Re: on peut etre humaniste en tout

par baboulaa Dim 2 Déc - 22:03

Renée a écrit:je plaisante gentiment baboulaa et je riais en douce parce que les foromeurs voulaient des choses gaies qui détendent. Tu sais bien que moi par contre j'aime bien parler de tout avec tout le monde.

La culture et l'histoire peuvent détendre meme si ce n'est pas gaie.....
Pour la plaisanterie, reprenez vos esprit madame et ne riez point de mes déboires on peut etre humaniste en tout - Page 2 966752

on peut etre humaniste en tout - Page 2 966752

par Piboule Dim 2 Déc - 22:04

Pouquoi déboires ton sujet était bon, définitif mais bon !

par Piboule Dim 2 Déc - 22:06

Au fait un livre qui te plairait sûrement : les grandes affaires crimi,elles en lozère de marie-pascale vincent éditions de borée !

par baboulaa Dim 2 Déc - 22:14

merci pour ce renseignement

par baboulaa Dim 2 Déc - 22:15

pour Cilaos; zut je retrouve pas l'histoire du lozerien qui s'est fait bouffer le foie

par cilaos Dim 2 Déc - 22:21

Renée a écrit:Au fait un livre qui te plairait sûrement : les grandes affaires crimi,elles en lozère de marie-pascale vincent éditions de borée !

on peut etre humaniste en tout - Page 2 97828410

par baboulaa Dim 2 Déc - 23:21

Pour Cilaos:
com promis com dut:

UN Oblat de Marie, le P. Jean-Baptiste Rouvière né à la Bastide d'Antrenas en 1881, qui exerçait un dur apostolat dans le grand nord, parmi les esquimaux, fut tristement assassiné par eux en 1913.
C'était au-dela du cercle polaire, au sud du lac Imerenick, devenu depuis le lac Rouvière.
Rouvière et son compagnon Leroux, effectuaient un long déplacement, trois esquimaux les suivaient à distance: Oulouksak, Sinnisiak et le sorcier Urlack;
Un jour, par surprise, Oulouksak, s'empara de la carabine du P.Leroux et tua J.B.Rouvière.
Sinnisiack lui plongeât ensuite son poignard dans le flanc
Oulouksak avec la hache de bucheron des missionnaires,trancha la tête, les mains, les jambes du P.Rouvière
puis, il l'éventra et retira son foie que les trois sauvages se partagèrent.
Le P. Leroux fut aussi abattu comme un caribou
On retrouva bien plus tard les restes des cadavres
L'évêque du Grand Nord demanda et obtint le pardon des meurtriers.

Bonne nuits les petits faites de beaux rêves Baboulaa veille et protège vos foies

par Invité Lun 3 Déc - 0:15

Il était une fois, un bon gâteau de foie à manger avec les rois sur le toit de chez toi... Paix à ton carquois Baboulaa

par kaïou Lun 3 Déc - 8:04

par baboulaa Lun 3 Déc - 8:26

Tant de sorciers me recherchent alors, évitez très chère amie de mettre ma photo sur le net

par Surcouf Lun 3 Déc - 9:00

Sympa ce sujet : je ne connaissais ni Nicolas Roch, ni ce livre sur les affaires criminelles en Lozère !

par kaïou Lun 3 Déc - 9:20

le bourreau en tant que "poste"n'existait pas,il était un contractuel de l'état français,en quelque sorte un meurtrier légal qui aurait peut ètre été meurtrier tout court s'il n'avait trouvé cet exutoire peu envié.Qui sait?
d'aprés les écrits sur le sujet les foules se déplaçaient plus pour voir l'exécuteur que le futur raccourci.

par baboulaa Lun 3 Déc - 10:51

Surcouf a écrit:Sympa ce sujet : je ne connaissais ni Nicolas Roch, ni ce livre sur les affaires criminelles en Lozère !

et l'histoire reelle de J.B.Rouviere confused

elle ne t'as pas parue sympa toi le grand navigateur et explorateur des océans.
Tu as du en voir des Baboulaa.... on peut etre humaniste en tout - Page 2 966752

par baboulaa Lun 3 Déc - 11:01

kaïou a écrit: un meurtrier légal qui aurait peut ètre été meurtrier tout court s'il n'avait trouvé cet exutoire peu envié.Qui sait?

