'Apcher, en Lozère, Huan Yang compose la colle conduite par Léon Calage, Bernard Resseguier et Marc Portal, le trio à la tête de l'exploitation de huit hectares. L'ambiance est joyeuse. Les patrons ne chargent pas la mule. Les vendangeurs d'un jour ont eu droit à un bon petit déjeuner avant de se lancer dans les rangées. Dans les seaux, du grenache blanc. Il viendra composer, avec le chardonnay ramassé il y a une dizaine de jours, la cuvée Ficus, vinifiée et élevée quatorze mois en barriques, idéale pour accompagner le foie gras.
« Depuis cinq ans, on accueille la filière sommellerie de Saint-Chély. Les élèves suivent assidûment tout le processus d'élaboration du cru », observe Léon Calage. Il faut dire qu'ils sont à bonne école. Les maîtres des lieux ne sont pas nés de la dernière pluie. En 2001, quand ils ont fondé le domaine, Léon et Bernard cultivaient déjà la terre. Marc, oenologue de formation, parcourait le globe pour prodiguer ses conseils. Copains d'enfance, ils connaissaient parfaitement leur complémentarité pour faire tourner l'entreprise. Marc est le nez du trio. Bernard évolue à l'intendance des vignes et des papiers. Léon, le verbe facile, est aussi sur le terrain et supervise la vente.
« On nous a pris pour des fous de partir comme ça », remarque Bernard Resseguier. En peu de temps, les trois amis ont fait leur bonhomme de chemin. Le bouche- à-oreille. La simplicité. Les kilomètres pour convaincre de la qualité de leurs neuf cuvées élaborées en culture raisonnée. Quelque 50 000 bouteilles, des bonnes tables fidèles chaque année. Leur cave particulière est déjà sur les tables de l'Assemblée nationale. Bientôt le Sénat. Et si tout roule : le château des Windsor. Dans une barrique, un vin mijote. Commande spéciale d'un Britannique qui chasse avec le prince Charles. Un peu et la reine d'Angleterre pourrait se laisser tenter. Et la Chine... sûrement avec Huan Yang, séduite, pour ambassadrice.
http://www.midilibre.com/vinsdusud/articles/2008/11/18/20081118-A
Dana Grolulu- Membre
- Nombre de messages : 255
Age : 60
Points : 6665
Date d'inscription : 15/02/2007
Vin rosé issu de coupage
Fin janvier 2009, les 27 représentants de l'UE (France comprise) ont adopté un projet de règlement autorisant le coupage entre vin blanc et vin rouge pour l'obtention de rosés ou de rouges plus légers en couleur . Le projet a été envoyé à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) pour qu'il puisse être consulté par les pays tiers. Après une consultation de 60 jours qu'il pourra être validé.
L'objectif de la Commission est simple: libérer l'UE des "entraves oenologiques" pour s'ouvrir de nouveaux marchés, notamment la Chine. Ce procédé de coupage pour fabriquer du rosé est déjà pratiqué par l'Afrique du Sud et l'Australie. Il est considéré comme une hérésie par les professionnels français.
Le rosé "authentique" est produit à partir de raisins rouges dont la pulpe et la peau sont macérées durant une durée relativement courte (de 6 heures à une journée).
Les professionnels français vont faire du lobbying pour tenter d'empêcher l'adoption définitive du texte à Bruxelles lors du vote définitif.
Si le coupage était finalement autorisé, ils souhaitent que la technique de production du vin soit inscrite clairement sur la bouteille au nom de l'information du consommateur et de la transparence.
Selon les professionnels viticoles, ce projet, s'il était adopté, mettrait en péril plusieurs dizaines de milliers d'emplois en France, en particulier en Provence, grande productrice de rosés. "Ce serait un revers terrible alors que la consommation de rosé se développe considérablement depuis dix ans".
http://www.liberation.fr/economie/0101553441-la-france-se-fache-tout-rouge-contre-le-faux-rose
L'objectif de la Commission est simple: libérer l'UE des "entraves oenologiques" pour s'ouvrir de nouveaux marchés, notamment la Chine. Ce procédé de coupage pour fabriquer du rosé est déjà pratiqué par l'Afrique du Sud et l'Australie. Il est considéré comme une hérésie par les professionnels français.
Le rosé "authentique" est produit à partir de raisins rouges dont la pulpe et la peau sont macérées durant une durée relativement courte (de 6 heures à une journée).
Les professionnels français vont faire du lobbying pour tenter d'empêcher l'adoption définitive du texte à Bruxelles lors du vote définitif.
Si le coupage était finalement autorisé, ils souhaitent que la technique de production du vin soit inscrite clairement sur la bouteille au nom de l'information du consommateur et de la transparence.
Selon les professionnels viticoles, ce projet, s'il était adopté, mettrait en péril plusieurs dizaines de milliers d'emplois en France, en particulier en Provence, grande productrice de rosés. "Ce serait un revers terrible alors que la consommation de rosé se développe considérablement depuis dix ans".
http://www.liberation.fr/economie/0101553441-la-france-se-fache-tout-rouge-contre-le-faux-rose
Dana Grolulu- Membre
- Nombre de messages : 255
Age : 60
Points : 6665
Date d'inscription : 15/02/2007
Re: L'été, le rosé.
