La rubrique des CINEPHILES
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Re: La rubrique des CINEPHILES
Tamara Drewe
De Stephen Frears
Avec Gemma Arterton, Roger Allam, Bill Camp
Un face à face détonant
Prenez une journaliste londonnienne de la presse people, à l’esthétique irréprochable aidée par un peu de chirurgie esthétique et replongez la dans le village de son enfance, un minuscule patelin ou rien ne se passe. Il ne faudra pas plus de 48 heures pour que tout un passé fait de petits secrets, de cachoteries, d’amours adolescentes, de petites blessures et de quelques mesquineries remonte, et que cela donne une belle tempête sur cette mer de la tranquillité. Ajoutez-y des vaches, un chien vagabond, la vedette d’un groupe rock et deux gamines fans hystériques, quelques intellectuels ratés en villégiature, une fermière bio un peu trop confiante en son mari et un ordinateur aux mails trop faciles d’accès et vous obtenez, grâce à la direction de Stephen Frears, un vaudeville comme savent si bien les faire les anglais. Critique gentille de la société du paraitre, il montre que la peopolisation injustifiée des uns et les rancœurs des autres peuvent conduire au drame. Le tout est filmé sur le ton badin et sarcastique de l’humour noir anglais. C’est un bon moment de détente avec des acteurs très justes.
De Stephen Frears
Avec Gemma Arterton, Roger Allam, Bill Camp
Un face à face détonant
Prenez une journaliste londonnienne de la presse people, à l’esthétique irréprochable aidée par un peu de chirurgie esthétique et replongez la dans le village de son enfance, un minuscule patelin ou rien ne se passe. Il ne faudra pas plus de 48 heures pour que tout un passé fait de petits secrets, de cachoteries, d’amours adolescentes, de petites blessures et de quelques mesquineries remonte, et que cela donne une belle tempête sur cette mer de la tranquillité. Ajoutez-y des vaches, un chien vagabond, la vedette d’un groupe rock et deux gamines fans hystériques, quelques intellectuels ratés en villégiature, une fermière bio un peu trop confiante en son mari et un ordinateur aux mails trop faciles d’accès et vous obtenez, grâce à la direction de Stephen Frears, un vaudeville comme savent si bien les faire les anglais. Critique gentille de la société du paraitre, il montre que la peopolisation injustifiée des uns et les rancœurs des autres peuvent conduire au drame. Le tout est filmé sur le ton badin et sarcastique de l’humour noir anglais. C’est un bon moment de détente avec des acteurs très justes.
Surcouf- Membre trop actif
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Re: La rubrique des CINEPHILES
600 kilos d'or pur
de Eric Bernard
avec Clovis Cornillard, Patrick Chesnais, Audrey Dana ...
Dans la jungle de Guyanne française on trouve pas mal d'or. C'est la qu'est établie une compagnie minière canadienne, une multitude de petites concessions privées et encore plus de garimpeiros clandestins. Un groupe de potes, de gentils truands, décide de rafler la mise pour se couler une retraite dorée en fauchant la réserve d'or de la Cie minière. L'opération est menée de main de maitre, sauf qu'à partir de la, le scénario est d'un légèreté blamable. Déjà il est certain que le bureau de poste de Serverette est mieux protégé que la mine. Ensuite, la fuite dans la jungle des 5 voleurs rejoints par une indienne en cloque jusqu'aux yeux, semble peu crédible. On suit avec peu d'intérêt les périgrinations amazoniennes de ces pieds nickelés, poursuivis par des clandestins pas plus attrayants. Quelques prises de vue à vocation écologique maintiennent un peu le spectateur en éveil. Peu servis par un scénario approximtif, les acteurs font de leur mieux, Patrick Chesnais notamment. Ca pourra faire l'affaire un dimanche soir d'hiver à la tété.
de Eric Bernard
avec Clovis Cornillard, Patrick Chesnais, Audrey Dana ...
