DÉCOUPAGE DES CANTONS

[GARRIGUES Bernard]

Pas de discussions ?

Il me semble qu'il y a beaucoup à écrire sur ce combat titanesque entre les élites de l'État (financées par l'État ?) et les féodaux locaux.

L'absurdité de la démarche ou de la logique me laisse pantois. Et je ne sais pas tout ; pour ne pas dire, pas grand chose.

[GARRIGUES Bernard]

Au vu de la carte des nouveaux cantons : mission impossible.

[GARRIGUES Bernard]

LES FORCES EN PRÉSENCE :

Mende 12140
Marvejols 5053
Saint-Chély-d'Apcher 4323
Langogne 3014
La Canourgue 2120
Florac 1942
Saint-Alban-sur-Limagnole 1505
Chanac 1399
Chirac 1172
Montrodat 1134
Aumont-Aubrac 1111
Badaroux 907
Le Monastier-Pin-Moriès 904
Le Malzieu-Ville 881
Banassac 866
Ispagnac 856
Meyrueis 825
Saint-Germain-du-Teil 798
Grandrieu 760
Rieutort-de-Randon 756
Chastel-Nouvel 736
Le Collet-de-Dèze 668
Barjac 660
Saint-Étienne-du-Valdonnez 638

[GARRIGUES Bernard]

Il y a (peut-être) une solution à peu près possible avec trois cantons centrés sur Mende et deux centrés sur Marvejols. À voir.

[millou]

 

un projet de passage de 22 régions à 15 avec comme carte pour le midi-pyrénées


La région Midi-Pyrénées fait partie des rares collectivités dont le périmètre pourrait ne pas évoluer du tout. Dans un second scénario, qui prévoirait le démantèlement de la région Languedoc-Roussillon voisine, il est tout de même possible de faire bouger les lignes dans la région actuelle en y ajoutant les départements de l'Aude, des Pyrénées Orientales et de la Lozère. Ces derniers, ajoutés au Lot, à l'Aveyron, au Tarn-et-Garonne, au Tarn, au Gers, à la Haute Garonne, aux Hautes-Pyrénées et enfin à l'Ariège rassembleraient près de 4 millions d'habitants.

Départements concernés : 46 Lot, 12 Aveyron, 82 Tarn-et-Garonne, 81 Tarn, 32 Gers, 31 Haute Garonne, 65 Haute-Pyrénées, 09 Ariège 11 Aude, 66 Pyrénées Orientales, 48 Lozère

[GARRIGUES Bernard]

J'ai l'impression que nos élites nationales cherchent des tas de sable afin d'amuser les élus et acteurs locaux.

Même s'il est certain que énarches et oies du capital (il y en a des qui sont les deux) ont perdu tout sens du rapport entre territoires réels et limites administratives ; ni aucune compréhension de l'utilité des niveaux territoriaux. Nous savons qu'historiquement , il y eu une époque où Toulouse "possédait" jusqu'au Rhône ou que la Narbonnaise s'établissait aux limites de l'influence de Marseille. Cela ne permet pas de s'affranchir des fondamentaux de l'organisation du territoire en partant de la brique de base : le village en zone rurale, la paroisse en zone urbaine. Faut-il répondre à l'absurde par de l'absurde ?

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