L'info est maintenant sortie dans plusieurs journaux et à la télé ! Les français y sont majoritairement opposés, surtout là où on fait du rosé : Languedoc, Provence, Anjou ... Evidemment les Ch'tis buveurs de bière se sentent moins concernés !
Pour une fois, les gens ne veulent pas mettre de leurre dans les pinards !
Pour une fois, les gens ne veulent pas mettre de leurre dans les pinards !
Dana Grolulu- Membre
- Nombre de messages : 255
Age : 60
Points : 6665
Date d'inscription : 15/02/2007
Re: L'été, le rosé.
Dana Grolulu a écrit:L'info est maintenant sortie dans plusieurs journaux et à la télé ! Les français y sont majoritairement opposés, surtout là où on fait du rosé : Languedoc, Provence, Anjou ... Evidemment les Ch'tis buveurs de bière se sentent moins concernés !
Pour une fois, les gens ne veulent pas mettre de leurre dans les pinards !
Et pourtant, ils le font depuis longtemps, notamment du fait d'un lozérien dont la réputation descend jusqu'au cul de chaque bouteille!
Fraissinet- Membre trop actif
- Nombre de messages : 2190
Age : 124
Points : 9011
Date d'inscription : 03/03/2007
Re: L'été, le rosé.
De qui s'agit il ?Fraissinet a écrit: du fait d'un lozérien dont la réputation descend jusqu'au cul de chaque bouteille
Dana Grolulu- Membre
- Nombre de messages : 255
Age : 60
Points : 6665
Date d'inscription : 15/02/2007
Re: L'été, le rosé.
Dana Grolulu a écrit:De qui s'agit il ?Fraissinet a écrit: du fait d'un lozérien dont la réputation descend jusqu'au cul de chaque bouteille
dans cette affaire,par notre dame,il est blanc comme neige.
kaïou- Membre trop actif
- Nombre de messages : 6431
Age : 74
Points : 9813
Date d'inscription : 13/02/2007
Re: L'été, le rosé.
Dana Grolulu a écrit:De qui s'agit il ?Fraissinet a écrit: du fait d'un lozérien dont la réputation descend jusqu'au cul de chaque bouteille
Le natif de Nojaret, et sa Chaptalisation ?
Invité- Invité
Re: L'été, le rosé.
Stupeur (et tremblements), vous dites vrai !
N'oublions pas quand même que l'arrière-grand-mère du second mari de la mère à Chaptal était une nordiste native de Brioude ! L'homme de Nojaret n'est donc pas tout à fait un authentique lozérien !
Dana Grolulu- Membre
- Nombre de messages : 255
Age : 60
Points : 6665
Date d'inscription : 15/02/2007
Picole et co2
Picole et taux de co2, peut-on boire et rester vert ?
D'après le magazine américain (ça commence bien !) Mother Jones, on peut modeler sa consommation pour diminuer l'équivalent co2 consommé. Déjà, il vaut mieux boire du pinard issu de tetra Pak (enfer et pute en faction !) que de bouteille en verre, à cause du poids de l'emballage et de son influence sur le transport. Idem pour la bière, elle est plus ecocitoyenne en canette alu et plus encore en fût !
Les alcools forts sont plus polluants car ils demandent plus d'étapes d'élaboration, notamment gin et vodka (la Zubrowska à l'herbe à bison nécessite en plus le désherbage massif de surfaces gigantesques). Pareil pour le rhum (damned !) dont la fabrication consomme un max d'énergie. De plus, Bacardi (aie !) rejette ses déchets dans les rivières.
Donc, soyez propres et solidaires, buvez du vin fait près de chez vous et conditionné en tonneau.
http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2010/12/08/alcoologique-comment-boire-alcoolise-mais-ecolo-mother-jones/
D'après le magazine américain (ça commence bien !) Mother Jones, on peut modeler sa consommation pour diminuer l'équivalent co2 consommé. Déjà, il vaut mieux boire du pinard issu de tetra Pak (enfer et pute en faction !) que de bouteille en verre, à cause du poids de l'emballage et de son influence sur le transport. Idem pour la bière, elle est plus ecocitoyenne en canette alu et plus encore en fût !
Les alcools forts sont plus polluants car ils demandent plus d'étapes d'élaboration, notamment gin et vodka (la Zubrowska à l'herbe à bison nécessite en plus le désherbage massif de surfaces gigantesques). Pareil pour le rhum (damned !) dont la fabrication consomme un max d'énergie. De plus, Bacardi (aie !) rejette ses déchets dans les rivières.
Donc, soyez propres et solidaires, buvez du vin fait près de chez vous et conditionné en tonneau.
http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2010/12/08/alcoologique-comment-boire-alcoolise-mais-ecolo-mother-jones/
Dana Grolulu- Membre
- Nombre de messages : 255
Age : 60
Points : 6665
Date d'inscription : 15/02/2007
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum