Mots de maux !
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Nicole
millou
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Re: Mots de maux !
"La falaise des Cliffs de Moher »
Je suis la falaise et tu es mon espérance,
Ta longue chevelure d’écumes achève son errance
Sur une misérable dune de sables mouvants,
Que la mer a mit entre nous un moment.
Tu es ma vague éternelle, je me penche vers toi.
Entends-tu le murmure du vent que je t’envoie ?
C’est un baiser que je pose sur ton rouleau,
Qui oscille et murmure à la surface de l’eau.
L’étoile du soir m’a dit en secret,
L’histoire du sable qui repartira soudain.
Les dieux le chasseront c’est certain,
Pour unir enfin nos deux destinées.
Je suis ta falaise qui attend sans relâche,
L’écume de tes yeux qui lavera les taches
Que le temps a posé sur moi et que tu effaceras,
Le jour ô! Ma douce vague ou tu sauteras dans mes bras.
Et la vague est venue déchirant la falaise
Inlassablement la griffer de ses embruns ardents
Et la terre a glissé sur la plage déserte.
Effaçant la hauteur des Cliffs de Moher !
Et la vague revient et se roule sur elle,
Murmurant doucement ses serments éternels.
Unies par la mer et le vent en colère
C’est le conte des amants de Moher !
Et le temps a glissé sur le paysage
Mais les amoureux étreints s’étreignent encore
Et l’on sait désormais que dessous sur la plage
La vague et la falaise se sont aimés aux Cliffs de Moher !
les amants sont venus s'aimer sur la plage
laissant dans le sable l'empreinte de leurs corps
et la vague en rêvant effacera l'image
de ce couple sans nom venu du nord!
les amants reviendront sous les cliffs de moher
s'aimeront encore et sans savoir l'air
chanteront la chanson de la vague éternelle
qui aima la falaise toujours aussi belle!
si un jour sur la terre naissait un pays d'amour
ce serai en ces lieux que s'élèverai la capitale
lieu où la vague tous les jours
rejoint la falaise impénétrable!
Je suis la falaise et tu es mon espérance,
Ta longue chevelure d’écumes achève son errance
Sur une misérable dune de sables mouvants,
Que la mer a mit entre nous un moment.
Tu es ma vague éternelle, je me penche vers toi.
Entends-tu le murmure du vent que je t’envoie ?
C’est un baiser que je pose sur ton rouleau,
Qui oscille et murmure à la surface de l’eau.
L’étoile du soir m’a dit en secret,
L’histoire du sable qui repartira soudain.
Les dieux le chasseront c’est certain,
Pour unir enfin nos deux destinées.
Je suis ta falaise qui attend sans relâche,
L’écume de tes yeux qui lavera les taches
Que le temps a posé sur moi et que tu effaceras,
Le jour ô! Ma douce vague ou tu sauteras dans mes bras.
Et la vague est venue déchirant la falaise
Inlassablement la griffer de ses embruns ardents
Et la terre a glissé sur la plage déserte.
Effaçant la hauteur des Cliffs de Moher !
Et la vague revient et se roule sur elle,
Murmurant doucement ses serments éternels.
Unies par la mer et le vent en colère
C’est le conte des amants de Moher !
Et le temps a glissé sur le paysage
Mais les amoureux étreints s’étreignent encore
Et l’on sait désormais que dessous sur la plage
La vague et la falaise se sont aimés aux Cliffs de Moher !
les amants sont venus s'aimer sur la plage
laissant dans le sable l'empreinte de leurs corps
et la vague en rêvant effacera l'image
de ce couple sans nom venu du nord!
les amants reviendront sous les cliffs de moher
s'aimeront encore et sans savoir l'air
chanteront la chanson de la vague éternelle
qui aima la falaise toujours aussi belle!
si un jour sur la terre naissait un pays d'amour
ce serai en ces lieux que s'élèverai la capitale
lieu où la vague tous les jours
rejoint la falaise impénétrable!
Invité- Invité
Re: Mots de maux !
La falaise des Cliffs de Moher
"La falaise des Cliffs de Moher »
Je suis la falaise et tu es mon espérance,
Ta longue chevelure d’écumes achève son errance
Sur une misérable dune de sables mouvants,
Que la mer a mit entre nous un moment.
