Les Colosses de Pierre
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Les Colosses de Pierre
S’agirait-il là de Menhirs, de Dolmens, de ces statues des îles de Pâques ou de Rhodes ou bien encore de Cromlechs, de Cromagnons (la version protohistorique de nos actuels compagnons ), des alignements de Karnak (non, ça c’est l’obélisque), de Carnac donc (ah les filles, rien que d’y penser !) ?
Rien de tout cela, me disé-je, me rendant par le Royal Escalier Rupestre vers le Stade de France où d’allègres gaillards (alertes paillards ?) allaient en découdre pour l’honneur de la France, comme si sa vertu était en danger.
On pouvait légitimement se poser la question, car, en effet, à mon grand étonnement, ce ne furent pas photos d’équipes qui figurèrent sur les affiches, mais bel et bien de grandes bouches dont sortaient de longues langues toutes roses. L’envie me prît une fois le match terminé de prendre langue avec elles (pas le French kiss bien entendu, encore que… ).
Nous voici entrés dans notre beau Stade, je ne vois plus d’herbe, où l’ont-ils mise ?
Mon voisin m’indique qu’elle est repartie chez sa mère nourricière, la bière, ils l’arrosent à la bière maintenant ?
Pour favoriser la fermentation lactique ?
Ma pelouse, une vache à lait ? à dollars peut être ! Non, non, me dit-il, la Bière, la plaine aux flancs généreux, pas le breuvage. Ouf !
Sur un écran géant défilent des météorites sur un fond ocre jaune pâle, se dirigeant vers nous, j’en évitais plusieurs d’un judicieux mouvement de tête.
Accompagnés d’un fond sonore galactique, grondement indistinct, s’élevant au fur et à mesure qu’ils grossissaient et que leur vitesse ralentissait.
La nuit vînt…
La tension à son comble, le son devenu assourdissant, s’arrête soudain.
Un son strident déchire la nuit, les lumières se sont instantanément éteintes, la Fender Telecaster vrombit, intro de légende, prise aux tripes instantanée, comme un seul homme, le public est debout, trois secondes plus tard sa silhouette apparaît sur l’écran géant, il est là, revenu de l’enfer, Keith Richards, soi-même, à gratter le riff mythique, jambes pliées, le corps courbé sur sa guitare, la fameuse bague à tête de mort au doigt, doigts tordus par les accords (et l’arthrose), boucle d’oreille et croix pendant latéralement de sa chevelure, le boucanier du rock est là. Trois secondes à nouveau plus tard, il apparaît sur la scène, en pleine forme le gaillard !
What’s on ?
Une voix familière a commencé de chanter.
Il est là, lui aussi, il apparaît trois secondes plus tard sur l’écran géant,
A nouveau trois secondes plus tard, c’est sur la scène qu’on le découvre, le beau Mick
I was born in a cross-fire hurricane
And I howled at my ma in the driving rain
But It’s alllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll right, in fact, it’s a gas
It’s alllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll right
I’m “jumping jack flash”, it’s a gas! gas! gas!
On les attendait, ils sont là, son énorme, basse géante, chœurs déchaînés, Charlie Watts imperturbable, tranquille, tape sur sa batterie.
“It’s only rock n roll”
Est-t-il besoin d’ajouter quoi que ce soit, le bonheur pur, Chuck Berry rhabillé de frais…
Puis…
Keith, Keef pour les intimes, réapparaît, le corps penché, le bras enlaçant tendrement entièrement la taille de la grosse Martin (pas la grosse Bertha, canon également, mais tirant en sus des coups), sa guitare sèche donc, Mick, penché vers lui, vers ce complice qu’il a failli perdre, victime d’une vulgaire chute de cocotier (l’arbre à cocote, pas minute évidemment), sans qui le groupe n’aurait plus son âme d’années (dont il élève des congénères équins dans sa ferme des Cévennes), sans qui l’arbre à dollars ne porterait plus de fruits.
Préfigurant un après et célébrant son retour, le moment d’émotion du concert…
It is the evening of the day
I see them watch the children play
“As tears go by”
Puis...rien que pour moi
Les yeux dans les yeux (à 100 m quand même !)
