Olaf et Violine
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Fraissinet
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Olaf et Violine
Nous reviennent en mémoire aussitôt lu ce titre tous ces merveilleux contes scandinaves qui bercèrent notre enfance et ces admirables (de lapin) histoires d’amour de légende.
Fraissinet- Membre trop actif
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Date d'inscription : 03/03/2007
1ère époque : Les contes
Yull et le moulin magique
Le père d'Olga et de Yull s'en va pour les grands pays froids, laissant comme souvenir à ses filles leur jolie ferme. Olga, qui n'aime pas sa jeune soeur, la jette dehors et lui dit d'apporter une cuisse de vache au grand troll de la montagne, espérant ainsi se débarrasser de Yull et garder la ferme pour elle.
Ce qu'elle ne sait pas, c'est que Yull, grâce à son grand coeur, ne va pas se faire manger. Sur sa route, elle va rencontrer Gust, le lutin gardien de la forêt, qui va l'aider à trouver le chemin de la grotte où demeure le Troll.
Un renard affamé lui révèlera le secret du géant de la forêt.
Le Troll y possède un moulin magique.
Quels sont ses pouvoirs, vous aimeriez bien le savoir ?
Pour cela, il faudra essayer de le retrouver…
Thor et Thrym : le vol de Mjollnir
Un matin en s'éveillant, Thor s'aperçoit que son marteau, Mjollnir, a disparu.
Troublé, il va prendre conseil auprès de Loki.
Le marteau précieux a sans doute été ravi par quelque géant, dit Loki, qui s'offre lui-même de chercher le marteau.
Pour la recherche du marteau, il emprunte à la déesse Freyja son vêtement magique à plumes, qui permet de traverser les airs et gagne à tire d'ailes le séjour des géants.
Il y rencontre bientôt le géant Thrym, l'interroge et apprend que c'est lui le ravisseur.
Le marteau a été caché sous terre à huit brassées de profondeur : Thrym ne consentira à rendre le marteau que si l'on lui donne la main de Freyja.
Cette réponse rapportée aux dieux les jette dans la consternation.
Ils se réunissent, délibèrent, mais ne trouvent pas de solution.
Loki se résigne donc à prier Freyja d'accepter le marché qu'on lui propose, mais elle s'y refuse, indignée et ressent un si grand courroux que les veines de son cou se gonflent jusqu'à faire éclater son beau collier d'or qui roule à terre.
Dans leur embarras, les Ases se résolvent alors à un stratagème.
On revêtira Thor lui-même d'habits de femme, on lui passera au cou le collier de Freyja et on le recouvrira d'un voile de mariée.
Après quelques hésitations, Thor finit par se prêter à cette mascarade.
Vêtu en femme, il se rend au pays de Thrym où Loki l'accompagne, déguisé en servante. Les deux Ases reçoivent chez le géant un accueil magnifique.
Dès le premier soir, Thrym fait préparer le festin des noces.
La supposée fiancée fait montre d'un appétit prodigieux : à elle seule, elle a dévoré tout ce qu'on avait réservé aux femmes du Palais, c'est-à-dire un bœuf entier, huit saumons, de nombreuses épices. Elle boit de surcroît trois tonnes d'hydromel.
Le géant s'étonne grandement d'une telle voracité, mais Loki n'est point embarrassé de lui donner l'explication que, pendant huit jours entiers, dit-il, Freyja n'a rien voulu manger ni boire, tant était violente la nostalgie qui la poussait vers le pays des géants.
Thrym, rasséréné et plus épris que jamais, veut embrasser la futur mariée, mais quand il lève le voile qui couvre le visage de la déesse, il ressent un tel effroi à voir les éclairs qui jaillissent de ses yeux qu'il fait un bond en arrière.
Loki l'apaise encore lui précisant que, pendant les huit dernières nuits, déclare-t-il, Freyja n'a pas dormi, tant elle était agitée du désir de partir pour le pays des géants et c'est pourquoi ses yeux jettent un tel feu.
À ce moment, désireux de donner à son union avec Freyja la consécration rituelle, Thrym envoie chercher le marteau Mjollnir et ordonne que, selon la coutume, on le pose sur les genoux de la fiancée.
Le coeur de Thor rit dans sa poitrine.
D'une main vigoureuse, le dieu saisit l'arme et, la brandissant joyeusement, abat Thrym et toute sa suite de géants. Puis, satisfait et calmé, retourne à Asgard.
Pour résumer, Thor tue Thrym.
Et on croyait que c'était la désaffection des voyageurs pour les tortillards qui justifiait que…
La Huldra et le Trappeur
Un habitant, natif de Systrand, passait un hiver à poser des collets et des pièges dans le but de prendre quelque animal. Il logeait avec son fidèle chien dans un refuge aménagé dans une église. Un après-midi, alors qu'il était occupé à cuisiner à même le sol, il entendit une sorte de petit bruit suspect.
Quelque chose grattait dehors, contre le mur.
Phénomène étrange, étant donné que les murs de l'abri étaient en pierre et que le toit était fait de chaume.
Peu de temps après, quelqu'un s'engagea dans l'entrée et frappa à la porte.
Le chien se mit à hurler et ses poils se dressèrent sur son échine...
Entra alors une magnifique jeune fille.
Le trappeur n'avait jamais vu une telle beauté. Elle portait un corset rouge et une longue jupe bleue, la ceignant parfaitement, mettant en valeur ses formes franches et généreuses.
Elle avait de très longs cheveux clairs, d'un blond qui rappelait le blé des champs et qui lui tombaient jusqu'à la taille.
Le jeune homme était sous le charme, ébahi de voir une telle apparition dans son refuge de fortune au milieu de l'hiver, à 10 km de toute habitation, et avec une couche de neige d'une épaisseur à décourager les plus téméraires.
Elle commenca à lui parler, lui demandant gentiment s'il ne se sentait pas un peu seul, ici, au milieu de l'hiver, dans cet abri si isolé.
Elle rit, parla, tournant, dansant, se pavanant devant lui.
Le jeune homme ne pouvait rester insensible devant un tel spectacle.
Enchanté, il répondait, riant et plaisantant avec elle, se sentant parfaitement à son aise, gagné par une allégresse soudaine.
Sans plus attendre, il lui proposa de rester un peu plus avec lui, pour oublier sa solitude.
Une étrange expression passa sur le visage de la jeune fille qui lui tourna prestement le dos pour masquer son émoi.
Le chasseur aperçut alors brievement une longue queue (un travesti, cette Huldra ?) qu'elle tentait de camoufler sous sa jolie jupe bleue.
Frappé de stupéfaction, il fit immédiatement le lien avec les histoires qu'il avait entendues sur les Huldra et leur goût prononcé pour les jeunes hommes chrétiens...
Il se sentit défaillir à l'idée de l'après midi qu'il venait de passer.
Ne venait-il pas de faire une déclaration à cette jeune fille, ici même, dans une église ? Lorsqu'elle lui fit face de nouveau, le jeune homme n'avait plus le coeur à la fête et l'esprit à la plaisanterie; il ne se prêtait plus au jeu de la nymphe.
Elle, continuait à rire et à plaisanter.
Voyant son humeur sombre et son mutisme, elle lui demanda s'il y avait un souci ou s'il avait un problème avec les femmes...
Il ne prit même pas la peine de répondre.
Dans la soirée, il trouva un prétexte pour s'éclipser un moment à l'extérieur, accompagné de son chien. La lune était pleine et haute, brillant de tous ses feux, éclairant la neige et la forêt hivernale.
Mais quelque chose brillait et scintillait de façon presque aveuglante contre le mur de la vieille église, éclipsant l'astre.
S'approchant, il découvrit que ce n'était autre chose que les skis de la Huldra.
Entourés d'un halo de lumière, ils semblaient irradier.
Fasciné, le trappeur les examina soigneusement.
Ils étaitent faits de bronze.
Piqué par la curiosité, il les enfila, attrapa les bâtons et se lança dans la neige.
Les skis étaient d'une facture exceptionnelle, glissant dans la neige avec une irréelle rapidité, tant et si bien que le chien n'arrivait même pas à le rattraper.
La Huldra restée seule dans le refuge commenca à s'impatienter et à se douter de s'être faite duper.
Elle s'aventura à l'exterieur, cherchant de ses beaux et grands yeux, des traces de son prétendant. Elle ne mit pas longtemps à l'apercevoir, dévalant le flanc de montagne à toute allure. Se tournant vers le mur où elle avait laissé ses skis, elle se rendit compte qu'ils avaient disparu.
Furieuse, fulminant, elle comprit la traîtrise de celui qu'elle avait essayé de séduire. Elle chaussa les skis du chasseur, prit en main ses bâtons et se lança à sa poursuite. Les skis étaient d'une bien piètre qualité, faits de simples morceaux de bois de saule, mal sertis. Elle ne pouvait espérer le rattraper, lui qui utilisait ses skis magiques... Elle ne put rejoindre l'homme mais elle se vengea sur le chien à qui elle brisa l'échine d'un rageur coup de bâton. Le jeune homme put regagner son village sain et sauf.
Le père d'Olga et de Yull s'en va pour les grands pays froids, laissant comme souvenir à ses filles leur jolie ferme. Olga, qui n'aime pas sa jeune soeur, la jette dehors et lui dit d'apporter une cuisse de vache au grand troll de la montagne, espérant ainsi se débarrasser de Yull et garder la ferme pour elle.
