Journées du patrimoine
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millou
baboulaa
Fée Violine
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Journées du patrimoine
Frère Jean m'envoie cette information:
Merci de noter la participation du SKITE SAINTE FOY à Saint-Julien-
des-Points
aux JOURNEES EUROPEENNES DU PATRIMOINE
le samedi 18- dimanche 19 septembre 2010.
Le Skite est un ancien prieuré bénédictin du XVIème qui fut
transformé en ferme fortifiée à la Révolution.
En 1996 des moines orthodoxes achètent le domaine et le restaurent.
Nous pouvons découvrir dans le monastère de magnifiques fresques avec
la représentation traditionnelle de saints, dont des saints locaux,
une mosaïque de 2 m de haut, des vitraux d'Henry Guérin, des broderies…
Les bâtiments à pierres sèches ont été restaurés par des artisans
locaux : Toits recouverts de lauzes, portes, fenêtres, charpentes en
châtaignier, murs à la chaux aérienne…
calades, terrasses à pierres sèches… les photographies du frère Jean.
Le skite a une vue dominante sur la Vallée Longue.
Skite signifie en français "celle" (communauté monastique comme
dans ; cirque de Navacelle, La Salle)
Le SKITE SAINTE FOY se situe à 25 km d'Alès sur la N106, direction
Florac, il touche le Gard.
Sur la N 106 il faut prendre la route avec "Skite sainte Foy" (pas
église-mairie)
Les visiteurs sont invités à se garer au parking.
Heures de visite : samedi-dimanche de 14h à 17h.
Pour toutes informations:
Tél: 04 66 45 42 93 - site : www.photo-frerejean.com
Merci de noter la participation du SKITE SAINTE FOY à Saint-Julien-
des-Points
aux JOURNEES EUROPEENNES DU PATRIMOINE
le samedi 18- dimanche 19 septembre 2010.
Le Skite est un ancien prieuré bénédictin du XVIème qui fut
transformé en ferme fortifiée à la Révolution.
En 1996 des moines orthodoxes achètent le domaine et le restaurent.
Nous pouvons découvrir dans le monastère de magnifiques fresques avec
la représentation traditionnelle de saints, dont des saints locaux,
une mosaïque de 2 m de haut, des vitraux d'Henry Guérin, des broderies…
Les bâtiments à pierres sèches ont été restaurés par des artisans
locaux : Toits recouverts de lauzes, portes, fenêtres, charpentes en
châtaignier, murs à la chaux aérienne…
calades, terrasses à pierres sèches… les photographies du frère Jean.
Le skite a une vue dominante sur la Vallée Longue.
Skite signifie en français "celle" (communauté monastique comme
dans ; cirque de Navacelle, La Salle)
Le SKITE SAINTE FOY se situe à 25 km d'Alès sur la N106, direction
Florac, il touche le Gard.
Sur la N 106 il faut prendre la route avec "Skite sainte Foy" (pas
église-mairie)
Les visiteurs sont invités à se garer au parking.
Heures de visite : samedi-dimanche de 14h à 17h.
Pour toutes informations:
Tél: 04 66 45 42 93 - site : www.photo-frerejean.com
Dernière édition par Fée Violine le Jeu 2 Sep - 21:31, édité 1 fois
Re: Journées du patrimoine
Merci pour cette info très intéressante
par contre si c'est dans le cadre de la journée du patrinoine, qui est une action laïque, il n'y a pas lieu de rajouter une info de l'ordre religieux.
aucune affiche ne reprendra l'info perso de frère jean
Je cite : "Il est possible d'assister à la divine Liturgie le dimanche à 10h et
aux Vêpres le samedi et dimanche à 17h30"
Il existe des lieux particuliers pour cela
par contre si c'est dans le cadre de la journée du patrinoine, qui est une action laïque, il n'y a pas lieu de rajouter une info de l'ordre religieux.
aucune affiche ne reprendra l'info perso de frère jean
Je cite : "Il est possible d'assister à la divine Liturgie le dimanche à 10h et
aux Vêpres le samedi et dimanche à 17h30"
Il existe des lieux particuliers pour cela
baboulaa- Membre trop actif
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Re: Journées du patrimoine
En effet. Mais moi je ne fais que transmettre une info qu'on me donne, je n'ai pas trié. Cela dit, une messe orthodoxe peut être considérée comme un spectacle culturel!
Re: Journées du patrimoine
Fée Violine a écrit:En effet. Mais moi je ne fais que transmettre une info qu'on me donne, je n'ai pas trié. Cela dit, une messe orthodoxe peut être considérée comme un spectacle culturel!
