Notre Bete (celle du Gévaudan)
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Re: Notre Bete (celle du Gévaudan)
Au fait, j'y pense, nous sommes vraiment maintenant aux culs des loups en Lozère !
Piboule- Faites la taire !
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Midi Libre ce jour :
Ils n'entendent pas cohabiter avec le loup
Le propos est simple et sans appel. « Cohabiter avec le loup, comme nous le demandent les responsables du parc national des Cévennes, nous ne voulons même pas l'entendre », insiste Mickaël Meyrueis exploitant agricole à La Fages, non loin des Bondons, où des spécialistes ont repéré un loup, il y a 15 jours.
« Toutes ces administrations manquent totalement de transparence et nous ne savons rien sur l'évolution de la situation par rapport aux loups. Encore une fois, si les médias ne forcent pas les autorités à en parler, on passe tout sous silence », gronde le jeune agriculteur.
Quelques jours avant l'annonce officielle de la présence éventuelle du loup sur les Bondons, ce qu'il a considéré comme un gros chien s'est enfui devant sa voiture alors qu'il arrivait devant son étable. « J'en ai parlé autour de moi. Le lendemain, j'ai vu tous ces véhicules de l'ONCFS et du parc tourner dans le coin. Il me semblait gros pour un chien.
Je suis persuadé que c'est bien le loup qui rôdait là. Encore une fois, on ne nous alerte pas. Et s'il y a des dégâts on dira que ce sont les agriculteurs qui menacent le loup. Nous sommes inquiets pour nous, pour nos troupeaux.
Si on nous prévient, nous prendrons des précautions pour éventuellement protéger nos bêtes. Mais l'administration locale nous cache tout et nous propose juste de cohabiter. Pour moi cela veut dire que la présence est plus ou moins confirmée et que, contraints ou forcés, nous devrons nous y résoudre. »
Entre fantasme et réalité, les agriculteurs restent partagés. Pour eux ce dossier, s'il n'est pas dans un premier temps traité de façon transparente par l'administration, il y aura forcément conflit et opposition entre agriculteurs et naturalistes.
« Nous ne devons pas nous enflammer, nous en sommes encore à l'heure des suppositions, assure encore le jeune agriculteur.
Nous avons désormais une certitude, la Lozère est une zone de passage du loup. Sur ce point l'administration ne peut plus nous mener en bateau. Pour le reste, assistons-nous à son retour ? Tout reste à voir et nous prendrons les mesures qui s'imposent. Les politiques devront aussi prendre la mesure du phénomène. »
Jean-Pierre AMARGER
Le propos est simple et sans appel. « Cohabiter avec le loup, comme nous le demandent les responsables du parc national des Cévennes, nous ne voulons même pas l'entendre », insiste Mickaël Meyrueis exploitant agricole à La Fages, non loin des Bondons, où des spécialistes ont repéré un loup, il y a 15 jours.
« Toutes ces administrations manquent totalement de transparence et nous ne savons rien sur l'évolution de la situation par rapport aux loups. Encore une fois, si les médias ne forcent pas les autorités à en parler, on passe tout sous silence », gronde le jeune agriculteur.
Quelques jours avant l'annonce officielle de la présence éventuelle du loup sur les Bondons, ce qu'il a considéré comme un gros chien s'est enfui devant sa voiture alors qu'il arrivait devant son étable. « J'en ai parlé autour de moi. Le lendemain, j'ai vu tous ces véhicules de l'ONCFS et du parc tourner dans le coin. Il me semblait gros pour un chien.
Je suis persuadé que c'est bien le loup qui rôdait là. Encore une fois, on ne nous alerte pas. Et s'il y a des dégâts on dira que ce sont les agriculteurs qui menacent le loup. Nous sommes inquiets pour nous, pour nos troupeaux.
Si on nous prévient, nous prendrons des précautions pour éventuellement protéger nos bêtes. Mais l'administration locale nous cache tout et nous propose juste de cohabiter. Pour moi cela veut dire que la présence est plus ou moins confirmée et que, contraints ou forcés, nous devrons nous y résoudre. »
Entre fantasme et réalité, les agriculteurs restent partagés. Pour eux ce dossier, s'il n'est pas dans un premier temps traité de façon transparente par l'administration, il y aura forcément conflit et opposition entre agriculteurs et naturalistes.
« Nous ne devons pas nous enflammer, nous en sommes encore à l'heure des suppositions, assure encore le jeune agriculteur.