Tu es ma vague éternelle, je me penche vers toi.
Entends-tu le murmure du vent que je t’envoie ?
C’est un baiser que je pose sur ton rouleau,
Qui oscille et murmure à la surface de l’eau.
L’étoile du soir m’a dit en secret,
L’histoire du sable qui repartira soudain.
Les dieux le chasseront c’est certain,
Pour unir enfin nos deux destinées.
Je suis ta falaise qui attend sans relâche,
L’écume de tes yeux qui lavera les taches
Que le temps a posé sur moi et que tu effaceras,
Le jour ô! Ma douce vague ou tu sauteras dans mes bras.
Et la vague est venue déchirant la falaise
Inlassablement la griffer de ses embruns ardents
Et la terre a glissé sur la plage déserte.
Effaçant la hauteur des Cliffs de Moher !
Et la vague revient et se roule sur elle,
Murmurant doucement ses serments éternels.
Unies par la mer et le vent en colère
C’est le conte des amants de Moher !
Et le temps a glissé sur le paysage
Mais les amoureux étreints s’étreignent encore
Et l’on sait désormais que dessous sur la plage
La vague et la falaise se sont aimés aux Cliffs de Moher !
les amants sont venus s'aimer sur la plage
laissant dans le sable l'empreinte de leurs corps
et la vague en rêvant effacera l'image
de ce couple sans nom venu du nord!
les amants reviendront sous les cliffs de moher
s'aimeront encore et sans savoir l'air
chanteront la chanson de la vague éternelle
qui aima la falaise toujours aussi belle!
si un jour sur la terre naissait un pays d'amour
ce serai en ces lieux que s'élèverai la capitale
lieu où la vague tous les jours
rejoint la falaise impénétrable!
millou- Membre trop actif
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Date d'inscription : 17/02/2007
Re: Mots de maux !
Violette de Charme...
Atlas mon père en sa grande sagesse m’établit en un palais sous-marin à la garde de Poséidon !
Il sortit un jour de son palais, et je me glissais dans son char attelé de chevaux aux couleurs d’algues et d’écume, j’avais paré ma chevelure de coquillages nacrés que le soleil embrasait au moindre de ses rayons !
C’est en cet équipage que nous arrivâmes à Troie pour aider Apollon à construire ses murailles ! J’attendis que la nuit fût profonde pour oser parcourir la cour du Palais mais un rayon d’argent dans ma chevelure transperça le cœur d’Apollon !
Ce fut une fuite éperdue car je craignais fort que Poséidon me rattrapa avant Apollon !
Il y eut un jour où se leva une grande tempête de sable qui me fut salutaire car j’eu la chance d’être sauvée par un Bédouin qui rejoignait son village de Cocurès en dromadaire !
C’est ainsi que je commençais à hanter le rivage des lacs d’Aubrac dont le bleu incomparable me transportait sur les rives de Méditerranée !
Je conversais chaque nuit avec les dieux et fut subitement convertie à la chose poétique !
Une nuit où mon âme s’épanchait au bord du lac de Bonnecombe, une grande lumière descendit des cieux !
Il y eut d’abord des anges qui célébraient leur dieu Apollon Musagète, et enfin auréolé d’une grande beauté il vint !
Je ne sais quelle funeste idée traversa alors l’esprit de mon père pour me changer subitement en violette ! Je peux ainsi contempler chaque année au mois de FEVRIER au pied de la cascade du déroc le rideau de larmes cristallisées de mon bel Apollon ! Je ne sais si ses yeux de glace peuvent me contempler, je n’ai jamais eu la grâce de pouvoir le lui demander !
Ma prière sans cesse monte aux cieux afin qu’un dérèglement climatique fasse que mes pétales tardifs aperçoivent la cascade dégelée ! Je sais que dans l’éternité ce jour viendra, qu’il s’avancera rayonnant dans le soleil levant, sa chevelure dorée de perles de rosée !
Alors tout doucement il s’allongera s’enivrer aux arômes subtils dont je suis dotée !
Que le poète reste attentif aux murmures des cascades qui annonceront les épousailles d’Io et d’Apollon !
Atlas mon père en sa grande sagesse m’établit en un palais sous-marin à la garde de Poséidon !