Ce qu'elle ne sait pas, c'est que Yull, grâce à son grand coeur, ne va pas se faire manger. Sur sa route, elle va rencontrer Gust, le lutin gardien de la forêt, qui va l'aider à trouver le chemin de la grotte où demeure le Troll.
Un renard affamé lui révèlera le secret du géant de la forêt.
Le Troll y possède un moulin magique.
Quels sont ses pouvoirs, vous aimeriez bien le savoir ?
Pour cela, il faudra essayer de le retrouver…
Thor et Thrym : le vol de Mjollnir
Un matin en s'éveillant, Thor s'aperçoit que son marteau, Mjollnir, a disparu.
Troublé, il va prendre conseil auprès de Loki.
Le marteau précieux a sans doute été ravi par quelque géant, dit Loki, qui s'offre lui-même de chercher le marteau.
Pour la recherche du marteau, il emprunte à la déesse Freyja son vêtement magique à plumes, qui permet de traverser les airs et gagne à tire d'ailes le séjour des géants.
Il y rencontre bientôt le géant Thrym, l'interroge et apprend que c'est lui le ravisseur.
Le marteau a été caché sous terre à huit brassées de profondeur : Thrym ne consentira à rendre le marteau que si l'on lui donne la main de Freyja.
Cette réponse rapportée aux dieux les jette dans la consternation.
Ils se réunissent, délibèrent, mais ne trouvent pas de solution.
Loki se résigne donc à prier Freyja d'accepter le marché qu'on lui propose, mais elle s'y refuse, indignée et ressent un si grand courroux que les veines de son cou se gonflent jusqu'à faire éclater son beau collier d'or qui roule à terre.
Dans leur embarras, les Ases se résolvent alors à un stratagème.
On revêtira Thor lui-même d'habits de femme, on lui passera au cou le collier de Freyja et on le recouvrira d'un voile de mariée.
Après quelques hésitations, Thor finit par se prêter à cette mascarade.
Vêtu en femme, il se rend au pays de Thrym où Loki l'accompagne, déguisé en servante. Les deux Ases reçoivent chez le géant un accueil magnifique.
Dès le premier soir, Thrym fait préparer le festin des noces.
La supposée fiancée fait montre d'un appétit prodigieux : à elle seule, elle a dévoré tout ce qu'on avait réservé aux femmes du Palais, c'est-à-dire un bœuf entier, huit saumons, de nombreuses épices. Elle boit de surcroît trois tonnes d'hydromel.
Le géant s'étonne grandement d'une telle voracité, mais Loki n'est point embarrassé de lui donner l'explication que, pendant huit jours entiers, dit-il, Freyja n'a rien voulu manger ni boire, tant était violente la nostalgie qui la poussait vers le pays des géants.
Thrym, rasséréné et plus épris que jamais, veut embrasser la futur mariée, mais quand il lève le voile qui couvre le visage de la déesse, il ressent un tel effroi à voir les éclairs qui jaillissent de ses yeux qu'il fait un bond en arrière.
Loki l'apaise encore lui précisant que, pendant les huit dernières nuits, déclare-t-il, Freyja n'a pas dormi, tant elle était agitée du désir de partir pour le pays des géants et c'est pourquoi ses yeux jettent un tel feu.
À ce moment, désireux de donner à son union avec Freyja la consécration rituelle, Thrym envoie chercher le marteau Mjollnir et ordonne que, selon la coutume, on le pose sur les genoux de la fiancée.
Le coeur de Thor rit dans sa poitrine.
D'une main vigoureuse, le dieu saisit l'arme et, la brandissant joyeusement, abat Thrym et toute sa suite de géants. Puis, satisfait et calmé, retourne à Asgard.
Pour résumer, Thor tue Thrym.
Et on croyait que c'était la désaffection des voyageurs pour les tortillards qui justifiait que…
La Huldra et le Trappeur
Un habitant, natif de Systrand, passait un hiver à poser des collets et des pièges dans le but de prendre quelque animal. Il logeait avec son fidèle chien dans un refuge aménagé dans une église. Un après-midi, alors qu'il était occupé à cuisiner à même le sol, il entendit une sorte de petit bruit suspect.
Quelque chose grattait dehors, contre le mur.
Phénomène étrange, étant donné que les murs de l'abri étaient en pierre et que le toit était fait de chaume.
Peu de temps après, quelqu'un s'engagea dans l'entrée et frappa à la porte.
Le chien se mit à hurler et ses poils se dressèrent sur son échine...
Entra alors une magnifique jeune fille.
Le trappeur n'avait jamais vu une telle beauté. Elle portait un corset rouge et une longue jupe bleue, la ceignant parfaitement, mettant en valeur ses formes franches et généreuses.
Elle avait de très longs cheveux clairs, d'un blond qui rappelait le blé des champs et qui lui tombaient jusqu'à la taille.