My sweet Lady Jane
When I see you again
My dear Lady Anne
I’ve done what I can
Oh my sweet Marie
I wait at your ease
Enfin, moi, c’est Foxy
"Lady Jane"
Puis...
Gold coast slave ship bound for cotton fields
Sold in a market down in New Orleans
Scared old slaver know he’s doin alright
Hear him whip the women just around midnight
Ah brown sugar how come you taste so good
A ha brown sugar, just like a young girl should
“Brown sugar”
Ah, c’était le bon temps ! Si on s’en grillait une !
Puis...
I met a gin soaked, bar-room queen in Memphis
She tried to take me upstairs for a ride
She had to heave me right across her shoulder
Cause I just can’t seem to drink you off my mind
It’s the honky tonk women
Gimme, gimme, gimme the honky tonk blues.
“Honky tonk women”
T’as vu dans quel état tu te mets!
Puis...
En queue de pie (enfin je n’en ai jamais vue), en redingote quoi,
Mick, à l’ample déhanchement et au poitrail nu (il faisait 30 °)
Please allow me to introduce myself
I’m a man of wealth and taste
I’ve been around for a long, long years
Stole many a man’s soul and faith
Pleased to meet you
Hope you guess my name
But what’s puzzling you
Is the nature of my game
woo woo, woo woo.
“Sympathy for the devil”
Puis...
I see a red door and I want it painted black
No colours anymore I want them to turn black
No more will my green sea go turn a deeper blue
I could not foresee this thing happening to you
If I look hard enough into the settin sun
My love will laugh with me before the mornin comes
“Paint it black”
Vous en voulez encore, dit-il dans un excellent français qu’il a appris à la London School of Economics d’abord, puis en Touraine dans son joli château de Pocé sur Cisse (le berceau de la famille Debré).
Là personne ne le connaît, ni ne connaît son castel…
Sauf l’accorte boulangère où il va chercher son pain à pied tous les matins.
Toujours en admiration devant ces brioches dorées, la voyant se baisser, il murmure dans un franglais parfait : My God, miche et pain !
Mick, ta courtoisie se perdra !
La rumeur dit qu’une fois il aurait visité le fournil…
Puis...
Did you hear about the midnight rambler
Everybody got to go
“Midnight rambler”
Mauvais garçon, va!
Puis…
“You can’t always get what you want”
C’est bien mon avis aussi, mon beau Mick, et tu ne peux pas toutes les avoir..
Riff final tant attendu,
I can’t get no, “Satisfaction”,
I can’t get no, sexy action,
And I try, and I try, and I try...
A la manière funky et flamboyante de feu Otis Redding,
Un quart d’heure de pur bonheur,
Une jolie voisine d’une quarantaine d’années, portant un ensemble légèrement transparent de lin noir, pantalon taille basse, qui ne masque rien de sa plastique arrière, dont un string finement ciselé en met en évidence les formes, un haut très léger et très court porté à même la peau qui ne cache rien quand, enthousiasmée par le rythme, elle lève les bras vers le ciel remuant son corps dans un jerk endiablé. Ah, les filles, je ne vous dis pas ! L’ambiance mâle autour, très très chaude !
C’est la fin, ils s’éloignent...
Waouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !
GéaaaaaaaaaaaaaaAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNNNNNNNNnnnnnnnnnnnnnnnnnt !
Euh, pardon, ça m’a échappé !
Quel coureur ! à l’âge de toucher les pensions, il les paye !
Invitée parmi les Voyageurs Itinérants de Province, un ami me présente à lui
Hi Mick, may I introduce (introduire qui, introduire quoi, comment il y va, lui ? me demandé-je) you with Foxy, Fucksy, dit-il, incorrigible !
La presse anglaise, comme à son habitude, avec humour, les a égratignés
(compréhension garantie pour initiés).
The Rolling Stones are on tour again. They were gonna call the tour :
Hey! You! Get offa my stairlift
Brown Sugar and lots of brans
Under 45s not admitted without a parent
Come half price if you’re Mick Jagger’s illegitimate child
C’était un soir du 28 juillet 2006.
Quoi ! j’ai pris mon temps !
Cela ne fait que deux, euh non quatre, pardon, euh, neuf mois.
Tiens j’ai grossi ces derniers temps, il faut que je me mette au régime!
Rien de tout cela, me disé-je, me rendant par le Royal Escalier Rupestre vers le Stade de France où d’allègres gaillards (alertes paillards ?) allaient en découdre pour l’honneur de la France, comme si sa vertu était en danger.
On pouvait légitimement se poser la question, car, en effet, à mon grand étonnement, ce ne furent pas photos d’équipes qui figurèrent sur les affiches, mais bel et bien de grandes bouches dont sortaient de longues langues toutes roses. L’envie me prît une fois le match terminé de prendre langue avec elles (pas le French kiss bien entendu, encore que… ).
Nous voici entrés dans notre beau Stade, je ne vois plus d’herbe, où l’ont-ils mise ?
Mon voisin m’indique qu’elle est repartie chez sa mère nourricière, la bière, ils l’arrosent à la bière maintenant ?
Pour favoriser la fermentation lactique ?
Ma pelouse, une vache à lait ? à dollars peut être ! Non, non, me dit-il, la Bière, la plaine aux flancs généreux, pas le breuvage. Ouf !
Sur un écran géant défilent des météorites sur un fond ocre jaune pâle, se dirigeant vers nous, j’en évitais plusieurs d’un judicieux mouvement de tête.
Accompagnés d’un fond sonore galactique, grondement indistinct, s’élevant au fur et à mesure qu’ils grossissaient et que leur vitesse ralentissait.
La nuit vînt…
La tension à son comble, le son devenu assourdissant, s’arrête soudain.
Un son strident déchire la nuit, les lumières se sont instantanément éteintes, la Fender Telecaster vrombit, intro de légende, prise aux tripes instantanée, comme un seul homme, le public est debout, trois secondes plus tard sa silhouette apparaît sur l’écran géant, il est là, revenu de l’enfer, Keith Richards, soi-même, à gratter le riff mythique, jambes pliées, le corps courbé sur sa guitare, la fameuse bague à tête de mort au doigt, doigts tordus par les accords (et l’arthrose), boucle d’oreille et croix pendant latéralement de sa chevelure, le boucanier du rock est là. Trois secondes à nouveau plus tard, il apparaît sur la scène, en pleine forme le gaillard !
What’s on ?
Une voix familière a commencé de chanter.
Il est là, lui aussi, il apparaît trois secondes plus tard sur l’écran géant,
A nouveau trois secondes plus tard, c’est sur la scène qu’on le découvre, le beau Mick
I was born in a cross-fire hurricane
And I howled at my ma in the driving rain
But It’s alllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll right, in fact, it’s a gas
It’s alllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll right
I’m “jumping jack flash”, it’s a gas! gas! gas!
On les attendait, ils sont là, son énorme, basse géante, chœurs déchaînés, Charlie Watts imperturbable, tranquille, tape sur sa batterie.
“It’s only rock n roll”
Est-t-il besoin d’ajouter quoi que ce soit, le bonheur pur, Chuck Berry rhabillé de frais…
Puis…
Keith, Keef pour les intimes, réapparaît, le corps penché, le bras enlaçant tendrement entièrement la taille de la grosse Martin (pas la grosse Bertha, canon également, mais tirant en sus des coups), sa guitare sèche donc, Mick, penché vers lui, vers ce complice qu’il a failli perdre, victime d’une vulgaire chute de cocotier (l’arbre à cocote, pas minute évidemment), sans qui le groupe n’aurait plus son âme d’années (dont il élève des congénères équins dans sa ferme des Cévennes), sans qui l’arbre à dollars ne porterait plus de fruits.
Préfigurant un après et célébrant son retour, le moment d’émotion du concert…
It is the evening of the day
I see them watch the children play
“As tears go by”
Puis...rien que pour moi
Les yeux dans les yeux (à 100 m quand même !)
My sweet Lady Jane
When I see you again
My dear Lady Anne
I’ve done what I can
Oh my sweet Marie
I wait at your ease
Enfin, moi, c’est Foxy
"Lady Jane"
Puis...
Gold coast slave ship bound for cotton fields
Sold in a market down in New Orleans
Scared old slaver know he’s doin alright
Hear him whip the women just around midnight
Ah brown sugar how come you taste so good
A ha brown sugar, just like a young girl should
“Brown sugar”
Ah, c’était le bon temps ! Si on s’en grillait une !
Puis...
I met a gin soaked, bar-room queen in Memphis
She tried to take me upstairs for a ride
She had to heave me right across her shoulder
Cause I just can’t seem to drink you off my mind
It’s the honky tonk women
Gimme, gimme, gimme the honky tonk blues.
“Honky tonk women”
T’as vu dans quel état tu te mets!
Puis...
En queue de pie (enfin je n’en ai jamais vue), en redingote quoi,
Mick, à l’ample déhanchement et au poitrail nu (il faisait 30 °)
Please allow me to introduce myself
I’m a man of wealth and taste
I’ve been around for a long, long years
Stole many a man’s soul and faith
Pleased to meet you
Hope you guess my name
But what’s puzzling you
Is the nature of my game
woo woo, woo woo.
“Sympathy for the devil”
Puis...
I see a red door and I want it painted black
No colours anymore I want them to turn black
No more will my green sea go turn a deeper blue
I could not foresee this thing happening to you
If I look hard enough into the settin sun
My love will laugh with me before the mornin comes
“Paint it black”
Vous en voulez encore, dit-il dans un excellent français qu’il a appris à la London School of Economics d’abord, puis en Touraine dans son joli château de Pocé sur Cisse (le berceau de la famille Debré).
Là personne ne le connaît, ni ne connaît son castel…
Sauf l’accorte boulangère où il va chercher son pain à pied tous les matins.
Toujours en admiration devant ces brioches dorées, la voyant se baisser, il murmure dans un franglais parfait : My God, miche et pain !
Mick, ta courtoisie se perdra !
La rumeur dit qu’une fois il aurait visité le fournil…
Puis...
Did you hear about the midnight rambler
Everybody got to go
“Midnight rambler”
Mauvais garçon, va!
Puis…
“You can’t always get what you want”
C’est bien mon avis aussi, mon beau Mick, et tu ne peux pas toutes les avoir..
Riff final tant attendu,
I can’t get no, “Satisfaction”,
I can’t get no, sexy action,
And I try, and I try, and I try...
A la manière funky et flamboyante de feu Otis Redding,
Un quart d’heure de pur bonheur,
Une jolie voisine d’une quarantaine d’années, portant un ensemble légèrement transparent de lin noir, pantalon taille basse, qui ne masque rien de sa plastique arrière, dont un string finement ciselé en met en évidence les formes, un haut très léger et très court porté à même la peau qui ne cache rien quand, enthousiasmée par le rythme, elle lève les bras vers le ciel remuant son corps dans un jerk endiablé. Ah, les filles, je ne vous dis pas ! L’ambiance mâle autour, très très chaude !
C’est la fin, ils s’éloignent...
Waouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !
GéaaaaaaaaaaaaaaAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNNNNNNNNnnnnnnnnnnnnnnnnnt !
Euh, pardon, ça m’a échappé !
Quel coureur ! à l’âge de toucher les pensions, il les paye !
Invitée parmi les Voyageurs Itinérants de Province, un ami me présente à lui
Hi Mick, may I introduce (introduire qui, introduire quoi, comment il y va, lui ? me demandé-je) you with Foxy, Fucksy, dit-il, incorrigible !
La presse anglaise, comme à son habitude, avec humour, les a égratignés
(compréhension garantie pour initiés).
The Rolling Stones are on tour again. They were gonna call the tour :
Hey! You! Get offa my stairlift
Brown Sugar and lots of brans
Under 45s not admitted without a parent
Come half price if you’re Mick Jagger’s illegitimate child
C’était un soir du 28 juillet 2006.
Quoi ! j’ai pris mon temps !
Cela ne fait que deux, euh non quatre, pardon, euh, neuf mois.
Tiens j’ai grossi ces derniers temps, il faut que je me mette au régime!
Dernière édition par le Ven 4 Mai - 8:27, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Les Colosses de Pierre
Quel conteur ! On (Je) regrette presque de ne pas y être allé !
Invité- Invité
Re: Les Colosses de Pierre
Dites donc, mademoiselle Issho, le conteur est une conteuse .
Merci de votre visite, oui, c'était géant.........
Merci de votre visite, oui, c'était géant.........
Invité- Invité
Re: Les Colosses de Pierre
Avec en première partie un honorable groupe anglais, parait-il à la mode, Razorlight.
Je ne suis pas trop sûre de l'ortograf exacte
Je ne suis pas trop sûre de l'ortograf exacte
Invité- Invité
Re: Les Colosses de Pierre
Oups, désolé madame !
Pour Razorlignt, l'orthographe est bonne, j'aime beaucoup ce groupe...
Pour Razorlignt, l'orthographe est bonne, j'aime beaucoup ce groupe...
Invité- Invité
Re: Les Colosses de Pierre
J'en rêve aussi, merci Lady, on devine la sono, les lumières qui zèbrent la scène, la foule en délire...
Invité- Invité
Re: Les Colosses de Pierre
Issho Ken Mei a écrit:
Oups, désolé madame !
Encore une, Issho, qui joue avec les pseudos...
Seriez vous un homme déguisé en femme ?
Vraiment c'est pathétique, ce transformisme
Invité- Invité
Re: Les Colosses de Pierre
Sujet: Les Colosses de Pierre Aujourd’hui à 11:03
Des lyres devinrent fenders avant que de devenir délires
Après ce lyrisme éclatant Lady Foxy sur les Rollings Stones, votre jeu de mots sur cette marque de guitare est un clin d'oeil sur une époque qui me fait encore vibrer.
François Bon fit une série d'émission sous forme de feuilleton sur Culture l'an dernier sur les Stones, que du bon.
Rory Gallager, Swett Smoke, les Creedence ont donné de belles gloires à la guitare électrique, notamment les Fenders.
A verdade do privato- Membre
- Nombre de messages : 687
Age : 34
Points : 6331
Date d'inscription : 25/04/2007
Re: Les Colosses de Pierre
Foxy Lady a écrit:Issho Ken Mei a écrit:
Oups, désolé madame !
Encore une, Issho, qui joue avec les pseudos...
Seriez vous un homme déguisé en femme ?
Vraiment c'est pathétique, ce transformisme
Serais-je un homme ou une femme ? Hummm, d'après vous ?
Invité- Invité
Re: Les Colosses de Pierre
Foxy Lady m'a prié de te transmettre que ce ne sont pas des fendeurs (de bûches), mais la marque de guitare mythique Fender, comme la fender telecaster de Richards ou la fender stratocaster de Hendrix...
Fraissinet- Membre trop actif
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Age : 124
Points : 9011
Date d'inscription : 03/03/2007
Re: Les Colosses de Pierre
Je te préfère avec ton autre avatar et ton autre pseudo.
Merci du renseignement, c'était juste pour voir si vous connaisser se dont vous parler.
Merci du renseignement, c'était juste pour voir si vous connaisser se dont vous parler.
Invité- Invité
Re: Les Colosses de Pierre
On me demande, me voici
Je ne suis pas instrumentiste, mais le vocabulaire utilisé, Fender, Gibson, Martin,... fait partie intégrante du mythe!
Je craignais également que cette question astucieuse ne recélât un "amical piège" et que le terme fendeurs ne se référât à une pratique autre, telle celle de la chasse!
Je ne suis pas instrumentiste, mais le vocabulaire utilisé, Fender, Gibson, Martin,... fait partie intégrante du mythe!
Je craignais également que cette question astucieuse ne recélât un "amical piège" et que le terme fendeurs ne se référât à une pratique autre, telle celle de la chasse!
Invité- Invité
Re: Les Colosses de Pierre
Je ne suis pas experte en chasse, sauf peut être à courre (après le mâle bien sûr), mais ce terme me faisait penser à un vocabulaire appartenant à cette activité.
Apparemment il n'en est rien, mais quelques chasseurs du forum pourraient peut être nous dire s'ils connaissent ce mot comme faisant partie de l'univers cynégétique (des bois).
Apparemment il n'en est rien, mais quelques chasseurs du forum pourraient peut être nous dire s'ils connaissent ce mot comme faisant partie de l'univers cynégétique (des bois).
Invité- Invité
Re: Les Colosses de Pierre
moi les fendeurs,je suis pour:green:
kaïou- Membre trop actif
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Age : 74
Points : 9813
Date d'inscription : 13/02/2007
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