chronique 7 Les sauterelles ou le crime parfait.
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chronique 7 Les sauterelles ou le crime parfait.
Chronique 7. Le crime parfait ou les sauterelles.
Je ne sais pas à quoi correspondait l’année 2006 au calendrier Chinois : cochon, vaux, vache, couvée… !
Ici au Bleymard et particulièrement à la piscine, l’année était à la sauterelle. La vraie. Pas celle à laquelle pensent les mecs en se disant « ah ça y est, on est parti dans le salace…enfin ! »
Patience.
Non, celle ci de sauterelle (bien qu’au niveau de la cuisse, elle puisse aisément tenir la comparaison) n’a rien à voir avec les pin up qui accourent en masse dans ma piscine.
Notre sauterelle est du genre orthoptère de la famille des tettigoniidéa…oui bon on s’en tape !
A première vue, elle n’a rien pour inspirer une quelconque sympathie. Elle est terne, raide, caparaçonner comme un chevalier chinois, elle se déplace au sol à la manière d’un char d’assaut. Aucune élégance, aucun style…Mais que survienne un danger et…tchac, c’est par un bon de plus de 50 fois sa taille qu’elle se projettera à bonne distance de l’importun, laissant entrevoir l’espace de son saut-volant, une superbe éclaboussure rouge, orange ou bleu qu’elle cachait sous ses ailes.
Mais mon propos n’est pas de faire un exposé d’entomologie sur l’insecte.
Moi, c’est son comportement qui m’ a laissé perplexe!
Tout d’abord, des sauterelles il y en avait du matin au soir, des centaines, voir des milliers. Elles arrivaient des prairies environnantes un peu comme si la piscine était devenue leur Mecque. Cela sautait à droite, à gauche avec des bruits de brindille de bois sec écrasé.
En vue aérienne, cela avait quelque chose de saisissant toutes ces bestioles à ressort qui sautillaient, cloquediquaient, toutes tournées vers le même objectif : Atteindre l’eau et… s’y noyer ! Plongeon dans l’absurde. Suicide collectif après un dernier saut, dont la figure aérienne gymnique était leur dernier salut à ce monde.
En effet, quoi de plus absurde que ce voyage dont le terme était d’ un non sens absolu ? Je ne voyais aucune explication à cela.
Pourquoi toutes ces sauterelles qui ont derrière elles un des pédigrés les plus chargés chez les êtres vivants, qui ont tout vécu sur cette planète, les glaciations, la sécheresse, les inondations, qui ont survécu là où les dinosaures, eux, n’ont pas su le faire. Elles qui sont capables de nous mettre à sac un pays entier juste à coup de mandibules et à condamner à la famine des milliers d’hommes…Pourquoi viennent t’elles là, à mes pieds, mettre fin à leur misérable vie de sauteuses capricieuses ?
Les cadavres remplissent les skimers, tapissent le fond du bassin. A la surface de l’eau, elles ne se débattent pas. Elles attendent. Elles meurent.
En définitive et par facilité, j’ai fini par me persuader qu’il n’y avait pas d’autre raison à cette manifestation morbide…que la connerie. Pour moi, ce jour, les sauterelles sont devenues le symbole même de la connerie. Ce qui, entre nous soit dit, m’a bien arrangé, parce que dés lors j’ai pu changer la formule « con comme la lune » qui ne me convenait pas vraiment (trop de respect pour la Lune) par celle beaucoup plus en adéquation avec mes observations « con comme une sauterelle ». Tout allait bien ainsi.
Hélas…il n’y a pas une dizaine de jours, un savant parlant à la radio à tout remis en question (c’est chaque fois pareille…ces gent là vous refont le monde sans tenir compte de votre équilibre et des repères que vous avez eu tant de mal à inscrire dans votre petit patrimoine culturel personnel)
Explication : Il manquera sûrement des éléments que je n’ai pas encore eu le temps d’aller chercher sur Internet ou dans ma petite biblio. Je vous l’a livre tel que je l’ai saisi au vol des ondes… Si certain en savent plus….qu’ils enfoncent donc la clou.