SPECTACLE (si tu veux) mais CULTUEL et non CULTUREL
les subventions ne sont pas les mêmes
baboulaa- Membre trop actif
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Re: Journées du patrimoine
Là s'est plus " CULTUREL" et cela reste dans la CULTURE pour une journée "CULTURELLE"
Avant ça faisait "CULTUEL" en restant dans le "CULTE" pour une journée
"CULTUELLE"
En bref cela faisait penser à de la "retape" car toucher des subventions laïques pour restaurer un bien est une choses louable, les utiliser pour subventionner des messes ou autres cultes est un détournement de fonds répréhensible par la loi
Avant ça faisait "CULTUEL" en restant dans le "CULTE" pour une journée
"CULTUELLE"
En bref cela faisait penser à de la "retape" car toucher des subventions laïques pour restaurer un bien est une choses louable, les utiliser pour subventionner des messes ou autres cultes est un détournement de fonds répréhensible par la loi
baboulaa- Membre trop actif
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reçu du frère Jean (père Gérasime)
Pour les Journées Européennes du Patrimoine plus de 600 personnes
sont venues pour visiter le skite sainte Foy à Saint-Julien-des-
Points le dimanche 19 septembre entre 14h et 17h.
Face à cette foule les moines, surpris et ravis, installent des
bancs et des boissons fraîches à l'ombre des chênes centenaires pour
faire patienter les visiteurs qui doivent attendre leur tour. Dès que
le portail de l'enceinte est franchi les visiteurs deviennent
pèlerins et ressentent dans la cour intérieure l'atmosphère paisible
du monastère, un ancien prieuré du XVIème siècle.
La visite commence par le chapelle entièrement fresquée par le
célèbre iconographe russe Iaroslav Dobrynine. De nombreux saints
locaux couvrent les murs: Saints Victor, Gilles, Cassien, Julien,
Martin, Privat (évangélisateur de la Lozère)…Saintes Enimie, Foy,
Geneviève… Le hiéromoine Gérasime explique longuement le sens sacré
des fresques peintes sur un mur humide recouvert de chaux aérienne.
Les couleurs sont extraites des pierres broyées et mélangées avec du
jaune d'œuf qui sert de liant. Il explique à un public attentif la
symbolique des gestes, des couleurs (rouge, incarnation - vert,
vitalité - blanc, pureté - noir, bleu, jaune, or…). Chacun prend le
temps d'admirer les vitraux d'Henry Guérin et les broderies
d'Emmanuelle Vernoux, qui travaille pour les plus grands couturiers:
Dior, Yves Saint Laurent…
Ensuite vient la découverte des ateliers et de la bibliothèque dont
les fenêtres dominent la Vallée Longue. Au XIIème siécle le Verdier,
lieu où se situe le skite, servait de tour à signaux. La tour était
construite sur un éperon rocheux avec une vue de 360° sur la Vallée
Longue qui va du col de Jacreste, ligne du partage des eaux, au
château de Portes sur le Chemin de la Régordane.
Dans l'atelier les visiteurs découvrent les photos du frère Jean, ce
moine cévenol amoureux des Cévennes, qui depuis plusieurs années
écrit par la poésie et la photographie: les jeux de la lumière, la
naissance d'un fruit, d'une feuille, d'une fleur… Chaque photo est
une louange à la Création. Il dit: "Je n'arrache pas les fleurs, je
les cueille par mes images".
La visite continue par le réfectoire où, autour d'une immense table
de chêne, trône d'un côté la fresque de la sainte Cène et de l'autre
une cheminée monumentale cévenole en pierre. Le four à pain, dans la
cour, a une circonférence de 2m (on y tient assis et couché) il fait
face à une mosaïque de maître Patrizio, de 2m de haut représentant le
Christ bénissant.
Le frère Joseph prend la relève pour continuer la visite.
La maison des hôtes a été entièrement restaurée par des artisans
locaux (toiture en lauze par Hervé Tinel, portes et fenêtres en
châtaignier de Charly Desailloux, enduit à la chaux par Philippe
Diet). La restauration a fait l'objet de nombreux articles dans des
revues spécialisées dont Maisons Paysannes de France ou
d'architecture. Frédérique Hébrard situe une scène de son livre -
Châtaigniers du désert - dans une chambre qui "sent bon la paille et
la prière".
Après quelques marches d'escalier les visiteurs découvrent la crypte
taillée dans le rocher. Un vitrail laisse filtrer une douce pénombre
dans ce cœur de pierre. Les historiens datent cette partie du Verdier
du XIIème siècle.
Puis les visiteurs ressentent une émotion en franchissant, pour
cette Journée exceptionnelle, un espace habituellement réservé aux
moines. Les cellules furent installées dans l'ancienne clède
(batiment où l'on fait sécher les châtaignes), puis le portail
conduisant au jardin. De ce côté le monastère découvre toute la
noblesse de l'ancien prieuré bénédictin avec les murs à pierres
sèches, un cadran solaire, une vue sur la vallée, le Gardon et… une
cupule. La cupule, vasque taillée dans le rocher, montre que les
Celtes, avant le christianisme, avait fait de ce piton rocheux un
lieu de sacrifice, de dévotion et de prière.