Dans la jungle de Guyanne française on trouve pas mal d'or. C'est la qu'est établie une compagnie minière canadienne, une multitude de petites concessions privées et encore plus de garimpeiros clandestins. Un groupe de potes, de gentils truands, décide de rafler la mise pour se couler une retraite dorée en fauchant la réserve d'or de la Cie minière. L'opération est menée de main de maitre, sauf qu'à partir de la, le scénario est d'un légèreté blamable. Déjà il est certain que le bureau de poste de Serverette est mieux protégé que la mine. Ensuite, la fuite dans la jungle des 5 voleurs rejoints par une indienne en cloque jusqu'aux yeux, semble peu crédible. On suit avec peu d'intérêt les périgrinations amazoniennes de ces pieds nickelés, poursuivis par des clandestins pas plus attrayants. Quelques prises de vue à vocation écologique maintiennent un peu le spectateur en éveil. Peu servis par un scénario approximtif, les acteurs font de leur mieux, Patrick Chesnais notamment. Ca pourra faire l'affaire un dimanche soir d'hiver à la tété.
Surcouf- Membre trop actif
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Re: La rubrique des CINEPHILES
Water makes money
Documentaire de Leslie Franke et Herdolor Lorenz
Documentaire sur deux entreprises multinationales Veolia et Suez qui se sont accaparé la gestion de l'eau, et qui la trasforme en argent. Le film met en évidence toutes les combines, malversations, corruption, lobbying, tromperies etc ... de ces entreprises pour obtenir le contrôle de l'eau dans les municipalités, faire du profit et investir dans d'autres activités. Montée en flèche du prix de l'eau, baisse de la qualité, inaction sur le réseau sont les trois incontournables de leur gestion. On voit les exemples de Paris, de l'Idf, Grenoble, Bordeaux, Toulouse, Montpellier, Munich, Uruguay, Bolivie, Argentine, USA, Kenya. Le film dénonce aussi, preuves à l'appui, le mélange des genres : les fameux partenaraits publis privés (PPP) qui ne sont que d'authentiques privatisations, les passages du monde politique au monde entreprenarial des cadres de veolia ou suez et l'inverse, l'écran d'organismes et d'associations payées par les industriels pour entretenir une opacité sur qui fait quoi, la pénétration des milieux scientifiques par des chaires dans les universités et l'orientation des recherches (et la manipulation des résultats). Il y a un bon morceau du reportage consacré à Montpellier. On en apprend de belles !
Mais le film montre surtout que cette privatisation n'est pas une fatalité ! Bon nombre de capitales et grandes villes ont franchi le pas du rerour en régie municipale et de la gestion publique.
http://www.watermakesmoney.com/fr/accueil.html
Documentaire de Leslie Franke et Herdolor Lorenz
Documentaire sur deux entreprises multinationales Veolia et Suez qui se sont accaparé la gestion de l'eau, et qui la trasforme en argent. Le film met en évidence toutes les combines, malversations, corruption, lobbying, tromperies etc ... de ces entreprises pour obtenir le contrôle de l'eau dans les municipalités, faire du profit et investir dans d'autres activités. Montée en flèche du prix de l'eau, baisse de la qualité, inaction sur le réseau sont les trois incontournables de leur gestion. On voit les exemples de Paris, de l'Idf, Grenoble, Bordeaux, Toulouse, Montpellier, Munich, Uruguay, Bolivie, Argentine, USA, Kenya. Le film dénonce aussi, preuves à l'appui, le mélange des genres : les fameux partenaraits publis privés (PPP) qui ne sont que d'authentiques privatisations, les passages du monde politique au monde entreprenarial des cadres de veolia ou suez et l'inverse, l'écran d'organismes et d'associations payées par les industriels pour entretenir une opacité sur qui fait quoi, la pénétration des milieux scientifiques par des chaires dans les universités et l'orientation des recherches (et la manipulation des résultats). Il y a un bon morceau du reportage consacré à Montpellier. On en apprend de belles !
Mais le film montre surtout que cette privatisation n'est pas une fatalité ! Bon nombre de capitales et grandes villes ont franchi le pas du rerour en régie municipale et de la gestion publique.
http://www.watermakesmoney.com/fr/accueil.html
Surcouf- Membre trop actif
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Re: La rubrique des CINEPHILES
http://videos.arte.tv/fr/videos/un_taxi_pour_l_enfer-3483212.html
Un taxi pour l'enfer
En décembre 2002, en Afghanistan, un jeune chauffeur de taxi nommé Dilawar est arrêté et incarcéré à la prison militaire américaine de Bagram. Il meurt en détention cinq jours plus tard. Ce n'est qu'après la découverte d'un certificat de décès portant la mention "homicide" par des reporters du New York Times que l'état-major américain consent à s'interroger sur cette mort suspecte. Car Dilawar est mort sous la torture, et ses bourreaux, comme va le découvrir Alex Gibney, l'ont achevé alors qu'ils étaient déjà convaincus de son innocence. Ensuite, ils partirent exercer leurs talents pour l'interrogatoire à la prison irakienne d'Abou Ghraib.
Le supplice de Dilawar constitue le point névralgique de ce documentaire exemplaire, réalisé par Alex Gibney, auteur d'un précédent film très remarqué sur le scandale d'Enron. À travers les témoignages de ses proches, des soldats inculpés, mais aussi d'officiels haut placés dans l'armée ou dans l'administration Bush, apparaissent clairement la volonté et la responsabilité du pouvoir dans le recours à la torture en violation de toutes les règles de la guerre fixées par la convention de Genève.
Un taxi pour l'enfer
En décembre 2002, en Afghanistan, un jeune chauffeur de taxi nommé Dilawar est arrêté et incarcéré à la prison militaire américaine de Bagram. Il meurt en détention cinq jours plus tard. Ce n'est qu'après la découverte d'un certificat de décès portant la mention "homicide" par des reporters du New York Times que l'état-major américain consent à s'interroger sur cette mort suspecte. Car Dilawar est mort sous la torture, et ses bourreaux, comme va le découvrir Alex Gibney, l'ont achevé alors qu'ils étaient déjà convaincus de son innocence. Ensuite, ils partirent exercer leurs talents pour l'interrogatoire à la prison irakienne d'Abou Ghraib.
Le supplice de Dilawar constitue le point névralgique de ce documentaire exemplaire, réalisé par Alex Gibney, auteur d'un précédent film très remarqué sur le scandale d'Enron. À travers les témoignages de ses proches, des soldats inculpés, mais aussi d'officiels haut placés dans l'armée ou dans l'administration Bush, apparaissent clairement la volonté et la responsabilité du pouvoir dans le recours à la torture en violation de toutes les règles de la guerre fixées par la convention de Genève.
kaïou- Membre trop actif
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Re: La rubrique des CINEPHILES
Le bruit des glaçons
France, de Bertrand Blier, avec Jean Dujardin, Albert Dupontel, Anne Alvaro, Myriam Boyer ...
Un type reçoit la visite de son cancer. Ils font connaissance. Et la relation (la maladie) évolue. Film surréaliste dans lequel l'originalité ne sauve pas l'ennui qui s'installe. Le dénouement rattrape un peu l'ensemble, l'enthousiasme des acteurs aussi, mais le scénario reste en plomb.
Des hommes et des dieux
France, de Xavier Beauvois avec Lambert Wilson, Michael Lonsdale…
L’histoire des moines de Tibérine. Très beau film et une grande interprétation des acteurs. La foi des humbles, chrétien ou musulman est perceptible.
Les petits mouchoirs
France, film de Guillaume Canet avec François Cluzet, Marion Cotillard …
Une bande de copains voit son départ en vacances menacé par un évènement tragique touchant l’un deux. Finalement, sous des arguments de bonne conscience, un certain égoïsme l’emporte sur la solidarité. Et ce sera ça pendant tout le séjour. Excellente comédie psychologique renforcée par des grands moments d’émotion qui ne tombent pas dans l’excès. Ca sent le César du meilleur film, du meilleur second rôle féminin (Valérie Bonneton) peut être ?
Biutiful
Mexique, film de Alejandro González Inárritu avec Javier Bardem, Maricel Álvarez …
Dans le tiers-monde de Barcelone, un gars essaye de surnager malgré un couple détruit, une santé déclinante et un environnement difficile. A cheval entre les exclus qu’il tente d’aider moyennant finance et les autorités qu’il tente de corrompre, Uxbal est balloté par les évènements qu’il subi alors qu’il voudrait les maitriser. Film social, dur, sale et violent, il décape l’image lisse, policée, bobo et chaleureuse de Barcelone l’orgueilleuse, la prétentieuse, la menteuse qui maltraite ses pauvres comme toutes les grandes villes. Gonzàlez Inàrittu a parsemé ses scènes du symbolisme mexicain sur la mort, renforçant la noirceur de l’histoire.
Social network
Usa, film de David Fincher avec Jesse Eisenberg, Justin Timberlake.
L’histoire de la création de Facebook et les imbroglios juridiques qui ont marqué sa naissance. Génial visionnaire ou vulgaire pirate, la vérité est probablement à mi chemin. Mark Zuckerberg apparait toutefois comme un type à l’ego surdimensionné, décalé du monde avec des difficultés relationnelles manifestes. Ceci explique peut être cela ? Film intéressant en tous cas.
Potiche
France, film de François Ozon avec Catherine Deneuve, Gérard Depardieu, Fabrice Luchini, Judith Godrèche, Karin Viard …
En 1977, un patron d’usine doit faire face à une grève et une séquestration. Il en fait une attaque cardiaque, ce qui oblige son épouse à diriger l’usine. Le film est une galerie de personnages des années 70. Nouveaux riches puants, prolétaires basiques, jeunes pré-libéraux, politiciens paternalistes, secrétaire vénale, épouse soumise tout y passe. Les décors et les costumes sont à mourir de rire. Les prestations sont bonnes avec une mention spéciale pour Catherine Deneuve en bourgeoise devenue sage et Judith Godrèche, coiffée à la Farrah Fawcett en chipie désagréable comme une Nadine Morano. On passe un moment très agréable, les spectateurs ont applaudi à la fin, les répliques sarkostiques avaient fait mouche.
France, de Bertrand Blier, avec Jean Dujardin, Albert Dupontel, Anne Alvaro, Myriam Boyer ...
Un type reçoit la visite de son cancer. Ils font connaissance. Et la relation (la maladie) évolue. Film surréaliste dans lequel l'originalité ne sauve pas l'ennui qui s'installe. Le dénouement rattrape un peu l'ensemble, l'enthousiasme des acteurs aussi, mais le scénario reste en plomb.
Des hommes et des dieux
France, de Xavier Beauvois avec Lambert Wilson, Michael Lonsdale…
L’histoire des moines de Tibérine. Très beau film et une grande interprétation des acteurs. La foi des humbles, chrétien ou musulman est perceptible.
Les petits mouchoirs
France, film de Guillaume Canet avec François Cluzet, Marion Cotillard …
Une bande de copains voit son départ en vacances menacé par un évènement tragique touchant l’un deux. Finalement, sous des arguments de bonne conscience, un certain égoïsme l’emporte sur la solidarité. Et ce sera ça pendant tout le séjour. Excellente comédie psychologique renforcée par des grands moments d’émotion qui ne tombent pas dans l’excès. Ca sent le César du meilleur film, du meilleur second rôle féminin (Valérie Bonneton) peut être ?
Biutiful
Mexique, film de Alejandro González Inárritu avec Javier Bardem, Maricel Álvarez …
Dans le tiers-monde de Barcelone, un gars essaye de surnager malgré un couple détruit, une santé déclinante et un environnement difficile. A cheval entre les exclus qu’il tente d’aider moyennant finance et les autorités qu’il tente de corrompre, Uxbal est balloté par les évènements qu’il subi alors qu’il voudrait les maitriser. Film social, dur, sale et violent, il décape l’image lisse, policée, bobo et chaleureuse de Barcelone l’orgueilleuse, la prétentieuse, la menteuse qui maltraite ses pauvres comme toutes les grandes villes. Gonzàlez Inàrittu a parsemé ses scènes du symbolisme mexicain sur la mort, renforçant la noirceur de l’histoire.
Social network
Usa, film de David Fincher avec Jesse Eisenberg, Justin Timberlake.
L’histoire de la création de Facebook et les imbroglios juridiques qui ont marqué sa naissance. Génial visionnaire ou vulgaire pirate, la vérité est probablement à mi chemin. Mark Zuckerberg apparait toutefois comme un type à l’ego surdimensionné, décalé du monde avec des difficultés relationnelles manifestes. Ceci explique peut être cela ? Film intéressant en tous cas.
Potiche
France, film de François Ozon avec Catherine Deneuve, Gérard Depardieu, Fabrice Luchini, Judith Godrèche, Karin Viard …
En 1977, un patron d’usine doit faire face à une grève et une séquestration. Il en fait une attaque cardiaque, ce qui oblige son épouse à diriger l’usine. Le film est une galerie de personnages des années 70. Nouveaux riches puants, prolétaires basiques, jeunes pré-libéraux, politiciens paternalistes, secrétaire vénale, épouse soumise tout y passe. Les décors et les costumes sont à mourir de rire. Les prestations sont bonnes avec une mention spéciale pour Catherine Deneuve en bourgeoise devenue sage et Judith Godrèche, coiffée à la Farrah Fawcett en chipie désagréable comme une Nadine Morano. On passe un moment très agréable, les spectateurs ont applaudi à la fin, les répliques sarkostiques avaient fait mouche.