Le jeune homme était sous le charme, ébahi de voir une telle apparition dans son refuge de fortune au milieu de l'hiver, à 10 km de toute habitation, et avec une couche de neige d'une épaisseur à décourager les plus téméraires.
Elle commenca à lui parler, lui demandant gentiment s'il ne se sentait pas un peu seul, ici, au milieu de l'hiver, dans cet abri si isolé.
Elle rit, parla, tournant, dansant, se pavanant devant lui.
Le jeune homme ne pouvait rester insensible devant un tel spectacle.
Enchanté, il répondait, riant et plaisantant avec elle, se sentant parfaitement à son aise, gagné par une allégresse soudaine.
Sans plus attendre, il lui proposa de rester un peu plus avec lui, pour oublier sa solitude.
Une étrange expression passa sur le visage de la jeune fille qui lui tourna prestement le dos pour masquer son émoi.
Le chasseur aperçut alors brievement une longue queue (un travesti, cette Huldra ?) qu'elle tentait de camoufler sous sa jolie jupe bleue.
Frappé de stupéfaction, il fit immédiatement le lien avec les histoires qu'il avait entendues sur les Huldra et leur goût prononcé pour les jeunes hommes chrétiens...
Il se sentit défaillir à l'idée de l'après midi qu'il venait de passer.
Ne venait-il pas de faire une déclaration à cette jeune fille, ici même, dans une église ? Lorsqu'elle lui fit face de nouveau, le jeune homme n'avait plus le coeur à la fête et l'esprit à la plaisanterie; il ne se prêtait plus au jeu de la nymphe.
Elle, continuait à rire et à plaisanter.
Voyant son humeur sombre et son mutisme, elle lui demanda s'il y avait un souci ou s'il avait un problème avec les femmes...
Il ne prit même pas la peine de répondre.
Dans la soirée, il trouva un prétexte pour s'éclipser un moment à l'extérieur, accompagné de son chien. La lune était pleine et haute, brillant de tous ses feux, éclairant la neige et la forêt hivernale.
Mais quelque chose brillait et scintillait de façon presque aveuglante contre le mur de la vieille église, éclipsant l'astre.
S'approchant, il découvrit que ce n'était autre chose que les skis de la Huldra.
Entourés d'un halo de lumière, ils semblaient irradier.
Fasciné, le trappeur les examina soigneusement.
Ils étaitent faits de bronze.
Piqué par la curiosité, il les enfila, attrapa les bâtons et se lança dans la neige.
Les skis étaient d'une facture exceptionnelle, glissant dans la neige avec une irréelle rapidité, tant et si bien que le chien n'arrivait même pas à le rattraper.
La Huldra restée seule dans le refuge commenca à s'impatienter et à se douter de s'être faite duper.
Elle s'aventura à l'exterieur, cherchant de ses beaux et grands yeux, des traces de son prétendant. Elle ne mit pas longtemps à l'apercevoir, dévalant le flanc de montagne à toute allure. Se tournant vers le mur où elle avait laissé ses skis, elle se rendit compte qu'ils avaient disparu.
Furieuse, fulminant, elle comprit la traîtrise de celui qu'elle avait essayé de séduire. Elle chaussa les skis du chasseur, prit en main ses bâtons et se lança à sa poursuite. Les skis étaient d'une bien piètre qualité, faits de simples morceaux de bois de saule, mal sertis. Elle ne pouvait espérer le rattraper, lui qui utilisait ses skis magiques... Elle ne put rejoindre l'homme mais elle se vengea sur le chien à qui elle brisa l'échine d'un rageur coup de bâton. Le jeune homme put regagner son village sain et sauf.
Dernière édition par Fraissinet le Dim 23 Mai - 8:41, édité 1 fois
Fraissinet- Membre trop actif
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2ème époque : Les histoires d’amour
Mais que seraient donc ces contes scandinaves magiques, mystérieux, quelquefois terrifiants sans leur pendant d'histoires d'amour éternelles telles que Tristan et Isolde, Romeo et Juliette, Pelléas et Mélisande, Eraste et Eromène (euh…non…pas ceux-là!), la Belle et la Bête ?
Celle d'Olaf et Violine se rattache à ces dernières.
Leur point commun en est l'utilisation d'un philtre d'amour.
S'agissant de ce dernier couple et de l'identification dudit philtre (marre de café de ce jeu de mots foireux!), je me rendais donc sur place, en Finlande, la semaine dernière, pour tirer cette affaire au clair.
Mon premier entretien sur le sujet fut avec une jeune femme blonde répondant au joli nom de Sanna Turunen (sa nature humaine n'allait d'ailleurs pas tarder à prendre forme dans toutes ses dimensions), Sanna donc pour ne point la nommer, manifestement grande experte en philtre, qu'après le franchissement par elle brillamment de l'épreuve de l'escalier en amples déhanchements ondulants de ses formes oblongues, je suivis dans un long couloir, silhouette postérieure agréable, taille de sylphide s'écartant en rotondes étroitement moulées dans un pantalon noir ajusté, dont naissaient deux longues cuisses fuselées (ce n'était donc pas une sirène) jusqu'à un salon où nous installâmes.