Il sortit un jour de son palais, et je me glissais dans son char attelé de chevaux aux couleurs d’algues et d’écume, j’avais paré ma chevelure de coquillages nacrés que le soleil embrasait au moindre de ses rayons !
C’est en cet équipage que nous arrivâmes à Troie pour aider Apollon à construire ses murailles ! J’attendis que la nuit fût profonde pour oser parcourir la cour du Palais mais un rayon d’argent dans ma chevelure transperça le cœur d’Apollon !
Ce fut une fuite éperdue car je craignais fort que Poséidon me rattrapa avant Apollon !
Il y eut un jour où se leva une grande tempête de sable qui me fut salutaire car j’eu la chance d’être sauvée par un Bédouin qui rejoignait son village de Cocurès en dromadaire !
C’est ainsi que je commençais à hanter le rivage des lacs d’Aubrac dont le bleu incomparable me transportait sur les rives de Méditerranée !
Je conversais chaque nuit avec les dieux et fut subitement convertie à la chose poétique !
Une nuit où mon âme s’épanchait au bord du lac de Bonnecombe, une grande lumière descendit des cieux !
Il y eut d’abord des anges qui célébraient leur dieu Apollon Musagète, et enfin auréolé d’une grande beauté il vint !
Je ne sais quelle funeste idée traversa alors l’esprit de mon père pour me changer subitement en violette ! Je peux ainsi contempler chaque année au mois de FEVRIER au pied de la cascade du déroc le rideau de larmes cristallisées de mon bel Apollon ! Je ne sais si ses yeux de glace peuvent me contempler, je n’ai jamais eu la grâce de pouvoir le lui demander !
Ma prière sans cesse monte aux cieux afin qu’un dérèglement climatique fasse que mes pétales tardifs aperçoivent la cascade dégelée ! Je sais que dans l’éternité ce jour viendra, qu’il s’avancera rayonnant dans le soleil levant, sa chevelure dorée de perles de rosée !
Alors tout doucement il s’allongera s’enivrer aux arômes subtils dont je suis dotée !
Que le poète reste attentif aux murmures des cascades qui annonceront les épousailles d’Io et d’Apollon !
Invité- Invité
Re: Mots de maux !
Pur délire d'Automne en avance...
Il y avait cette force tous les jours à t'inventer, pas après pas, virage après virage, dans les fourrés, les drailles, derrière les buis... Dans les nues au moindre cavalier de l'hommage, blanches, nacrées à courir vers moi...
Quand les nues s'en viennent du nord, quand elles s'en viennent de l'est... Quand l'azur devient bleu profond...
Mais cejourd'hui mer grise ou noire, l'amer des nues était vide...
Plus de rêve, pas solitude sous les bois, lentement me portent vers toi, toi mon châtaignier refuge, toi mon châtaigner douleur au bord de l'abîme...
Tout au fond le ru a gémi. Silhouette frêle contre le tronc, le dos qui s'épuise l'écorce est même tombée...
Il n'y a plus de larmes, il y a cette eau qui chante, qui chante sans moi, qui chante de joie... Je savais bien qu'un jour le ruisseau-larmes vivrait seul.
Mais cejourd'hui sous les fûtaies est né le ruisseau d'un poète.
Il y a ce corps qui se penche, ces yeux qui sont vides... Absents de toi !
Et l'air se fait rare, inutile richesse, inutiles fragrances qui ne la feront plus s'élever. Eole se joue des bogues, des bogues inutiles qu'il fait tomber.
Au loin dans les bois sur l'autre versant le coq à chanté.
Elle sait qu'elle franchira ce châtaignier refuge, ce châtaignier barrage, l'enfer est à ses pieds.
Mais cejourd'hui loin, très loin derrière une branche a craquée !
Il y a dans le ciel une buse qui plane en silence, elle s'élève soudain pousse un cri et disparaît dans la combe. Alors aile se penche un peu plus, et le dos jumeau de l'arbre va céder...
Une branche derrière le châtaignier a craquée... Aile se fait toute petite, se plaque contre le tronc, et ses paupières tombent sur ce vide...
Sur son épaule une main s'est posée ! Aile ne dit rien, "la main" non plus, il y a ce silence, ce silence qui ne peut être que toi !