Surcouf- Membre trop actif
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Re: La rubrique des CINEPHILES
Plongé dans un scénario pas toujours des plus crédibles, on réalise que l'important est largement ailleurs.
Dans les dialogues, dans les personnages, dans ces morceaux de vie qu'ils arrachent avec les dents.
C'est frais, c'est jouissif, c'est réfléchi, spontané et extrêmement bien joué, du cinéma français complètement désinhibé et ça fait du bien !
Dans les dialogues, dans les personnages, dans ces morceaux de vie qu'ils arrachent avec les dents.
C'est frais, c'est jouissif, c'est réfléchi, spontané et extrêmement bien joué, du cinéma français complètement désinhibé et ça fait du bien !
Re: La rubrique des CINEPHILES
Un bon moment de délire bien sanglant : Machete.
Pour ceux qui apprécient le second degrés, les jolies filles et qui ont l'estomac bien accroché.
Choisir les places du fond pour ne pas être éclaboussé.
Pour ceux qui apprécient le second degrés, les jolies filles et qui ont l'estomac bien accroché.
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Raoul- Membre trop actif
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Re: La rubrique des CINEPHILES
Quand il ne fait pas d'excellents films un brin violent comme Machete, le réalisateur Roberto Rodriguez est le guitariste du groupe de rock Chingon. Quand il revisite Malagueña salerosa, un classique mariachi, ça donne :
Surcouf- Membre trop actif
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Re: La rubrique des CINEPHILES
Ca manque pas de tripes. Comme son film.
En même temps c'est une des musique de Kill Bill si je ne m'abuse. Kill Bill qui n'est pas non plus un film pour bambin.
En même temps c'est une des musique de Kill Bill si je ne m'abuse. Kill Bill qui n'est pas non plus un film pour bambin.
Raoul- Membre trop actif
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kaïou- Membre trop actif
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Re: La rubrique des CINEPHILES
Roberto Rodriguez est aussi le producteur d'une scène torride entre la belle Salma et un serpent langoureux dans son film Del crepusculo al amanecer. Le plus drôle est que Salma Hayek a une phobie des reptiles.
Même groupe à la zique, on aperçoit Tarentino dans la salle.
Même groupe à la zique, on aperçoit Tarentino dans la salle.
Surcouf- Membre trop actif
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Re: La rubrique des CINEPHILES
Dans "Machete", le conseiller d'un sénateur ripoux lui demande de marcher avec une béquille devant les journalistes pour qu'on s'apitoie sur son sort.
Dans "le Président", il y a exactement la même scène concernant l'opération de la hanche de Frèche.
Je ne fais pas de parallèle, c'est juste une coïncidence.
Raoul- Membre trop actif
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Re: La rubrique des CINEPHILES
évidemment........
Si il danse ça coince
Si il danse ça coince
kaïou- Membre trop actif
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Raoul- Membre trop actif
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Re: La rubrique des CINEPHILES
Lent...mais voulu ! Dérangeant à bien des égard, trouvant parfois... Damon donne une épaisseur formidable à son rôle, Cécile de France est superbe et émouvante.
Midi Libre ce jour :
Une professeur à la retraite veut "développer le goût du cinéma"
Dominique Coujard, une professeur de cinéma à la retraite revient sur le manque de dynamisme du cinéma en Lozère.
Selon elle, le département se doit d'organiser des avant-premières de films et des rencontres avec les réalisateurs comme partout ailleurs.
La semaine prochaine, Mende et Langogne accueilleront l'avant-première du film franco-chinois, La Rizière.
Dominique Coujard, une professeur de cinéma à la retraite revient sur le manque de dynamisme du cinéma en Lozère.
Selon elle, le département se doit d'organiser des avant-premières de films et des rencontres avec les réalisateurs comme partout ailleurs.
La semaine prochaine, Mende et Langogne accueilleront l'avant-première du film franco-chinois, La Rizière.
Re: La rubrique des CINEPHILES
Film à voir, sans hésiter !
Bon scenario, belle mise en scène, bien filmé.
Des acteurs extras, J-P Rouve bien sûr, mais aussi le jeune flic, une belle révélation masculine, sans oublier la magnifique "Marylin".
C'est un film étonnant et inclassable, mais très touchant, drôle, émouvant.