Pendant qu'elle commençait à répondre à mes questions (sans pour autant essayer ni de chanter ni de me faire chanter, ce qui confirme, si besoin était, qu'elle n'était pas une sirène) sur la meilleure façon de rendre un finnois amoureux, mais surtout fidèle, je découvrais la lumière dans sa chevelure lisse d'un blond platine, sur ses lèvres pulpeuses que j'étais capable de comprendre à mon plus grand étonnement le finno-ougrien, à ces yeux de braise qui dardaient mon regard d'œillades intenses, je répondais en baissant le mien plus bas (évidemment) dans un corsage blanc * profondément échancré où des gorges largement découvertes sur un buste en deux parties généreusement mamelonnées ** laissaient saillir, en transparence, deux fermes éminences purpurales…
* Pantalon noir, corsage blanc, elle n'était donc pas personnage de fantasy et donc pas elfe.
** Pomme ? Poire ? en tous cas, pas scoubidou, bidou, ah !
Bref…je m'égare…où en étais-je donc ? ah…oui…les contes pour enfants.
Etait-elle drôlesse (féminin de troll), de sa stature monstrueuse passée, nulle trace ou bien
avec l'effritement de l'influence luthérienne en Scandinavie, une drôle de créature, à laquelle on attribue telle anecdote cocasse servant à expliquer la présence d'une bizarrerie dans le paysage (rocher lancé par un troll) ou dont on conte les aventures aux enfants ?
Ce sont sans doute d'autres fables que l'on comptait lui narrer !
Elle m'indiqua que les finnoises, outre certaines facéties scandinaves dont elles avaient le secret et que ma discrétion naturelle m'incite à ne point évoquer ici, elles les tenaient donc par l'estomac (ces propos me semblèrent résonner d'un écho familier !).
Vers la fin de la matinée, elle m'offrit frugale collation de fruits frais préalablement pelés, puis m'invita, comme c'est l'usage en Finlande, à monter au dernier étage de l'immeuble (le septième ciel finnois, me demandais-je ?) pour aller au sauna.
Oh Sanna, me dis-je, emmène moi au plus haut des cieux !
La chaleur prégnante et exsudante du sauna fit de l'amène Sanna un corps, pores et saine eau aidant, une créature, objet luisant de désir…
Il suffit ! Revenons aux contes de fées…
Au comble de l’extase, elle finit par me demander :
Nopeasti & helposti eniro.fi.stä-näytämme osoitteet, numerot, kartat, reitit, taloustiedot ja paljon muuta ?
Sans ambiguïté, je lui réponds :
Vade retro Sanna !
Elle insiste :
Työskenteli aikaisemmin opiskelujen ohella osa-aikaisena ?
Sans la moindre hésitation, je lui balance :
Yrityshakemisto on kattava tietopankki suomalaisista yrityksistä ja palveluista !
Hein ! ça vous la coupe que je parle aussi bien le finnois !
Il fallut que j'en aie le cœur net, y avait-il avec cette finnoise, ougrien ou pas grand-chose ?
En réalité, c'est au duty-free de l'aéroport lors du retour que le secret m'apparut :
Excellents roll-mops, poissons vinaigrés ou marinés tels saumon, lavaret (whitefish, non des poissons blancs de nos rivières lozériennes, mais apparenté à l'omble chevalier, une merveille gustative!) ou joues de lotte au petit-déjeuner, mais aussi et surtout les fameux pâtés de Lapin, le grand charcutier lapon (d'Helsinki, pas de Garenne Colombes évidemment) dont les spécialités étaient, il va de soi, pâtés de lapin (de Garonne), de rennes * et d'ours.
* Que l'on ne confondra pas bien sûr avec le fameux pâté de Rennes.
De quoi faire fuir un régiment ou le faire sombrer dans l'alcool! ce qui nous amène naturellement à cette question :
Aimait-il Olaf rot aigre ?
(mais où va-t-il chercher tout ça ?)
Sans aucun doute, ni retenue, de ce goût fumé de la tourbe qui imprègne le malt vert encore humide ou bien la chair tendre des salmonidés, ambassidae (grands nageurs en eaux troubles) ou pleuronectidae (ils ont morflé tant qu'ils sont inconsolables !), il aimait donc tellement ce Laphroaig (et la Vodka) qu'il prenait tous les week-ends le ferry pour Tallinn où les libations les plus fournies étaient autorisées à des conditions tarifaires très avantageuses et dans des quantités inqualifiables, d'où la réaction des autorités finnoises de baisser les impôts sur l'alcool.