Plusieurs visiteurs déclarent: "Par les Journées Européennes du
Patrimoine nous avons découvert la Vallée Longue, un monastère
authentique et de très bons restaurants aux alentours". Les moines
répondent: "Alors à bientôt !"
Pour ceux qui le souhaitent il est possible de visiter le monastère
par internet: www.photo-frerejean.com
ou de venir visiter sur réservation du mardi au vendredi de 14h à
17h en téléphonant au : 04 66 45 42 93.
sont venues pour visiter le skite sainte Foy à Saint-Julien-des-
Points le dimanche 19 septembre entre 14h et 17h.
Face à cette foule les moines, surpris et ravis, installent des
bancs et des boissons fraîches à l'ombre des chênes centenaires pour
faire patienter les visiteurs qui doivent attendre leur tour. Dès que
le portail de l'enceinte est franchi les visiteurs deviennent
pèlerins et ressentent dans la cour intérieure l'atmosphère paisible
du monastère, un ancien prieuré du XVIème siècle.
La visite commence par le chapelle entièrement fresquée par le
célèbre iconographe russe Iaroslav Dobrynine. De nombreux saints
locaux couvrent les murs: Saints Victor, Gilles, Cassien, Julien,
Martin, Privat (évangélisateur de la Lozère)…Saintes Enimie, Foy,
Geneviève… Le hiéromoine Gérasime explique longuement le sens sacré
des fresques peintes sur un mur humide recouvert de chaux aérienne.
Les couleurs sont extraites des pierres broyées et mélangées avec du
jaune d'œuf qui sert de liant. Il explique à un public attentif la
symbolique des gestes, des couleurs (rouge, incarnation - vert,
vitalité - blanc, pureté - noir, bleu, jaune, or…). Chacun prend le
temps d'admirer les vitraux d'Henry Guérin et les broderies
d'Emmanuelle Vernoux, qui travaille pour les plus grands couturiers:
Dior, Yves Saint Laurent…
Ensuite vient la découverte des ateliers et de la bibliothèque dont
les fenêtres dominent la Vallée Longue. Au XIIème siécle le Verdier,
lieu où se situe le skite, servait de tour à signaux. La tour était
construite sur un éperon rocheux avec une vue de 360° sur la Vallée
Longue qui va du col de Jacreste, ligne du partage des eaux, au
château de Portes sur le Chemin de la Régordane.
Dans l'atelier les visiteurs découvrent les photos du frère Jean, ce
moine cévenol amoureux des Cévennes, qui depuis plusieurs années
écrit par la poésie et la photographie: les jeux de la lumière, la
naissance d'un fruit, d'une feuille, d'une fleur… Chaque photo est
une louange à la Création. Il dit: "Je n'arrache pas les fleurs, je
les cueille par mes images".
La visite continue par le réfectoire où, autour d'une immense table
de chêne, trône d'un côté la fresque de la sainte Cène et de l'autre
une cheminée monumentale cévenole en pierre. Le four à pain, dans la
cour, a une circonférence de 2m (on y tient assis et couché) il fait
face à une mosaïque de maître Patrizio, de 2m de haut représentant le
Christ bénissant.
Le frère Joseph prend la relève pour continuer la visite.
La maison des hôtes a été entièrement restaurée par des artisans
locaux (toiture en lauze par Hervé Tinel, portes et fenêtres en
châtaignier de Charly Desailloux, enduit à la chaux par Philippe
Diet). La restauration a fait l'objet de nombreux articles dans des
revues spécialisées dont Maisons Paysannes de France ou
d'architecture. Frédérique Hébrard situe une scène de son livre -
Châtaigniers du désert - dans une chambre qui "sent bon la paille et
la prière".
Après quelques marches d'escalier les visiteurs découvrent la crypte
taillée dans le rocher. Un vitrail laisse filtrer une douce pénombre
dans ce cœur de pierre. Les historiens datent cette partie du Verdier
du XIIème siècle.
Puis les visiteurs ressentent une émotion en franchissant, pour
cette Journée exceptionnelle, un espace habituellement réservé aux
moines. Les cellules furent installées dans l'ancienne clède
(batiment où l'on fait sécher les châtaignes), puis le portail
conduisant au jardin. De ce côté le monastère découvre toute la
noblesse de l'ancien prieuré bénédictin avec les murs à pierres
sèches, un cadran solaire, une vue sur la vallée, le Gardon et… une
cupule. La cupule, vasque taillée dans le rocher, montre que les
Celtes, avant le christianisme, avait fait de ce piton rocheux un
lieu de sacrifice, de dévotion et de prière.