Mais cejourd'hui aile s'abat sur lui...
Le silence et la mort s'éloigne, il y a ce tumulte, ces deux coeurs à battre ensembles, d'une même mesure, d'une même démesure en devenir !
Tout doucement aile lève la tête, offerte à tes baisers... Sous leurs caresses fiévreuses la vie, la vie, oui ! Ma vie à me reprendre au bord de l'abîme, oui ! Je pense que je vais pouvoir voler !
Il y a tes yeux si lumineux qui éclairent ma lampe porcelaine, tes yeux éclairs de folie... Tes yeux qui me font belle, qui allument les miens, à se dissoudre ensembles dans un cri partagé...
Mais cejourd'hui au bord d'un ravin la vie a gagnée !
Il y avait cette force tous les jours à t'inventer, pas après pas, virage après virage, dans les fourrés, les drailles, derrière les buis... Dans les nues au moindre cavalier de l'hommage, blanches, nacrées à courir vers moi...
Quand les nues s'en viennent du nord, quand elles s'en viennent de l'est... Quand l'azur devient bleu profond...
Mais cejourd'hui mer grise ou noire, l'amer des nues était vide...
Plus de rêve, pas solitude sous les bois, lentement me portent vers toi, toi mon châtaignier refuge, toi mon châtaigner douleur au bord de l'abîme...
Tout au fond le ru a gémi. Silhouette frêle contre le tronc, le dos qui s'épuise l'écorce est même tombée...
Il n'y a plus de larmes, il y a cette eau qui chante, qui chante sans moi, qui chante de joie... Je savais bien qu'un jour le ruisseau-larmes vivrait seul.
Mais cejourd'hui sous les fûtaies est né le ruisseau d'un poète.
Il y a ce corps qui se penche, ces yeux qui sont vides... Absents de toi !
Et l'air se fait rare, inutile richesse, inutiles fragrances qui ne la feront plus s'élever. Eole se joue des bogues, des bogues inutiles qu'il fait tomber.
Au loin dans les bois sur l'autre versant le coq à chanté.
Elle sait qu'elle franchira ce châtaignier refuge, ce châtaignier barrage, l'enfer est à ses pieds.
Mais cejourd'hui loin, très loin derrière une branche a craquée !
Il y a dans le ciel une buse qui plane en silence, elle s'élève soudain pousse un cri et disparaît dans la combe. Alors aile se penche un peu plus, et le dos jumeau de l'arbre va céder...
Une branche derrière le châtaignier a craquée... Aile se fait toute petite, se plaque contre le tronc, et ses paupières tombent sur ce vide...
Sur son épaule une main s'est posée ! Aile ne dit rien, "la main" non plus, il y a ce silence, ce silence qui ne peut être que toi !
Mais cejourd'hui aile s'abat sur lui...
Le silence et la mort s'éloigne, il y a ce tumulte, ces deux coeurs à battre ensembles, d'une même mesure, d'une même démesure en devenir !
Tout doucement aile lève la tête, offerte à tes baisers... Sous leurs caresses fiévreuses la vie, la vie, oui ! Ma vie à me reprendre au bord de l'abîme, oui ! Je pense que je vais pouvoir voler !
Il y a tes yeux si lumineux qui éclairent ma lampe porcelaine, tes yeux éclairs de folie... Tes yeux qui me font belle, qui allument les miens, à se dissoudre ensembles dans un cri partagé...
Mais cejourd'hui au bord d'un ravin la vie a gagnée !
Invité- Invité
Re: Mots de maux !
VioletteSereine dit (Peut-on lui en tenir rigueur?) :
" A ceux, qui comme moi, ont enfin acquis l’appellation sachez qu’à La Canourgue nous pouvons orner les étals de la célèbre foire à la brocante "
Je croyais que c'était une foire aux ânes!
" A ceux, qui comme moi, ont enfin acquis l’appellation sachez qu’à La Canourgue nous pouvons orner les étals de la célèbre foire à la brocante "
Je croyais que c'était une foire aux ânes!
Fraissinet- Membre trop actif
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Re: Mots de maux !
Violette de Charme...
Atlas mon père en sa grande sagesse m’établit en un palais sous-marin à la garde de Poséidon !
