Environnement / OGM
+15
Fée Violine
A verdade do privato
fluke
Gina
Fraissinet
baboulaa
totoke
GARRIGUES Bernard
cilaos
Nicole
Surcouf
millou
kaïou
Raoul
Piboule
19 participants
Page 8 sur 18
Page 8 sur 18 • 1 ... 5 ... 7, 8, 9 ... 13 ... 18
Re: Environnement / OGM
Chopalin a écrit:
J'ai bien le droit d'avoir mes idées, même si elles ne vont pas dans le sens du forum, non ?
Je ne t'empèche de rien, tu dis ce que tu veux. T'as vu où qu'on t'empèche d'exposer tes idées ?
Raoul- Membre trop actif
- Nombre de messages : 2925
Points : 7334
Date d'inscription : 13/02/2007
Re: Environnement / OGM
Sauf raoul qu'en faisant des minots tu n'en empêches pas à toute la région, tu te les gardes !
Piboule- Faites la taire !
- Nombre de messages : 12225
Points : 11075
Date d'inscription : 13/02/2007
Re: Environnement / OGM
Pourquoi le maïs monsanto 810 est un nouveau contraceptif ?
Il y a quelque chose que je ne pige guère, un rapport de classe, un rapport avec Claude Allègre ?
Il y a quelque chose que je ne pige guère, un rapport de classe, un rapport avec Claude Allègre ?
Dernière édition par le Lun 14 Jan - 21:51, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Environnement / OGM
Non justement le maïs 810 Mons dissémine à plus de cent kilomètrres à la ronde, Raoul je ne pense pas !
Piboule- Faites la taire !
- Nombre de messages : 12225
Points : 11075
Date d'inscription : 13/02/2007
Re: Environnement / OGM
Plus loin même mais je ne récolte pas ce que je sème.
Raoul- Membre trop actif
- Nombre de messages : 2925
Points : 7334
Date d'inscription : 13/02/2007
Re: Environnement / OGM
Ne me raconte pas quand même que des femmes que tu n'as jamais rencontré mettent au monde tes enfants sans fécondation in-vitro non plus ! Attention à ta réponse sinon on te met dans un labo étanche !
Piboule- Faites la taire !
- Nombre de messages : 12225
Points : 11075
Date d'inscription : 13/02/2007
Re: Environnement / OGM
Le dernier à avoir fait ça n'est pas dans un labo mais dans toutes les églises.
Raoul- Membre trop actif
- Nombre de messages : 2925
Points : 7334
Date d'inscription : 13/02/2007
Re: Environnement / OGM
Raoul a écrit:Le dernier à avoir fait ça n'est pas dans un labo mais dans toutes les églises.
kaïou- Membre trop actif
- Nombre de messages : 6431
Age : 74
Points : 9817
Date d'inscription : 13/02/2007
Re: Environnement / OGM
Sur le maïs OGM (pas forcément Monsanto) a effets contraceptifs :PlumeSulfureuse a écrit:Pourquoi le maïs monsanto 810 est un nouveau contraceptif ?
" Les OGM présentent encore d’autres menaces potentielles sur l’environnement et la santé, notamment la recombinaison de virus et la création d’agents pathogènes nouveaux et peut-être incontrôlables liés à une pollution génétique généralisée. Un rapport récent dans l’Etat du Iowa établit que des producteurs de porcs qui nourrissent leurs bêtes au maïs Bt ont constaté des " pseudo-grossesses mystérieuses ". Une mycotoxine est suspectée. Lorsque les animaux cessèrent de consommer du maïs Bt, leur reproduction redevint normale. L’Agence de protection environnementale des Etats-Unis, qui réglemente le maïs Bt, n’exige pas de tests afin de déterminer les conséquences du Bt sur la reproduction animale."