Nous avons désormais une certitude, la Lozère est une zone de passage du loup. Sur ce point l'administration ne peut plus nous mener en bateau. Pour le reste, assistons-nous à son retour ? Tout reste à voir et nous prendrons les mesures qui s'imposent. Les politiques devront aussi prendre la mesure du phénomène. »
Jean-Pierre AMARGER
Le retour du loup est confirmé par la préfecture
MidiLibre :
http://www.midilibre.com/articles/2009/03/11/20090311-Loup-Le-retour-du-loup-est-confirme-par-la-prefecture.php5
Les résultats des analyses ADN effectuées après l'observation d'un canidé confirment la présence d'un nouveau loup en Lozère. Ce dernier animal est donc bien passé par Les Bondons, où il avait été repéré.
http://www.midilibre.com/articles/2009/03/11/20090311-Loup-Le-retour-du-loup-est-confirme-par-la-prefecture.php5
Re: Notre Bete (celle du Gévaudan)
Dans de nombreuses réactions certaines personnes ont envie de faire peur, pour exprimer leur refus du loup !
C'est assez perturbant sachant que les dégâts actuels viennent surtout des sangliers et des grand gibiers.
Combien de voitures abimés, de champs détruit, de jeunes pousses abîmés... ?
Que les inquiétudes viennent des éleveurs ça peut se comprendre, mais des chasseurs laissez moi rire !
(et je suis 100% favorable à la chasse)
J'ai surtout l'impression que ces personnes voit le loup comme un lubie écolo-parisien, et qu'il voit cela comme une (nouvelle atteinte) à leur secteur (agriculture & chasse) bien attaqué par ces mêmes personnes.
Il faut leur dire que le loup est une chance, et leur assurer qu'en cas de dégâts sur les élevages les indemnités seront là de suite.
Mais pour le moment le(s) loup(s) sont pour le moment qu'en simple promenade...
Pas de quoi s'inquiéter...
Vive le loup chez nous !!!
C'est assez perturbant sachant que les dégâts actuels viennent surtout des sangliers et des grand gibiers.
Combien de voitures abimés, de champs détruit, de jeunes pousses abîmés... ?
Que les inquiétudes viennent des éleveurs ça peut se comprendre, mais des chasseurs laissez moi rire !
(et je suis 100% favorable à la chasse)
J'ai surtout l'impression que ces personnes voit le loup comme un lubie écolo-parisien, et qu'il voit cela comme une (nouvelle atteinte) à leur secteur (agriculture & chasse) bien attaqué par ces mêmes personnes.
Il faut leur dire que le loup est une chance, et leur assurer qu'en cas de dégâts sur les élevages les indemnités seront là de suite.
Mais pour le moment le(s) loup(s) sont pour le moment qu'en simple promenade...
Pas de quoi s'inquiéter...
Vive le loup chez nous !!!
Invité- Invité
Re: Notre Bete (celle du Gévaudan)
La bête du Gévaudan par Michel Louis :
L'ouvrage le plus complet sur l'une des plus célèbres énigmes de notre histoire qui vit, de 1764 à 1767, une bête mystérieuse semer la terreur dans le Gévaudan.
Sous le règne de Louis XV, entre 1764 et 1767, une bête mystérieuse sème la terreur en Lozère. Elle tient en échec des battues gigantesques menées par les plus grands chasseurs du royaume, déjoue tous les pièges, égorge 122 personnes, en majorité des femmes et des enfants, avant d'être abattue dans des circonstances inexpliquées. Décrit comme un loup de très grande taille, personne n'a jamais su quel était cet animal à l'aspect et au comportement déroutant. Qui se cachait réellement sous le masque de ce monstre-prédateur ? De sadiques meurtriers ? Qui sont-ils et quel rôle ont-ils joué ? L'envoyé personnel du roi Louis XV a-t-il trompé les notables et le peuple ?
Au terme d'une minutieuse enquête, l'auteur répond à ces questions à la lumière des documents officiels, de la tradition orale et de la zoologie moderne. Ouvrage le plus complet sur une des plus célèbres énigmes de l'Histoire, ce texte est aussi un plaidoyer en faveur de l'éternel accusé, le loup, dont Michel Louis prouve l'innocence et demande la réhabilitation.
Michel Louis a toujours éprouvé conjointement une grande passion pour les animaux sauvages et pour le mystère de la bête du Gévaudan. En 1986, il réalisa son rêve d'enfance en créant son superbe parc zoologique à Amneville (Moselle). Son regard de spécialiste des fauves et du comportement animal éclaire d'un jour nouveau l'histoire de la bête.
L'ouvrage le plus complet sur l'une des plus célèbres énigmes de notre histoire qui vit, de 1764 à 1767, une bête mystérieuse semer la terreur dans le Gévaudan.
Sous le règne de Louis XV, entre 1764 et 1767, une bête mystérieuse sème la terreur en Lozère. Elle tient en échec des battues gigantesques menées par les plus grands chasseurs du royaume, déjoue tous les pièges, égorge 122 personnes, en majorité des femmes et des enfants, avant d'être abattue dans des circonstances inexpliquées. Décrit comme un loup de très grande taille, personne n'a jamais su quel était cet animal à l'aspect et au comportement déroutant. Qui se cachait réellement sous le masque de ce monstre-prédateur ? De sadiques meurtriers ? Qui sont-ils et quel rôle ont-ils joué ? L'envoyé personnel du roi Louis XV a-t-il trompé les notables et le peuple ?