Il sortit un jour de son palais, et je me glissais dans son char attelé de chevaux aux couleurs d’algues et d’écume, j’avais paré ma chevelure de coquillages nacrés que le soleil embrasait au moindre de ses rayons !
C’est en cet équipage que nous arrivâmes à Troie pour aider Apollon à construire ses murailles ! J’attendis que la nuit fût profonde pour oser parcourir la cour du Palais mais un rayon d’argent dans ma chevelure transperça le cœur d’Apollon !
Ce fut une fuite éperdue car je craignais fort que Poséidon me rattrapa avant Apollon !
Il y eut un jour où se leva une grande tempête de sable qui me fut salutaire car j’eu la chance d’être sauvée par un Bédouin qui rejoignait son village de Cocurès en dromadaire !
C’est ainsi que je commençais à hanter le rivage des lacs d’Aubrac dont le bleu incomparable me transportait sur les rives de Méditerranée !
Je conversais chaque nuit avec les dieux et fut subitement convertie à la chose poétique !
Une nuit où mon âme s’épanchait au bord du lac de Bonnecombe, une grande lumière descendit des cieux !
Il y eut d’abord des anges qui célébraient leur dieu Apollon Musagète, et enfin auréolé d’une grande beauté il vint !
Je ne sais quelle funeste idée traversa alors l’esprit de mon père pour me changer subitement en violette ! Je peux ainsi contempler chaque année au mois de FEVRIER au pied de la cascade du déroc le rideau de larmes cristallisées de mon bel Apollon ! Je ne sais si ses yeux de glace peuvent me contempler, je n’ai jamais eu la grâce de pouvoir le lui demander !
Ma prière sans cesse monte aux cieux afin qu’un dérèglement climatique fasse que mes pétales tardifs aperçoivent la cascade dégelée ! Je sais que dans l’éternité ce jour viendra, qu’il s’avancera rayonnant dans le soleil levant, sa chevelure dorée de perles de rosée !
Alors tout doucement il s’allongera s’enivrer aux arômes subtils dont je suis dotée !
Que le poète reste attentif aux murmures des cascades qui annonceront les épousailles d’Io et d’Apollon !
millou- Membre trop actif
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Re: Mots de maux !
Fraissinet a écrit:VioletteSereine dit (Peut-on lui en tenir rigueur?) :
" A ceux, qui comme moi, ont enfin acquis l’appellation sachez qu’à La Canourgue nous pouvons orner les étals de la célèbre foire à la brocante "
Je croyais que c'était une foire aux ânes!
Meunon Fraissy, vous auriez reçu un carton, voyons !
Invité- Invité
Re: Mots de maux !
Rêveries !
Tout doucement la vague et le vent...
Tout doucement se love le rouleau sous le souffle des aquilons !
C'est tellement iréel, que même les dieux n'y auraient jamais pensé.
Il est le sable et la dune, l'écume et le rocher, l'éther et les nues, cet instant d'après l'éternité.
Si l'univers existe c'est pour qu'il soit !
Chutt ! Ecoute, écoute l'oiseau et la plume, joue des vents et des brumes, allume-toi de soleil, oui ! D'ors...
Et je serai ta lune aux rayons d'argent.
Et quand nous serons très haut si jamais un trou "noir désir" nous emporte
notre sortie se fera en quelque sorte...
Sur un monde nouveau.
Tout doucement la vague et le vent...
Tout doucement se love le rouleau sous le souffle des aquilons !
C'est tellement iréel, que même les dieux n'y auraient jamais pensé.
Il est le sable et la dune, l'écume et le rocher, l'éther et les nues, cet instant d'après l'éternité.
Si l'univers existe c'est pour qu'il soit !
Chutt ! Ecoute, écoute l'oiseau et la plume, joue des vents et des brumes, allume-toi de soleil, oui ! D'ors...
Et je serai ta lune aux rayons d'argent.
Et quand nous serons très haut si jamais un trou "noir désir" nous emporte
notre sortie se fera en quelque sorte...
Sur un monde nouveau.
Invité- Invité
Re: Mots de maux !
je viens de lire ce forum quel bol d'air
quand l'esprit demande l'avis au coeur avant de parler il en sort des choses comme cela ; cela s'appelle de l'art !
merci continuez de nous régaler
quand l'esprit demande l'avis au coeur avant de parler il en sort des choses comme cela ; cela s'appelle de l'art !
merci continuez de nous régaler
Michel- Membre actif
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Re: Mots de maux !