" Un "maïs contraceptif" génétiquement modifié a été développé par Epicyte, une société de San Diego, Californie. Le maïs Epicyte tue le sperme humain en convertissant les plantes en petites fabriques horticoles qui produisent des "anticorps secrétoires". Le concept vient d’une situation peu courante d’infertilité immunologique dans laquelle la femme produit des anticorps qui attaquent le sperme. Ces anticorps peuvent être produits en masse dans des entreprises de fermentation mais le procédé OGM est moins onéreux."
source : http://www.delaplanete.org/Mais-en-danger-culture-en-danger.html
Surcouf- Membre trop actif
- Nombre de messages : 2686
Points : 8184
Date d'inscription : 13/02/2007
Raoul- Membre trop actif
- Nombre de messages : 2925
Points : 7334
Date d'inscription : 13/02/2007
Re: Environnement / OGM
Excellent !
Surcouf- Membre trop actif
- Nombre de messages : 2686
Points : 8184
Date d'inscription : 13/02/2007
Re: Environnement / OGM
Ah ces anglaises ! Pas farouches pour 2 pences !Albanie a écrit:SOUTENEZ LES VERGES CONSERVATRICES DE LOZERE !
Gina- Membre
- Nombre de messages : 101
Age : 55
Points : 6367
Date d'inscription : 20/09/2007
Re: Environnement / OGM
Albanie a écrit:SOUTENEZ LES VIERGES CONSERVATRICES DE LOZERE !
Nan, elles sont coincées.
Raoul- Membre trop actif
- Nombre de messages : 2925
Points : 7334
Date d'inscription : 13/02/2007
Re: Environnement / OGM
Manifestement d'une conscience à une autre, les OGM ne mènent pas aux mêmes discussions...
Invité- Invité
Re: Environnement / OGM
Té, instruisez-vous un peu, bande de nazes :
Un Verger Conservatoire … pourquoi ?
Qu’est-ce qu’un verger conservatoire ?
Un verger conservatoire est un verger spécialisé en variétés fruitières locales recensées et cultivées dans le milieu qui leur convient le mieux, comme pépinière de greffons, mais aussi pour la production de fruits frais ou transformés dans le cadre d’une agriculture de proximité.
Pourquoi ?
Pour la santé : Pour lutter contre la « malbouffe » qui résulte des monocultures de variétés internationales, pour produire des fruits de qualité exempts de traitements chimiques, cueillis à maturité et à proximité des consommateurs, donc frais, non contaminés et riches en vitamines.
Pour conserver le petit savoir-faire local : méthodes de culture, de taille, de greffes, de transformation, d’irrigation…
Pour la biodiversité : pour disposer d’une banque génétique vivante de variétés fruitières rares et empêchant leur disparition, pour offrir un service de greffons, pour lutter contre la standardisation des fruits de mauvaise qualité imposés au consommateur par l’impérialisme commercial.
Pour son rôle éducatif : Pour sensibiliser à l’importance du patrimoine fruitier local et de la typicité d’un terroir, encourager une économie rurale et la pratique d’une agriculture respectueuse de l’environnement, initier à la biodiversité et à l’environnement.
Pour la recherche scientifique : certaines variétés fruitières rustiques et adaptées aux conditions climatiques de leur territoire pouvent présenter des résistances aux maladies, aux parasites et aux dégénérescences pouvant intéresser la recherche agro-alimentaire.
Comment ?
Sur le terrain, plusieurs phases qui se chevauchent :
Phase 1 : Recensement des variétés fruitières déjà existantes dans le verger et mise en noms d’attente.
Plantation de porte-greffes
Phase 2 : Prospection : Enquête auprès de la population pour connaître les fruits locaux peu connus et spécifiques à une localité
Phase 3 : Plantation de jeunes arbres, collecte de greffons et greffage.
Phase 4 : Préparations des cartes d’identité fruitière, certification des noms de variétés par un centre national agréé comme le Centre de Pomologie d’Alès.