Le résultat en fut une baisse de la fréquentation du ferry et une hausse des rentrées d'impôts par un phénomène d'augmentation des volumes finnois considérés (c'est le fameux principe du trop d'impôt tue l'impôt).
Bref, Violine revînt, dépitée, son conte de fées s'était terminé en beuverie et c'est là qu'elle décida, une fois revenue dans un mouvement de sauve-qui-peut général vers le Sauveterre, de se consacrer exclusivement, par charité chrétienne bien comprise, il va sans dire, à cette population tellement abandonnée et incomprise, j'ai nommé les myopes.
Pour eux, qui n'avaient plus la possibilité de voir de cinéma rose, elle se mit, et c'est là incontestablement un des aspects de sa personnalité les plus méconnus et controversés, à la production de films érotiques où elle connut les affres du Taupe X.
Donc la fée est coupable, non pas de nous avoir raconté des contes et des sornettes, ce à quoi nous sommes habitués avec nos politiciens, mais bel et bien d’avoir réussi à nous faire prendre pour une réalité cette utopie de construction folle (molle avec des haricots bouillis, aurait dit Dali, une des références du lieu, référence absolue de la peinture, mais aussi général en chef, imperator de la déconne !) sur le Sauveterre.
Le châtiment, qui se devra d’être exemplaire, sera prononcé par le jury du forum LofL (il n’y a pas de raison pour que je sois le seul à me mouiller !!!)
Bon anniversaire quand même !
Ce fil est également un conte, ce qui ne signifie nullement que tout y est fiction.
A vous de faire le tri.
Celle d'Olaf et Violine se rattache à ces dernières.
Leur point commun en est l'utilisation d'un philtre d'amour.
S'agissant de ce dernier couple et de l'identification dudit philtre (marre de café de ce jeu de mots foireux!), je me rendais donc sur place, en Finlande, la semaine dernière, pour tirer cette affaire au clair.
Mon premier entretien sur le sujet fut avec une jeune femme blonde répondant au joli nom de Sanna Turunen (sa nature humaine n'allait d'ailleurs pas tarder à prendre forme dans toutes ses dimensions), Sanna donc pour ne point la nommer, manifestement grande experte en philtre, qu'après le franchissement par elle brillamment de l'épreuve de l'escalier en amples déhanchements ondulants de ses formes oblongues, je suivis dans un long couloir, silhouette postérieure agréable, taille de sylphide s'écartant en rotondes étroitement moulées dans un pantalon noir ajusté, dont naissaient deux longues cuisses fuselées (ce n'était donc pas une sirène) jusqu'à un salon où nous installâmes.
Pendant qu'elle commençait à répondre à mes questions (sans pour autant essayer ni de chanter ni de me faire chanter, ce qui confirme, si besoin était, qu'elle n'était pas une sirène) sur la meilleure façon de rendre un finnois amoureux, mais surtout fidèle, je découvrais la lumière dans sa chevelure lisse d'un blond platine, sur ses lèvres pulpeuses que j'étais capable de comprendre à mon plus grand étonnement le finno-ougrien, à ces yeux de braise qui dardaient mon regard d'œillades intenses, je répondais en baissant le mien plus bas (évidemment) dans un corsage blanc * profondément échancré où des gorges largement découvertes sur un buste en deux parties généreusement mamelonnées ** laissaient saillir, en transparence, deux fermes éminences purpurales…
* Pantalon noir, corsage blanc, elle n'était donc pas personnage de fantasy et donc pas elfe.
** Pomme ? Poire ? en tous cas, pas scoubidou, bidou, ah !
Bref…je m'égare…où en étais-je donc ? ah…oui…les contes pour enfants.
Etait-elle drôlesse (féminin de troll), de sa stature monstrueuse passée, nulle trace ou bien
avec l'effritement de l'influence luthérienne en Scandinavie, une drôle de créature, à laquelle on attribue telle anecdote cocasse servant à expliquer la présence d'une bizarrerie dans le paysage (rocher lancé par un troll) ou dont on conte les aventures aux enfants ?
Ce sont sans doute d'autres fables que l'on comptait lui narrer !
Elle m'indiqua que les finnoises, outre certaines facéties scandinaves dont elles avaient le secret et que ma discrétion naturelle m'incite à ne point évoquer ici, elles les tenaient donc par l'estomac (ces propos me semblèrent résonner d'un écho familier !).
Vers la fin de la matinée, elle m'offrit frugale collation de fruits frais préalablement pelés, puis m'invita, comme c'est l'usage en Finlande, à monter au dernier étage de l'immeuble (le septième ciel finnois, me demandais-je ?) pour aller au sauna.
Oh Sanna, me dis-je, emmène moi au plus haut des cieux !