Des scènes déjà cultes, comme la publicité pour le fromage, ou les pompiers nus pour un calendrier, ou encore celle avec le romancier et le jeune flic allongés dans le sauna (simple et magnifique). Ce film est rempli d'imagination créative, de belles idées de mise en scène.
C'est un bon film qui méritait un peu plus de publicité, et peut-être aussi un titre un peu moins cul-cul.
Il prouve que le cinéma français peut avoir quelque chose à déclarer.
POUPOUPIDOU_Bande-annonce
envoyé par diaphana. - Regardez des web séries et des films.
Bon scenario, belle mise en scène, bien filmé.
Des acteurs extras, J-P Rouve bien sûr, mais aussi le jeune flic, une belle révélation masculine, sans oublier la magnifique "Marylin".
C'est un film étonnant et inclassable, mais très touchant, drôle, émouvant.
Des scènes déjà cultes, comme la publicité pour le fromage, ou les pompiers nus pour un calendrier, ou encore celle avec le romancier et le jeune flic allongés dans le sauna (simple et magnifique). Ce film est rempli d'imagination créative, de belles idées de mise en scène.
C'est un bon film qui méritait un peu plus de publicité, et peut-être aussi un titre un peu moins cul-cul.
Il prouve que le cinéma français peut avoir quelque chose à déclarer.
POUPOUPIDOU_Bande-annonce
envoyé par diaphana. - Regardez des web séries et des films.
Re: La rubrique des CINEPHILES
Le discours d’un roi
De Tom Hooper
avec Avec Colin Firth, Helena Bonham Carter, Geoffrey Rush
Un bijou d’interprétation pour Colin Firth en roi bègue et Geoffrey Rush en orthophoniste ! C’est un film comme savent si bien le faire les anglais, bourré d’émotions sans être patho, bourré d’humanité mais toujours pudique, bourré de flegme mais toujours chaleureux. Le contexte historique repose sur la mort de Georges V et le règne de quelques jours d’Edward VIII qui préféra Wallis Simpson à la couronne. Cette dernière est présentée comme une courtisane et Edward VIII se révèle finalement le moins apte des deux frères pour prendre les rênes du royaume à la veille de la 2e guerre mondiale. C’est un plaidoyer pour la volonté et la persévérance, et sur l’importance de l’amitié, de la confiance et du soutien des proches.
De Tom Hooper
avec Avec Colin Firth, Helena Bonham Carter, Geoffrey Rush
Un bijou d’interprétation pour Colin Firth en roi bègue et Geoffrey Rush en orthophoniste ! C’est un film comme savent si bien le faire les anglais, bourré d’émotions sans être patho, bourré d’humanité mais toujours pudique, bourré de flegme mais toujours chaleureux. Le contexte historique repose sur la mort de Georges V et le règne de quelques jours d’Edward VIII qui préféra Wallis Simpson à la couronne. Cette dernière est présentée comme une courtisane et Edward VIII se révèle finalement le moins apte des deux frères pour prendre les rênes du royaume à la veille de la 2e guerre mondiale. C’est un plaidoyer pour la volonté et la persévérance, et sur l’importance de l’amitié, de la confiance et du soutien des proches.
Surcouf- Membre trop actif
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Re: La rubrique des CINEPHILES
Ce film est à voir comme un très joli conte moral dans lequel on ne s’arrête pas de rire car c’est aussi un film très drôle!
On sent l’amour porté par le metteur en scène pour ses acteurs qui lui et nous le rendent bien.
Viva Mexico
Projection du film VIVA MEXICO !
Mercredi 23 mars 2011, 20h
Temple de Saint-Martin-de-Lansuscle
48110, Lozère
Documentaire Couleur, 120 min. Mexique 2010
Produit par Terra Nostra Films
Écriture et Réalisation Nicolas Défossé
Mercredi 23 mars 2011, 20h
Temple de Saint-Martin-de-Lansuscle
48110, Lozère
Documentaire Couleur, 120 min. Mexique 2010
Produit par Terra Nostra Films
Écriture et Réalisation Nicolas Défossé
Surcouf- Membre trop actif
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Re: La rubrique des CINEPHILES
gros trou de mémoire.
qui peut me dire dans quel film du cinéma russe a lieu la scéne trés connue de deux armées de cavaliers sur un lac gelè(ivan le terrible?)
qui peut me dire dans quel film du cinéma russe a lieu la scéne trés connue de deux armées de cavaliers sur un lac gelè(ivan le terrible?)
kaïou- Membre trop actif
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