Invité- Invité
Re: Environnement / OGM
Ehooooooooooo ! Molo hein ! Si on peut plus plaisanter !Albanie a écrit:Té, instruisez-vous un peu, bande de nazes :
Bon, ceci dit :
Soutenez le verger conservatoire d'Albanie (et les autres), bande de mous !
Surcouf- Membre trop actif
- Nombre de messages : 2686
Points : 8184
Date d'inscription : 13/02/2007
Re: Environnement / OGM
Ben non surcouf tu mélanges tout ! Le mou, c'est le raisin, bande de pépins !
Piboule- Faites la taire !
- Nombre de messages : 12225
Points : 11075
Date d'inscription : 13/02/2007
Re: Environnement / OGM
En tout cas je le redis j'ai mis la main à hyper U sur du jus de pommes reinettes d'altier, c'est un véritable délice, il y a aussi du jus de poire aussi délicieux.
Vaoriser ces espèces rustiques et régionales ça passe par la création de vergers, si autrefois les arbres fruitiers donnaient à plein dans les pâturages maintenant c'est terminé pour deux raisons. Ils ne donnent plus rien par rapport aux pesticides engrais chimiques et lisiers, les seuls qui résisteraient on les coupe pour faciliter le passage du tracteur.
Vaoriser ces espèces rustiques et régionales ça passe par la création de vergers, si autrefois les arbres fruitiers donnaient à plein dans les pâturages maintenant c'est terminé pour deux raisons. Ils ne donnent plus rien par rapport aux pesticides engrais chimiques et lisiers, les seuls qui résisteraient on les coupe pour faciliter le passage du tracteur.
Piboule- Faites la taire !
- Nombre de messages : 12225
Points : 11075
Date d'inscription : 13/02/2007
Re: Environnement / OGM
Il y avait une brève dans ML sur la réussite de la commercialisation de yaourts locaux en Lozère. Avec l'augmentation du cout des transports c'est quelque chose qui devrait se développer de plus en plus.
(bon, c'est quand même pas demain qu'on fera des bananes à Laubert)
(bon, c'est quand même pas demain qu'on fera des bananes à Laubert)
Raoul- Membre trop actif
- Nombre de messages : 2925
Points : 7334
Date d'inscription : 13/02/2007
Re: Environnement / OGM
En tout cas moi il y a un moment que je manipule ces yaourts qui ont l'air vachement bons, avec des fruits au fond, mais un grand reproche que je leur fait impossible de savoir la teneur en matières grasses et pour mon mari c'est important :
on lit yaourt au lait de ferme de lozère et poudre de lait (dans quelle proportion, mystère) !
on lit yaourt au lait de ferme de lozère et poudre de lait (dans quelle proportion, mystère) !
Piboule- Faites la taire !
- Nombre de messages : 12225
Points : 11075
Date d'inscription : 13/02/2007
Re: Environnement / OGM
Ouais, Renée, mais il y a aussi un peu une question d'altitude. Les vergers ne grimpent guère au-dessus de 900 mètres, par contre c'est bien pour les pâturages. Tu regardes la haute vallée du Tarn, les vergers s'arrêtent à La Vernède et les pâturages commencent au Pont de Montvert.
Par contre, l'un n'exclut pas nécessairement l'autre. Vous avez justement les prés-vergers d'Albie , prés de fauche et de pâture pour les chèvres et moutons, mais plantés de fruitiers haute-tige permettant le passage des tracteurs, faucheuses et autres.
Par contre, l'un n'exclut pas nécessairement l'autre. Vous avez justement les prés-vergers d'Albie , prés de fauche et de pâture pour les chèvres et moutons, mais plantés de fruitiers haute-tige permettant le passage des tracteurs, faucheuses et autres.
Invité- Invité
Re: Environnement / OGM
Lu dans Midi Libre :
Les pommiers de la vallée de l'Altier
De Castanet à Cubiérettes, on peut apercevoir dans la campagne environnante, outre des ovins et des bovins, des vergers de pommiers qui, depuis des générations, sont entretenus par les autochtones.