La chaleur prégnante et exsudante du sauna fit de l'amène Sanna un corps, pores et saine eau aidant, une créature, objet luisant de désir…
Il suffit ! Revenons aux contes de fées…
Au comble de l’extase, elle finit par me demander :
Nopeasti & helposti eniro.fi.stä-näytämme osoitteet, numerot, kartat, reitit, taloustiedot ja paljon muuta ?
Sans ambiguïté, je lui réponds :
Vade retro Sanna !
Elle insiste :
Työskenteli aikaisemmin opiskelujen ohella osa-aikaisena ?
Sans la moindre hésitation, je lui balance :
Yrityshakemisto on kattava tietopankki suomalaisista yrityksistä ja palveluista !
Hein ! ça vous la coupe que je parle aussi bien le finnois !
Il fallut que j'en aie le cœur net, y avait-il avec cette finnoise, ougrien ou pas grand-chose ?
En réalité, c'est au duty-free de l'aéroport lors du retour que le secret m'apparut :
Excellents roll-mops, poissons vinaigrés ou marinés tels saumon, lavaret (whitefish, non des poissons blancs de nos rivières lozériennes, mais apparenté à l'omble chevalier, une merveille gustative!) ou joues de lotte au petit-déjeuner, mais aussi et surtout les fameux pâtés de Lapin, le grand charcutier lapon (d'Helsinki, pas de Garenne Colombes évidemment) dont les spécialités étaient, il va de soi, pâtés de lapin (de Garonne), de rennes * et d'ours.
* Que l'on ne confondra pas bien sûr avec le fameux pâté de Rennes.
De quoi faire fuir un régiment ou le faire sombrer dans l'alcool! ce qui nous amène naturellement à cette question :
Aimait-il Olaf rot aigre ?
(mais où va-t-il chercher tout ça ?)
Sans aucun doute, ni retenue, de ce goût fumé de la tourbe qui imprègne le malt vert encore humide ou bien la chair tendre des salmonidés, ambassidae (grands nageurs en eaux troubles) ou pleuronectidae (ils ont morflé tant qu'ils sont inconsolables !), il aimait donc tellement ce Laphroaig (et la Vodka) qu'il prenait tous les week-ends le ferry pour Tallinn où les libations les plus fournies étaient autorisées à des conditions tarifaires très avantageuses et dans des quantités inqualifiables, d'où la réaction des autorités finnoises de baisser les impôts sur l'alcool.
Le résultat en fut une baisse de la fréquentation du ferry et une hausse des rentrées d'impôts par un phénomène d'augmentation des volumes finnois considérés (c'est le fameux principe du trop d'impôt tue l'impôt).
Bref, Violine revînt, dépitée, son conte de fées s'était terminé en beuverie et c'est là qu'elle décida, une fois revenue dans un mouvement de sauve-qui-peut général vers le Sauveterre, de se consacrer exclusivement, par charité chrétienne bien comprise, il va sans dire, à cette population tellement abandonnée et incomprise, j'ai nommé les myopes.
Pour eux, qui n'avaient plus la possibilité de voir de cinéma rose, elle se mit, et c'est là incontestablement un des aspects de sa personnalité les plus méconnus et controversés, à la production de films érotiques où elle connut les affres du Taupe X.
Donc la fée est coupable, non pas de nous avoir raconté des contes et des sornettes, ce à quoi nous sommes habitués avec nos politiciens, mais bel et bien d’avoir réussi à nous faire prendre pour une réalité cette utopie de construction folle (molle avec des haricots bouillis, aurait dit Dali, une des références du lieu, référence absolue de la peinture, mais aussi général en chef, imperator de la déconne !) sur le Sauveterre.
Le châtiment, qui se devra d’être exemplaire, sera prononcé par le jury du forum LofL (il n’y a pas de raison pour que je sois le seul à me mouiller !!!)
Bon anniversaire quand même !
Ce fil est également un conte, ce qui ne signifie nullement que tout y est fiction.
A vous de faire le tri.
Fraissinet- Membre trop actif
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Re: Olaf et Violine
Même ta virtuosité de style, Fraissinet,
ne pourra pas nous décider à châtier la Fée,
qui nous enchante "autrement" que par ce passé que tu nous livres !
Son sauna minéral existe encore et non mol :
Et puis, des brouettes nous tendent les bras si beuverie excessive...
Chère Fée, je te souhaite un excellent anniversaire sur ton Causse enchanteur,
si bien entourée d'oeuf géant,
de panoramix fossilisé de voiture minérale
d'oiseau bizarre métallique et du crocodile cévenol
auprès de ton compagnon
sous le pin peint,
sois heureuse et sereine et
enchante nous par ta gaité !
ne pourra pas nous décider à châtier la Fée,
qui nous enchante "autrement" que par ce passé que tu nous livres !
Son sauna minéral existe encore et non mol :
Et puis, des brouettes nous tendent les bras si beuverie excessive...