Plusieurs visiteurs déclarent: "Par les Journées Européennes du
Patrimoine nous avons découvert la Vallée Longue, un monastère
authentique et de très bons restaurants aux alentours". Les moines
répondent: "Alors à bientôt !"
Pour ceux qui le souhaitent il est possible de visiter le monastère
par internet: www.photo-frerejean.com
ou de venir visiter sur réservation du mardi au vendredi de 14h à
17h en téléphonant au : 04 66 45 42 93.
Re: Journées du patrimoine
Les membres du forum ont-ils visité des sites intéressants dans le cadre des journées du patrimoine?
Re: Journées du patrimoine
Fée Violine a écrit:Les membres du forum ont-ils visité des sites intéressants dans le cadre des journées du patrimoine?
Oui moi j'ai fait la visite virtuelle du bureau du président de la république et j'a
voue qu'il a un fort joli bureau à côté du mien
millou- Membre trop actif
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Date d'inscription : 17/02/2007
Re: Journées du patrimoine
Fée Violine a écrit: … une cupule. La cupule, vasque taillée dans le rocher, montre que les Celtes, avant le christianisme, avait fait de ce piton rocheux un lieu de sacrifice, de dévotion et de prière.
Une cupule, c'est une infractuosité laissée sur une pierre par l'érosion ou parfois par l'homme voire par les deux. On les trouve le plus souvent sur des pierres à surface plane. Il est très difficile de dater les cupules. On les attribue généralement aux cultures préhistoriques, donc des millénaires avant les Celtes. Il est cependant possible que ces derniers en aient fait un lieu sacré. De la à en faire un lieu de sacrifice, ces hypothèses sont sans preuve et ont leur origine dans les visions fantasmatiques des premiers évangélistes, individus douteux surtout soucieux de sataniser et babariser tous les cultes polythéistes. Les Celtes éxécutaient leurs condamnés dans des brasiers. Les suppliciés égorgés par un Druide sur des pierres dont le sang s'écoulant en rigoles vers les cupules au cours de sacrifices, c'est tout à fait farfelu !
Surcouf- Membre trop actif
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Colline- Membre
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Re: Journées du patrimoine
précision : je ne sais pas du tout à quoi (ni à qui !) correspondent les images qui apparaissent quand on appuie sur mes 2 photos, j'ai utilisé le site "imageshack" parce que Image Hotel ne fonctionne pas...?? étonnant..
Colline- Membre
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Points : 6583
Date d'inscription : 18/11/2008
Re: Journées du patrimoine
....ce sont 2 lieux différents, le 1er en Cévennes gardoises, le second en Lozère...qui trouvera ?
Colline- Membre
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Points : 6583
Date d'inscription : 18/11/2008
Colline- Membre
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Points : 6583
Date d'inscription : 18/11/2008
Re: Journées du patrimoine
Colline a écrit:....ce sont 2 lieux différents, le 1er en Cévennes gardoises, le second en Lozère...qui trouvera ?
La deuxième photo, on dirait la tour de La Garde Guérin ?
Re: Journées du patrimoine
"Sacrifices", ça ne veut pas dire "sacrifices humains"!Surcouf a écrit:Fée Violine a écrit: … une cupule. La cupule, vasque taillée dans le rocher, montre que les Celtes, avant le christianisme, avait fait de ce piton rocheux un lieu de sacrifice, de dévotion et de prière.
Une cupule, c'est une infractuosité laissée sur une pierre par l'érosion ou parfois par l'homme voire par les deux. On les trouve le plus souvent sur des pierres à surface plane. Il est très difficile de dater les cupules. On les attribue généralement aux cultures préhistoriques, donc des millénaires avant les Celtes. Il est cependant possible que ces derniers en aient fait un lieu sacré. De la à en faire un lieu de sacrifice, ces hypothèses sont sans preuve et ont leur origine dans les visions fantasmatiques des premiers évangélistes, individus douteux surtout soucieux de sataniser et babariser tous les cultes polythéistes. Les Celtes éxécutaient leurs condamnés dans des brasiers. Les suppliciés égorgés par un Druide sur des pierres dont le sang s'écoulant en rigoles vers les cupules au cours de sacrifices, c'est tout à fait farfelu !
Re: Journées du patrimoine
Exact ! Mon cerveau a du recevoir un message subliminal que les yeux ne permettent pas de voir ?
Sur les cupules visibles à proximité du skite, il faudrait savoir si des légendes en parlent ou si les pierres sont connues sous un nom particulier ?
Sur les cupules visibles à proximité du skite, il faudrait savoir si des légendes en parlent ou si les pierres sont connues sous un nom particulier ?
Surcouf- Membre trop actif
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