Dans l'optique de valoriser la production, un groupe de producteurs a souhaité créer un atelier, à proximité des vergers, permettant la fabrication de jus de pomme.
Fruit de cette volonté, la coopérative Fruits de la vallée de l'Altier a vu le jour il y a une dizaine d'années. Aujourd'hui, elle regroupe une soixantaine d'adhérents, retraités, particuliers, agriculteurs, qui viennent chaque automne transformer leur production déclassée.
Situées en moyenne à 800 m d'altitude, les plantations sont principalement constituées de reinette blanche du Canada, mais des variétés anciennes comme la rouge de Borne ou la calville sont encore présentes dans la vallée. La récolte est faite de mi-octobre à mi-novembre. Une partie est destinée à la consommation personnelle, l'autre est commercialisée localement, bien souvent à proximité du lieu de production (environ deux tiers des coopérants transforment pour leur consommation personnelle).
Le rendement et la qualité des fruits sont tributaires des aléas climatiques. « Les pommes qui ont été touchées par la grêle partent bien souvent pour le jus », explique Didier Folcher, le président de la coopérative. Même si l'ensemble des adhérents préférerait commercialiser la production en l'état, ce sont les facteurs climatiques qui dictent les choix.
En moyenne, l'atelier transforme chaque année 60 tonnes de pommes, soit l'équivalent de 30 000 l de jus. Mais la dernière campagne a permis de transformer seulement 36 tonnes de fruit (soit 18 000 l de jus de pomme). « Les vergers ont été beaucoup moins productifs en raison peut-être des sécheresses successives. »
Au moment de la récolte, deux salariés sont embauchés pour réaliser la maintenance des machines ainsi que la gestion du planning de réservation des adhérents. « Lorsque lapresse est allumée, on s'assure que la cuve de 3 000 l sera remplie, ce qui équivaut à presser six tonnes de pommes. Les producteurs de petites quantités sont donc regroupés pour optimiser le coût de fonctionnement de l'atelier. » Pour utiliser l'atelier, l'achat de parts sociales est obligatoire car la coopérative n'est pas habilitée à réaliser des prestations de service et la facture est établie à l'utilisateur en fonction du litrage produit. Une fois les pommes pressées, le jus brut est conservé pendant 48 heures dans les cuves pour décanter. Ensuite, il est filtré une première fois avec un filtre à masse qui retient les gros déchets, une deuxième fois avec un filtre à plaque pour supprimer le tanin. Au moment de l'embouteillage, le jus est chauffé à 80 °C, permettant ainsi la pasteurisation des bouteilles. Encore bien chaudes, elles sont stockées à plat pour une bonne stérilisation des bouchons. Le délai de péremption de ce jus après la mise en bouteille est de trois ans. « L'an dernier, seulement 40 litres, sur la production totale de jus, ne se sont pas conservés. Pour travailler dans de meilleures conditions, nous avons, depuis peu, séparé les ateliers de pressage et d'embouteillage », conclut Didier Folcher.
La pomme de la vallée de l'Altier reste une production de niche bien ancrée dans son territoire, apportant sa contribution à la préservation des paysages et à une dynamique locale, notamment par le biais de la coopérative.
Les pommiers de la vallée de l'Altier
De Castanet à Cubiérettes, on peut apercevoir dans la campagne environnante, outre des ovins et des bovins, des vergers de pommiers qui, depuis des générations, sont entretenus par les autochtones.
Dans l'optique de valoriser la production, un groupe de producteurs a souhaité créer un atelier, à proximité des vergers, permettant la fabrication de jus de pomme.
Fruit de cette volonté, la coopérative Fruits de la vallée de l'Altier a vu le jour il y a une dizaine d'années. Aujourd'hui, elle regroupe une soixantaine d'adhérents, retraités, particuliers, agriculteurs, qui viennent chaque automne transformer leur production déclassée.