Rêveries !
Tout doucement la vague et le vent...
Tout doucement se love le rouleau sous le souffle des aquilons !
C'est tellement iréel, que même les dieux n'y auraient jamais pensé.
Il est le sable et la dune, l'écume et le rocher, l'éther et les nues, cet instant d'après l'éternité.
Si l'univers existe c'est pour qu'il soit !
Chutt ! Ecoute, écoute l'oiseau et la plume, joue des vents et des brumes, allume-toi de soleil, oui ! D'ors...
Et je serai ta lune aux rayons d'argent.
Et quand nous serons très haut si jamais un trou "noir désir" nous emporte
notre sortie se fera en quelque sorte...
Sur un monde nouveau.
millou- Membre trop actif
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millou- Membre trop actif
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Le Retour
Ben voilà c’est moi, je reviens.
Si vous vous souvenez bien je vous ai quitté au moment où j’ai épousé un keuf, un keuf d’Alet, histoire de placer mon Papounet !
Ben voilà c’est fait, il est surveillant chef dans une banque, salle des coffres ! Hé hé ! C’est plus pratique pour placer le pèze de la farine !
Mon frère, Moktar a prit la suite, il fait le voyage deux fois par semaine sur un chameau et livre la farine à Bédouès chez une anglaise qui s‘est entichée de lui, une vrai crème !
Oh à propos de crème elle a fait un quatre-quart pour le curé avec la farine à Moktar; le curaillon s‘est retrouvé à poils dans la source du pêcher en plein mois de décembre, il s‘était mis dans la tête qu‘on allait le baptiser ! Vous ne le répèterai pas mais certaines mauvaises langues ont aperçu un mal rasé dans les parages…
Pour tout dire j‘en ai marre de mon keuf, comme j’aimais trop la moto, il fait ses patrouilles avec moi à l’arrière, ça part d’un bon sentiment, mais quand même…
Ce n’est pas tant le gyrophare sur le casque qui me gène, encore que ça me donne l’air illuminée, mais plutôt la sirène : C’est insoutenable !
Je pense que je vais rester au vert avec Moktar… A propos de vert, c’est la mousson ou quoi ici ? J’ai l’impression qu’ils ont planté du riz camarguais des deux côtés du Tarn ?
Je ne vois plus apparaître les noms des hommes charmants qui ont fait les joies du forum, faut dire que les girelles n’ondulent plus spécialement de la croupe !
Si vous vous souvenez bien je vous ai quitté au moment où j’ai épousé un keuf, un keuf d’Alet, histoire de placer mon Papounet !
Ben voilà c’est fait, il est surveillant chef dans une banque, salle des coffres ! Hé hé ! C’est plus pratique pour placer le pèze de la farine !
Mon frère, Moktar a prit la suite, il fait le voyage deux fois par semaine sur un chameau et livre la farine à Bédouès chez une anglaise qui s‘est entichée de lui, une vrai crème !
Oh à propos de crème elle a fait un quatre-quart pour le curé avec la farine à Moktar; le curaillon s‘est retrouvé à poils dans la source du pêcher en plein mois de décembre, il s‘était mis dans la tête qu‘on allait le baptiser ! Vous ne le répèterai pas mais certaines mauvaises langues ont aperçu un mal rasé dans les parages…
Pour tout dire j‘en ai marre de mon keuf, comme j’aimais trop la moto, il fait ses patrouilles avec moi à l’arrière, ça part d’un bon sentiment, mais quand même…
Ce n’est pas tant le gyrophare sur le casque qui me gène, encore que ça me donne l’air illuminée, mais plutôt la sirène : C’est insoutenable !
Je pense que je vais rester au vert avec Moktar… A propos de vert, c’est la mousson ou quoi ici ? J’ai l’impression qu’ils ont planté du riz camarguais des deux côtés du Tarn ?
Je ne vois plus apparaître les noms des hommes charmants qui ont fait les joies du forum, faut dire que les girelles n’ondulent plus spécialement de la croupe !
angélina- Invité
millou- Membre trop actif
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