En fait, la sauterelle est victime d’une agression. Il n’y a pas suicide. Il y a crime.
Et aucun Poirot, Poulpe ou Maigret n’auraient pu déjouer ou découvrir la trame criminelle qui se joue à l’intérieur même de la victime.
L’assassin, un ver minuscule, au point de se dissimuler à l’intérieur de la tête de la sauterelle, est là, attendant son moment. Il va, l’immonde, secréter une espèce d’hormone, une espèce de phérormone qui va agir de la façon la plus pervers sur le cerveau de notre sauterelle.
Imaginez. Une sensation, un sentiment, une pulsion vous incitant à vous hisser jusqu’au plus haut du clocher de votre paroisse, et vous ayant convaincu que vous étiez une cigogne… vous prenez votre envol… !
Ridicule et dangereuse situation.
Et pourtant c’est exactement ce qui va se passer chez la sauterelle. La phérormone créera chez notre sauteuse un irrépressible besoin de trouver de l’eau, de s’y tremper et bien évidemment de s’y noyer… !
Le but est atteint. Le crime consommé. L’assassin peut passer à la deuxième phase de son plan machiavélique…se reproduire.
Et oui, encore une histoire de baise, encore une perversion au-delà de l’imaginable. Tuer pour mieux baiser. Tuer pour vivre. Tuer pour se reproduire.
Après le massacre, la partouze…et tout cela dans ma toute petite piscine, au milieu du jeux des humains qui ne se doutent pas une seconde des enjeux incroyables qui se jouent autour d’eux…
Parfois devant les choses insensées que produit la nature, je pense que les maîtres nageur devraient changer leur maillot de bain contre des complets trois pièces -cravate et dire « chapeau la nature…là tu m’en bouche un coin ! »
Ca y est j’ai trouvé un article : http://apperisphere.com/blog/index.php/2005/09/12/22-des-sauterelles-suicidaires
Aujourd'hui piscine: ph 7,2 (parfait) chl pataugeoire 2,5 transparence parfaite . Les chiens ne sont toujours pas admis. Les chats, si. et l'entrée...toujours gratuite.
Bonne baignade.
Je ne sais pas à quoi correspondait l’année 2006 au calendrier Chinois : cochon, vaux, vache, couvée… !
Ici au Bleymard et particulièrement à la piscine, l’année était à la sauterelle. La vraie. Pas celle à laquelle pensent les mecs en se disant « ah ça y est, on est parti dans le salace…enfin ! »
Patience.
Non, celle ci de sauterelle (bien qu’au niveau de la cuisse, elle puisse aisément tenir la comparaison) n’a rien à voir avec les pin up qui accourent en masse dans ma piscine.
Notre sauterelle est du genre orthoptère de la famille des tettigoniidéa…oui bon on s’en tape !
A première vue, elle n’a rien pour inspirer une quelconque sympathie. Elle est terne, raide, caparaçonner comme un chevalier chinois, elle se déplace au sol à la manière d’un char d’assaut. Aucune élégance, aucun style…Mais que survienne un danger et…tchac, c’est par un bon de plus de 50 fois sa taille qu’elle se projettera à bonne distance de l’importun, laissant entrevoir l’espace de son saut-volant, une superbe éclaboussure rouge, orange ou bleu qu’elle cachait sous ses ailes.
Mais mon propos n’est pas de faire un exposé d’entomologie sur l’insecte.
Moi, c’est son comportement qui m’ a laissé perplexe!
Tout d’abord, des sauterelles il y en avait du matin au soir, des centaines, voir des milliers. Elles arrivaient des prairies environnantes un peu comme si la piscine était devenue leur Mecque. Cela sautait à droite, à gauche avec des bruits de brindille de bois sec écrasé.
En vue aérienne, cela avait quelque chose de saisissant toutes ces bestioles à ressort qui sautillaient, cloquediquaient, toutes tournées vers le même objectif : Atteindre l’eau et… s’y noyer ! Plongeon dans l’absurde. Suicide collectif après un dernier saut, dont la figure aérienne gymnique était leur dernier salut à ce monde.
En effet, quoi de plus absurde que ce voyage dont le terme était d’ un non sens absolu ? Je ne voyais aucune explication à cela.
Pourquoi toutes ces sauterelles qui ont derrière elles un des pédigrés les plus chargés chez les êtres vivants, qui ont tout vécu sur cette planète, les glaciations, la sécheresse, les inondations, qui ont survécu là où les dinosaures, eux, n’ont pas su le faire. Elles qui sont capables de nous mettre à sac un pays entier juste à coup de mandibules et à condamner à la famine des milliers d’hommes…Pourquoi viennent t’elles là, à mes pieds, mettre fin à leur misérable vie de sauteuses capricieuses ?
Les cadavres remplissent les skimers, tapissent le fond du bassin. A la surface de l’eau, elles ne se débattent pas. Elles attendent. Elles meurent.
En définitive et par facilité, j’ai fini par me persuader qu’il n’y avait pas d’autre raison à cette manifestation morbide…que la connerie. Pour moi, ce jour, les sauterelles sont devenues le symbole même de la connerie. Ce qui, entre nous soit dit, m’a bien arrangé, parce que dés lors j’ai pu changer la formule « con comme la lune » qui ne me convenait pas vraiment (trop de respect pour la Lune) par celle beaucoup plus en adéquation avec mes observations « con comme une sauterelle ». Tout allait bien ainsi.
Hélas…il n’y a pas une dizaine de jours, un savant parlant à la radio à tout remis en question (c’est chaque fois pareille…ces gent là vous refont le monde sans tenir compte de votre équilibre et des repères que vous avez eu tant de mal à inscrire dans votre petit patrimoine culturel personnel)
Explication : Il manquera sûrement des éléments que je n’ai pas encore eu le temps d’aller chercher sur Internet ou dans ma petite biblio. Je vous l’a livre tel que je l’ai saisi au vol des ondes… Si certain en savent plus….qu’ils enfoncent donc la clou.
En fait, la sauterelle est victime d’une agression. Il n’y a pas suicide. Il y a crime.
Et aucun Poirot, Poulpe ou Maigret n’auraient pu déjouer ou découvrir la trame criminelle qui se joue à l’intérieur même de la victime.
L’assassin, un ver minuscule, au point de se dissimuler à l’intérieur de la tête de la sauterelle, est là, attendant son moment. Il va, l’immonde, secréter une espèce d’hormone, une espèce de phérormone qui va agir de la façon la plus pervers sur le cerveau de notre sauterelle.
Imaginez. Une sensation, un sentiment, une pulsion vous incitant à vous hisser jusqu’au plus haut du clocher de votre paroisse, et vous ayant convaincu que vous étiez une cigogne… vous prenez votre envol… !
Ridicule et dangereuse situation.
Et pourtant c’est exactement ce qui va se passer chez la sauterelle. La phérormone créera chez notre sauteuse un irrépressible besoin de trouver de l’eau, de s’y tremper et bien évidemment de s’y noyer… !
Le but est atteint. Le crime consommé. L’assassin peut passer à la deuxième phase de son plan machiavélique…se reproduire.
Et oui, encore une histoire de baise, encore une perversion au-delà de l’imaginable. Tuer pour mieux baiser. Tuer pour vivre. Tuer pour se reproduire.
Après le massacre, la partouze…et tout cela dans ma toute petite piscine, au milieu du jeux des humains qui ne se doutent pas une seconde des enjeux incroyables qui se jouent autour d’eux…
Parfois devant les choses insensées que produit la nature, je pense que les maîtres nageur devraient changer leur maillot de bain contre des complets trois pièces -cravate et dire « chapeau la nature…là tu m’en bouche un coin ! »
Ca y est j’ai trouvé un article : http://apperisphere.com/blog/index.php/2005/09/12/22-des-sauterelles-suicidaires
Aujourd'hui piscine: ph 7,2 (parfait) chl pataugeoire 2,5 transparence parfaite . Les chiens ne sont toujours pas admis. Les chats, si. et l'entrée...toujours gratuite.
Bonne baignade.
Henri- Membre
- Nombre de messages : 594
Age : 74
Points : 6314
Date d'inscription : 14/02/2007
Re: chronique 7 Les sauterelles ou le crime parfait.
Tu sais Henri que tes chroniques vont bien au-delà de ce qu'elles décrivent en apparence. Je ne peux m'empêcher le rapprochement de la conduite apparemment absurde des sauterelles et de celle des hommes. En conclusion le vers serait-il dans l'homme ?
Il n'y aurait rien de bien étrange à cela depuis le temps qu'il croque des pommes... La nature étant ce qu'elle est, il n'y aurait rien d'étonnant que de génération en génération le vers ait compris que finalement il finissait toujours dans celui qui croquait le fruit d'une part, et que cela n'entammait en rien le corps occupé d'autre part.
Bref l'homme constiturait-il l'éden enfin retrouvé pour le vers ?
Poussons plus loin, à force de grignotter cet organe unique qui le différencie à peu près du reigne animal, le but ultime ne serait-il pas de rendre à l'homme son animalité originelle...
On peut raisonnablement se poser la question surtout au moment du coït, instant où l'on peut voir l'humain gémir comme un chiot, souffler comme un phoque, transpirer comme une baleine... Perdre totalement la notion de l'environnement comme un félin en chasse ?
Finalement le scénario est tout à fait bien monté, l'appétit du vers d'une part et la possibilité de régénérescence des cellules humaines d'autre part rendent les choses d'une simplicité enfantine, pour peu qu'on ait à l'esprit que seuls les neurones ne se réparent pas...
C'est ainsi qu'en supprimant ces abbats dont le danger dépasse de beaucoup leurs capacités à comprendre la nature serait sur le point de s'auto-réparer !
C'est ainsi que dans plusieurs millénaires l'homme boira quand il aura soif, mangera quand il aura faim, baisera pour assurer sa lignée. Le Paradis retrouvé en somme ...
Sauf si les vers se mettent à penser !
Il n'y aurait rien de bien étrange à cela depuis le temps qu'il croque des pommes... La nature étant ce qu'elle est, il n'y aurait rien d'étonnant que de génération en génération le vers ait compris que finalement il finissait toujours dans celui qui croquait le fruit d'une part, et que cela n'entammait en rien le corps occupé d'autre part.
Bref l'homme constiturait-il l'éden enfin retrouvé pour le vers ?
Poussons plus loin, à force de grignotter cet organe unique qui le différencie à peu près du reigne animal, le but ultime ne serait-il pas de rendre à l'homme son animalité originelle...
On peut raisonnablement se poser la question surtout au moment du coït, instant où l'on peut voir l'humain gémir comme un chiot, souffler comme un phoque, transpirer comme une baleine... Perdre totalement la notion de l'environnement comme un félin en chasse ?
Finalement le scénario est tout à fait bien monté, l'appétit du vers d'une part et la possibilité de régénérescence des cellules humaines d'autre part rendent les choses d'une simplicité enfantine, pour peu qu'on ait à l'esprit que seuls les neurones ne se réparent pas...
C'est ainsi qu'en supprimant ces abbats dont le danger dépasse de beaucoup leurs capacités à comprendre la nature serait sur le point de s'auto-réparer !
C'est ainsi que dans plusieurs millénaires l'homme boira quand il aura soif, mangera quand il aura faim, baisera pour assurer sa lignée. Le Paradis retrouvé en somme ...
Sauf si les vers se mettent à penser !
Dernière édition par le Sam 21 Juil - 13:25, édité 1 fois
Piboule- Faites la taire !
- Nombre de messages : 12225
Points : 10883
Date d'inscription : 13/02/2007
Re: chronique 7 Les sauterelles ou le crime parfait.
Tiens Henri, je suis allée sur le site du Bleymard, et j'ai vu ta petite piscine ! Mais je ne sais pas si tu es aussi sur la photo.
Au fait, quand j'ai présenté mon futur mari néo-zélandais à ma famille à Florac, il y a bien longtemps, il était stupéfait de ces mêmes sauterelles grisâtres qui se métamorphosaient en arc-en-ciel devant ses pas. Il les suivait pour essayer de deviner la couleur qui allait gicler sous les ailes, si bien que ma famille a fini par l'appeler "berger des sauterelles".
Au fait, quand j'ai présenté mon futur mari néo-zélandais à ma famille à Florac, il y a bien longtemps, il était stupéfait de ces mêmes sauterelles grisâtres qui se métamorphosaient en arc-en-ciel devant ses pas. Il les suivait pour essayer de deviner la couleur qui allait gicler sous les ailes, si bien que ma famille a fini par l'appeler "berger des sauterelles".
Albanie- Invité
Re: chronique 7 Les sauterelles ou le crime parfait.
Je en comprend pas trés bien ce que c'est que ce site bizarre ou la piscine (celle du bas) n'est pas à nous!!!!
Celle du haut oui et effectivement je crois bien y être.
Mais dis donc Albanie, ton ex futur et présentement mari ne me dis pas qu'il était impressionné par nos minables sauterelles...Avec toutes les bestioles pas possible qui vivent dans son pays...et je parle pas des kangourous.
Celle du haut oui et effectivement je crois bien y être.
Mais dis donc Albanie, ton ex futur et présentement mari ne me dis pas qu'il était impressionné par nos minables sauterelles...Avec toutes les bestioles pas possible qui vivent dans son pays...et je parle pas des kangourous.
Henri- Membre
- Nombre de messages : 594
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Points : 6314
Date d'inscription : 14/02/2007
Re: chronique 7 Les sauterelles ou le crime parfait.
Henri, voyons ! y a pas de kangourous en Nouvelle-Zélande !
Albanie- Invité
Re: chronique 7 Les sauterelles ou le crime parfait.
D'abord je suis Français! J'ai donc toutes les excuses liées à mon origine.
Et puis j'ai confondu avec le Blaireau qui peut trés bien, par nuits de brouillard et aprés petite fumette, être lui même confondu avec le Kiwi (tous deux sont nocturnes, solitaires et territoriaux, et occupent des terriers construits de la même manière. Wikipédia)
Or le Kiwi n'est il pas le fidèle ami des poêtes Maori ainsi que l'accompagnement indispensable à toute salade de fruits...
Excuses moi auprés de ton mari, d'avoir confondu les 2000kms qui sépare sa maison de l'Australie , d'avec le Gois qui sépare la Vendée de l'ile de Noirmoutier...
j'ai honte...Je promet de me plonger dans un atlas dés aujourd'hui et de n'en sortir qu'a la fin de l'été avec toute mes notions géographiques remises à niveau...
Et puis j'ai confondu avec le Blaireau qui peut trés bien, par nuits de brouillard et aprés petite fumette, être lui même confondu avec le Kiwi (tous deux sont nocturnes, solitaires et territoriaux, et occupent des terriers construits de la même manière. Wikipédia)
Or le Kiwi n'est il pas le fidèle ami des poêtes Maori ainsi que l'accompagnement indispensable à toute salade de fruits...
Excuses moi auprés de ton mari, d'avoir confondu les 2000kms qui sépare sa maison de l'Australie , d'avec le Gois qui sépare la Vendée de l'ile de Noirmoutier...
j'ai honte...Je promet de me plonger dans un atlas dés aujourd'hui et de n'en sortir qu'a la fin de l'été avec toute mes notions géographiques remises à niveau...
Henri- Membre
- Nombre de messages : 594
Age : 74
Points : 6314
Date d'inscription : 14/02/2007
Re: chronique 7 Les sauterelles ou le crime parfait.
Ah le blaireau... j'en connais un, qui, avec beaucoup d'imagination, a même cru voir un raton laveur sur le mont Lozère.
Invité- Invité
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