Pas sur il faut se remettre dans le contexte de l'époque, ou la peine de mort existait et était dans les mentalités et les faits

par Invité Lun 3 Déc - 11:35

Les fines lames avaient belle réputation à tenir il me semble...
Doit-on depuis ce jour-là cette expression : Prendre jambe à son cou ?

par Piboule Lun 3 Déc - 11:45

Du moment qu'il y avait la peine de mort, normal qu'il y avait des bourreaux.

par baboulaa Lun 3 Déc - 11:54

PlumeSulfureuse a écrit:Les fines lames avaient belle réputation à tenir il me semble...
Doit-on depuis ce jour-là cette expression : Prendre jambe à son cou ?

je pense que les fines lames avaient pour référence le fleuret
concernant l'expression "Prendre jambe à son cou" je pense que c'est une référence au lièvre qui lorsqu'il court jette ses pattes arrières au devant donc sous son cou
mais là je suppose et ce n'est point "paroles d'évangiles"

par kaïou Lun 3 Déc - 12:03

recalé le mal rasé,il s'agit de préparatifs à un voyage et pour ce bien sur ne pas oublier les jambes. on peut etre humaniste en tout - Page 2 83963

nos cousins canadiens ont une expression similaire:
S'en aller la queue sur les fesses
trés imagée!
si nicole passe par la.........

par baboulaa Lun 3 Déc - 14:21

kaïou a écrit:recalé le mal rasé,

Reste à me le prouver révérant père Ka Embarassed

par cilaos Lun 3 Déc - 16:31

Les analphabètes de l’amour croient que "prendre ses jambes à son cou" signifie détaler à toute vitesse. Pas du tout !
Dans les relations sexuelles, un homme qui désire une femme, prend ses jambes à son cou absolument pas pour s’enfuir, mais, bien au contraire, afin d’être plus intimement proche d’elle.
La preuve…

on peut etre humaniste en tout - Page 2 Kama_j10

on peut etre humaniste en tout - Page 2 Kama_j10

http://www.doctissimo.fr/html/kamasutra/se_3200_jambes_cou_16.htm

par baboulaa Lun 3 Déc - 16:35

je préféré et de loin cette explication à celle de Kaïou

et ton foie cher Cialos vas t-il mieux?

par cilaos Lun 3 Déc - 16:37

Plus sérieusement

Heureusement, il suffit de remonter à la fin du XVIIe siècle pour trouver l'explication de l'origine, à défaut de comprendre le lien avec le sens actuel.
A cette époque, en effet, Furetière écrivait que prendre ses jambes à son cou se disait, au début de son siècle, "prendre ses jambes sur son col" (notez le 'sur') et signifiait "se résoudre à partir pour quelque message ou quelque voyage".

Il s'agissait donc simplement des préparatifs à un déplacement qui outre quelques menus objets nécessaires au voyage, nécessitait, bien sûr, d'emporter aussi ses jambes.
Et comme le sac des bagages était souvent porté en bandoulière ou à l'aide d'une sangle passant derrière le cou, il fallait aussi "prendre ses jambes sur son col".

Ce n'est qu'au XVIIIe siècle que le sens de l'expression a évolué pour marquer la promptitude, la vitesse.

par cilaos Lun 3 Déc - 16:42

baboulaa a écrit:je préféré et de loin cette explication à celle de Kaïou

et ton foie cher Cialos vas t-il mieux?

Mon foie va mieux depuis que j'ai fait 3 cures à Vichy ( chut le dit pas à Piboule !)

Alors comme ça il y avait des cannibales en Lozère affraid

par baboulaa Lun 3 Déc - 16:43

je mourrai moins bête à présent et présente mes plus vives excuses à Kaïou qu'il me pardonne d'avoir un instant douté de sa haute culture ou de ses qualités de chercheur sur le net

par baboulaa Lun 3 Déc - 16:46

cilaos a écrit:

Mon foie va mieux depuis que j'ai fait 3 cures à Vichy ( chut le dit pas à Piboule !)

Alors comme ça il y avait des cannibales en Lozère

hep Monsieur ne renversez pas les rôle en Lozère il n'y avait pas de cannibales mais ce Lozèrien c'est fait bouffer le foie dans le grand nord

De victime, ne le faisons pas passer en coupable

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