Situées en moyenne à 800 m d'altitude, les plantations sont principalement constituées de reinette blanche du Canada, mais des variétés anciennes comme la rouge de Borne ou la calville sont encore présentes dans la vallée. La récolte est faite de mi-octobre à mi-novembre. Une partie est destinée à la consommation personnelle, l'autre est commercialisée localement, bien souvent à proximité du lieu de production (environ deux tiers des coopérants transforment pour leur consommation personnelle).
Le rendement et la qualité des fruits sont tributaires des aléas climatiques. « Les pommes qui ont été touchées par la grêle partent bien souvent pour le jus », explique Didier Folcher, le président de la coopérative. Même si l'ensemble des adhérents préférerait commercialiser la production en l'état, ce sont les facteurs climatiques qui dictent les choix.
En moyenne, l'atelier transforme chaque année 60 tonnes de pommes, soit l'équivalent de 30 000 l de jus. Mais la dernière campagne a permis de transformer seulement 36 tonnes de fruit (soit 18 000 l de jus de pomme). « Les vergers ont été beaucoup moins productifs en raison peut-être des sécheresses successives. »
Au moment de la récolte, deux salariés sont embauchés pour réaliser la maintenance des machines ainsi que la gestion du planning de réservation des adhérents. « Lorsque lapresse est allumée, on s'assure que la cuve de 3 000 l sera remplie, ce qui équivaut à presser six tonnes de pommes. Les producteurs de petites quantités sont donc regroupés pour optimiser le coût de fonctionnement de l'atelier. » Pour utiliser l'atelier, l'achat de parts sociales est obligatoire car la coopérative n'est pas habilitée à réaliser des prestations de service et la facture est établie à l'utilisateur en fonction du litrage produit. Une fois les pommes pressées, le jus brut est conservé pendant 48 heures dans les cuves pour décanter. Ensuite, il est filtré une première fois avec un filtre à masse qui retient les gros déchets, une deuxième fois avec un filtre à plaque pour supprimer le tanin. Au moment de l'embouteillage, le jus est chauffé à 80 °C, permettant ainsi la pasteurisation des bouteilles. Encore bien chaudes, elles sont stockées à plat pour une bonne stérilisation des bouchons. Le délai de péremption de ce jus après la mise en bouteille est de trois ans. « L'an dernier, seulement 40 litres, sur la production totale de jus, ne se sont pas conservés. Pour travailler dans de meilleures conditions, nous avons, depuis peu, séparé les ateliers de pressage et d'embouteillage », conclut Didier Folcher.
La pomme de la vallée de l'Altier reste une production de niche bien ancrée dans son territoire, apportant sa contribution à la préservation des paysages et à une dynamique locale, notamment par le biais de la coopérative.
Invité- Invité
"le monde selon monsanto"
pour ceux que cela interesse, le 11 mars sur arte a 21 heure.a faire flipper l'humanité.
fluke- Membre
- Nombre de messages : 193
Age : 57
Points : 6426
Date d'inscription : 13/09/2007
Re: Environnement / OGM
un plus concernant ce post:http://www.arte.tv/fr/connaissance-decouverte/LemondeselonMonsanto/Interview-de-Marie-Monique-Robin/1912692.html
fluke- Membre
- Nombre de messages : 193
Age : 57
Points : 6426
Date d'inscription : 13/09/2007
Page 8 sur 18 • 1 ... 5 ... 7, 8, 9 ... 13 ... 18
Sujets similaires
» LA GUERRE, LA MISERE ET L'ENVIRONNEMENT
» Lbqy
» "Grenelle de l'environnement en Octobre"
» Les "Greluches" de l'environnement...
» Lbqy
» "Grenelle de l'environnement en Octobre"
» Les "Greluches" de l'environnement...
Page 8 sur 18
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum