chronique je sais plus combien
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chronique je sais plus combien
Il fallait bien y arriver…il se passe « DES CHOSES » dans les piscines !
Lieu de perdition ou les sirènes de rêves pullulent entre les lignes d’eau et ou les Apollons crawleur font tourner leurs dorsaux, la piscine est l’espace de tous les fantasmes…Enfin c’est ce que l’on croit…
Je garderai les anecdotes les plus salées pour les soirée entre potes. Vous savez, ces soirées ou les mecs sont vraiment insortable et réellement en dessous de tout…(mais c’est tellement bon des fois !)
Là, je voudrai raconter deux souvenirs qui je l’espère ne vous paraîtront pas trop lourdingues, ni trop déplacés (on sait jamais). Des petites situations cocasses, marrantes (en tous les cas pour moi) et qui achèveront IRREMEDIABLEMENT cette petite série de Chroniques.
Un bassin se compose de quelques parties essentielles faisant d’elle une marre aux canards civilisée. Dans le bassin il y a une quantité de trucs techniques et entre autre des bouches d’arrivées d’eau, mais aussi d’aspiration. Tout cela étant fait pour que l’eau, cette chochotte, se paie un lifting permanent et vous plaise à n’importe quel moment de la journée.
Mais pour notre histoire, nous allons nous concentrer uniquement sur ce que nous appelons « une bouche de refoulement ». C’est par elle que l’eau arrive dans le bassin. Ah la bouche de refoulement…la joie des enfants ! Ils ont bien repéré le truc les mioches….L’eau qui arrive, poussée par une pompe puissante, crée un violent courant qui les propulse vers l’intérieur du bassin.
Mais, nous nous sommes rendu compte, qu’également cette bouche de refoulement était appréciée par une certaine clientèle féminine qui en avait par hasard, éprouvée toutes les subtiles caresses sous-marines. Ainsi, renouvelant ce hasard par hasard… et ce durant de longs et probablement voluptueux moments, des dames qui donnaient le change en prétextant un moment de repos, accrochées au bord, fréquentaient assidûment cet endroit sacré.
Notre discrétion à été garant d’une tranquillité qui je l’espère, aujourd’hui encore, est respectée.
C’est cela aussi le service public…
Les MNS des dragueurs ?
Je ne dirai pas que tous les MNS sont des anges… La promiscuité déshabillée, la chaleur…les contacts quasi obligatoires…font que l’on puisse pardonner à certain de succomber aux charmes en permanence renouvelée d’une clientèle, elle aussi renouvelable.
Mais il en est qui par pudeur ou…prudence tente de cacher l’inclinaison qu’ils ont à succomber au charme féminin de façon relativement soutenue et régulière. C’est le cas de mon ami B……
B….ne supportait pas la critique. Bien que faite avec affection et camaraderie sur une attitude éminemment primesautière et qui était ne lui en déplaise une de ses principales caractéristiques.
Un jour, la piscine étant fermée pour cause de nettoyage trimestriel, nous venions, tous les MNS et gent de service, de manger ensemble autour d’une grande tablée fraternelle. Par la suite chacun était parti vers ses occupations dans la piscine.
Au milieu de l’après midi, je m’inquiétai de l’absence prolongée de B….qui avait disparu depuis une bonne heure !
« Personne n’a vu B… ? »
Personne.
Et c’est une petite heure après que nous voyons arriver B…accompagné d’une charmante jeune fille…qu’il nous présente comme étant une amie de passage a qui il faisait visiter la piscine. Soit. Pourquoi pas !
Mais à ce moment, un collègue à mes coté et particulièrement observateur, éclate du rire carnassier de celui à qui on ne la fait pas…et, le traître, désigne du doigt les genoux de mon ami B….
Hélas pour lui…Probablement la position n’avait pas été inconfortable, mais…les petits carrelages des vestiaires avaient laissé leurs traces sur ses genoux…et sur ceux de l’amie de passage.
Sur les plages deux pavets.
«ouaa… hier au gymnase j’ai chié la honte »
« …… ! »
« Ouaaa…total foncedé …j’étais »
« … ! »
« …aaououou tu me zone…tu fais quoi ? »
« … ! »
« C’est quoi ton livre…t’es rat toi ! »
« Proust »
« … ! »
Aujourd’hui pas de baignade. Pas beau. Jour à faire la tarte aux noix. Avec du cidre. Avec des potes. Et rire de n’importe quoi…
Lieu de perdition ou les sirènes de rêves pullulent entre les lignes d’eau et ou les Apollons crawleur font tourner leurs dorsaux, la piscine est l’espace de tous les fantasmes…Enfin c’est ce que l’on croit…
Je garderai les anecdotes les plus salées pour les soirée entre potes. Vous savez, ces soirées ou les mecs sont vraiment insortable et réellement en dessous de tout…(mais c’est tellement bon des fois !)
Là, je voudrai raconter deux souvenirs qui je l’espère ne vous paraîtront pas trop lourdingues, ni trop déplacés (on sait jamais). Des petites situations cocasses, marrantes (en tous les cas pour moi) et qui achèveront IRREMEDIABLEMENT cette petite série de Chroniques.
Un bassin se compose de quelques parties essentielles faisant d’elle une marre aux canards civilisée. Dans le bassin il y a une quantité de trucs techniques et entre autre des bouches d’arrivées d’eau, mais aussi d’aspiration. Tout cela étant fait pour que l’eau, cette chochotte, se paie un lifting permanent et vous plaise à n’importe quel moment de la journée.
Mais pour notre histoire, nous allons nous concentrer uniquement sur ce que nous appelons « une bouche de refoulement ». C’est par elle que l’eau arrive dans le bassin. Ah la bouche de refoulement…la joie des enfants ! Ils ont bien repéré le truc les mioches….L’eau qui arrive, poussée par une pompe puissante, crée un violent courant qui les propulse vers l’intérieur du bassin.
Mais, nous nous sommes rendu compte, qu’également cette bouche de refoulement était appréciée par une certaine clientèle féminine qui en avait par hasard, éprouvée toutes les subtiles caresses sous-marines. Ainsi, renouvelant ce hasard par hasard… et ce durant de longs et probablement voluptueux moments, des dames qui donnaient le change en prétextant un moment de repos, accrochées au bord, fréquentaient assidûment cet endroit sacré.
Notre discrétion à été garant d’une tranquillité qui je l’espère, aujourd’hui encore, est respectée.
C’est cela aussi le service public…
Les MNS des dragueurs ?
Je ne dirai pas que tous les MNS sont des anges… La promiscuité déshabillée, la chaleur…les contacts quasi obligatoires…font que l’on puisse pardonner à certain de succomber aux charmes en permanence renouvelée d’une clientèle, elle aussi renouvelable.
Mais il en est qui par pudeur ou…prudence tente de cacher l’inclinaison qu’ils ont à succomber au charme féminin de façon relativement soutenue et régulière. C’est le cas de mon ami B……
B….ne supportait pas la critique. Bien que faite avec affection et camaraderie sur une attitude éminemment primesautière et qui était ne lui en déplaise une de ses principales caractéristiques.
Un jour, la piscine étant fermée pour cause de nettoyage trimestriel, nous venions, tous les MNS et gent de service, de manger ensemble autour d’une grande tablée fraternelle. Par la suite chacun était parti vers ses occupations dans la piscine.
Au milieu de l’après midi, je m’inquiétai de l’absence prolongée de B….qui avait disparu depuis une bonne heure !
« Personne n’a vu B… ? »
Personne.
Et c’est une petite heure après que nous voyons arriver B…accompagné d’une charmante jeune fille…qu’il nous présente comme étant une amie de passage a qui il faisait visiter la piscine. Soit. Pourquoi pas !
Mais à ce moment, un collègue à mes coté et particulièrement observateur, éclate du rire carnassier de celui à qui on ne la fait pas…et, le traître, désigne du doigt les genoux de mon ami B….
Hélas pour lui…Probablement la position n’avait pas été inconfortable, mais…les petits carrelages des vestiaires avaient laissé leurs traces sur ses genoux…et sur ceux de l’amie de passage.
Sur les plages deux pavets.
«ouaa… hier au gymnase j’ai chié la honte »
« …… ! »
« Ouaaa…total foncedé …j’étais »
« … ! »
« …aaououou tu me zone…tu fais quoi ? »
« … ! »
« C’est quoi ton livre…t’es rat toi ! »
« Proust »
« … ! »
Aujourd’hui pas de baignade. Pas beau. Jour à faire la tarte aux noix. Avec du cidre. Avec des potes. Et rire de n’importe quoi…
Henri- Membre
- Nombre de messages : 594
Age : 74
Points : 6508
Date d'inscription : 14/02/2007
Re: chronique je sais plus combien
Si c'est irrémédiable c'est le moment de dire merci.
Merci donc.
(bon sauf qu'aujourd'hui le café était froid)
Merci donc.
(bon sauf qu'aujourd'hui le café était froid)
Raoul- Membre trop actif
- Nombre de messages : 2925
Points : 7336
Date d'inscription : 13/02/2007
Re: chronique je sais plus combien
La chronique 17 henri, dommage c'était bien ces petites histoires .
millou- Membre trop actif
- Nombre de messages : 2482
Points : 7874
Date d'inscription : 17/02/2007
Re: chronique je sais plus combien
ouais, mais aprés il y a la tarte aux noix,et alors ça!
kaïou- Membre trop actif
- Nombre de messages : 6431
Age : 74
Points : 9819
Date d'inscription : 13/02/2007
Re: chronique je sais plus combien
17 Milou, j'en étais pour ma part à 20.
Pas grave cependant, et merci à Henri qui nous a régalé tout ce mois de juillet de ses chroniques.
Si l'inspiration lui revenait ou si l'un ou l'autre des forumeurs avait envie de "plonger" à son tour et de se laisser aussi aller à une écriture de semblable qualité, basée sur des observations/réflexions au jour le jour, nous sommes preneurs.
Pas grave cependant, et merci à Henri qui nous a régalé tout ce mois de juillet de ses chroniques.
Si l'inspiration lui revenait ou si l'un ou l'autre des forumeurs avait envie de "plonger" à son tour et de se laisser aussi aller à une écriture de semblable qualité, basée sur des observations/réflexions au jour le jour, nous sommes preneurs.
Invité- Invité
Re: chronique je sais plus combien
Si c'est la fin alors.... un grand merci Henri pour cette petite évasion quotidienne...
Invité- Invité
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