Chère Fée, je te souhaite un excellent anniversaire sur ton Causse enchanteur,
si bien entourée d'oeuf géant,
de panoramix fossilisé de voiture minérale
d'oiseau bizarre métallique et du crocodile cévenol
auprès de ton compagnon
sous le pin peint,
sois heureuse et sereine et
enchante nous par ta gaité !
Colline- Membre
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Re: Olaf et Violine
Bon anniversaire petite fée, mon message paraitra bien insipide mais il est sincère. Je te bise fort pour l'occasion bienvenue au club !
Piboule- Faites la taire !
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Re: Olaf et Violine
avec un jour de retard je te souhaite un joyeux anniversaire ainsi donc nous sommes de la classe .....
salazie- Membre actif
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Re: Olaf et Violine
Ouf il n'est pas encore trop tard pour souhaiter un bon anniversaire à la fée .
Une qui va peut être avoir sa retraite à 60 ans
millou- Membre trop actif
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Re: Olaf et Violine
60 : nouveau compte de fée ! En souhaitant que les faits qui se coulent ainsi au cours des ans soient pleins d'effets, et que la fée selle encore les chevaux de la vie.
Surcouf- Membre trop actif
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Date d'inscription : 13/02/2007
Re: Olaf et Violine
Merci à tous, vous êtes gentils ! C'est pas grave pour ceux qui sont en retard car de toute façon j'étais pas là pour lire, nous avons passé plusieurs jours à faire une méga fête familiale à Utopix, c'était formidable ! C'est chouette d'avoir 60 ans, j'aurais dû le faire plus tôt !!!
Et merci spécialement à Fraissinet, qui a même mis du latin dans son récit :
Et merci spécialement à Fraissinet, qui a même mis du latin dans son récit :
l'amène Sanna un corps, pores et saine eau
Re: Olaf et Violine
Non, sûrement pas ! J'ai toujours travaillé irrégulièrement, et je ne sais pas si je pourrai arrêter de travailler un jour, mais ça ne me dérange pas, tant que je suis en forme (ma mère dit que le meilleur moment de la vie, où on est le plus en forme, c'est entre 60 et 75 ans).millou a écrit:Une qui va peut être avoir sa retraite à 60 ans
Re: Olaf et Violine
Je n'avais même pas remarqué le titre "oh ! La fée Violine" Il est bon dès le départ.
Piboule- Faites la taire !
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Date d'inscription : 13/02/2007
Re: Olaf et Violine
En effet, il faut toujours soigner l'introduction !!!
Bon, alors, j'ai une bonne note ?
Bon, alors, j'ai une bonne note ?
Fraissinet- Membre trop actif
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Date d'inscription : 03/03/2007
Re: Olaf et Violine
Hors note fraissy tu exploiserais le compte !
Piboule- Faites la taire !
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Date d'inscription : 13/02/2007
Re: Olaf et Violine
Fée Violine a écrit:Merci à tous, vous êtes gentils !
C'est chouette d'avoir 60 ans, j'aurais dû le faire plus tôt !!!
N'hésite pas à nous inviter quand tu doubleras la mise ! (le latin conserve, si l'on en croit le Juvénal du mens sana..., l'élixir de jouvence éternelle).
C'est vrai ça, travailler jusqu'à soixante ans, puis soixante ans de retraite, c'est le bonheur, même s'il y en a, hein Millou, qui sont obligés d'en travailler soixante pour cela .
Fraissinet- Membre trop actif
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Date d'inscription : 03/03/2007
Re: Olaf et Violine
J'espère que vous reviendrez à Utopix avant 2070 ! On programme une petite rencontre LOL pour cet été ?
Re: Olaf et Violine
Je pense venir te surprendre début Juillet, j'ai ma petite nièce et son mari qui sont très très parc d'attraction.
Piboule- Faites la taire !
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Date d'inscription : 13/02/2007
Re: Olaf et Violine
Fée Violine a écrit:J'espère que vous reviendrez à Utopix avant 2070 ! On programme une petite rencontre LOL pour cet été ?
Peut être que nous pourrions commencer par un petit sondage comme on les aime bien sur LofL sur les dates, l'endroit, l'organisation du repas, des mets, de l'apéro...
Il y a au moins deux mois de travail pour se mettre d'accord!!!
Fraissinet- Membre trop actif
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Date d'inscription : 03/03/2007
Re: Olaf et Violine
Justement ! Le mieux est de prévenir un semaine avant, ainsi ceux qui viennent viennent et voilà. Sinon, on n'en sort pas !
A moins qu'on considère le débat comme un plaisir en soi, et une façon de meubler le forum. Là, c'est un autre point de vue.
A moins qu'on considère le débat comme un plaisir en soi, et une façon de meubler le forum. Là, c'est un autre point de vue.
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