Au terme d'une minutieuse enquête, l'auteur répond à ces questions à la lumière des documents officiels, de la tradition orale et de la zoologie moderne. Ouvrage le plus complet sur une des plus célèbres énigmes de l'Histoire, ce texte est aussi un plaidoyer en faveur de l'éternel accusé, le loup, dont Michel Louis prouve l'innocence et demande la réhabilitation.
Michel Louis a toujours éprouvé conjointement une grande passion pour les animaux sauvages et pour le mystère de la bête du Gévaudan. En 1986, il réalisa son rêve d'enfance en créant son superbe parc zoologique à Amneville (Moselle). Son regard de spécialiste des fauves et du comportement animal éclaire d'un jour nouveau l'histoire de la bête.
Dana Grolulu- Membre
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Dana Grolulu- Membre
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Re: Notre Bete (celle du Gévaudan)
Werewolf
Jean-Christophe Macquet
roman, Editions Henry
Résumé : existe-t-il un lien entre la Bête du Gévaudan et Bertrand du Guesclin ? A priori, non ! Le connétable de France était, dit-on, très laid, mais de là à le confondre avec un croquemitaine... Et pourtant, en ce mois de novembre de l'année 1905 , le capitaine Louis Delamer se voit confier une bien étrange mission : mettre hors d'état de nuire une créature qui sème la terreur dans le département de la Lozère et dont les crimes ne sont pas sans rappeler ceux perpétrés presque cent cinquante ans plus tôt par la célèbre Bête !
Jean-Christophe Macquet
roman, Editions Henry
Résumé : existe-t-il un lien entre la Bête du Gévaudan et Bertrand du Guesclin ? A priori, non ! Le connétable de France était, dit-on, très laid, mais de là à le confondre avec un croquemitaine... Et pourtant, en ce mois de novembre de l'année 1905 , le capitaine Louis Delamer se voit confier une bien étrange mission : mettre hors d'état de nuire une créature qui sème la terreur dans le département de la Lozère et dont les crimes ne sont pas sans rappeler ceux perpétrés presque cent cinquante ans plus tôt par la célèbre Bête !
Surcouf- Membre trop actif
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Re: Notre Bete (celle du Gévaudan)
La Bête du Gévaudan : Le loup acquitté enfin !
par Hervé Boyac
Livre CD-Rom : http://ferus.org/spip.php?article1748
par Hervé Boyac
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Surcouf- Membre trop actif
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Re: Notre Bete (celle du Gévaudan)
Gévaudan
Philippe Magnival
éditions Pré aux clerc
Promo : polar fantastique au goût sauvage qui ressuscite la bête par la grâce du génie génétique. Un "Jurassic Park" à la sauce Gévaudan. Gore, mystère, sexe et psychanalyse coulent à flot. A part ça, un roman très implanté dans le terroir. Philippe Mignaval est de là-bas. Il sait de quoi il parle.
http://www.betedugevaudan.fr/index.htm
Philippe Magnival
éditions Pré aux clerc
Promo : polar fantastique au goût sauvage qui ressuscite la bête par la grâce du génie génétique. Un "Jurassic Park" à la sauce Gévaudan. Gore, mystère, sexe et psychanalyse coulent à flot. A part ça, un roman très implanté dans le terroir. Philippe Mignaval est de là-bas. Il sait de quoi il parle.
http://www.betedugevaudan.fr/index.htm
Surcouf- Membre trop actif
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Re: Notre Bete (celle du Gévaudan)
je ne me souviens plus très bien qui avait parlé de la bête des Cevennes.
Au cours de mes tribulations sur le Bougès, j'ai questionnai les "sauvages" locaux (pas du style Kaïou ou Baboulaa, mais les animaux, les arbres bref, la nature...) et ai obtenu bien des confidences.
Jaloux de notre Bête, du Gévaudan, (comme de nos champignons aujourd'hui), les GARDOIS ont voulu nous imiter.
Le journal du Gard numéro du 21 octobre 1809:
"Depuis quelques jours, un animal féroce a répandu la terreur dans le premier arrondissement du gard. Comme autre fois la Bête du gévaudan, la Bête des Cévennes exerce aujourd'hui ses ravages dans cette contrée.
Lettre de l'abbé Canaud, curé de Gravières, à Albin Mazon le 3 février 1883:
"Jamais fléau n'a semé telle épouvante dans un pays. La nuit on n'osait sortir des maisons; nulle femme qui s'aventurât seule dans la campagne; on s'armait pour accompagner l'enfant à l'école; et ceux qui allaient à la ceuillette des châtaignes, ou aux autres travaux ne partaient qu'après s'être munis de haches, de fouches, de piques ou de fusils...."
Au cours de mes tribulations sur le Bougès, j'ai questionnai les "sauvages" locaux (pas du style Kaïou ou Baboulaa, mais les animaux, les arbres bref, la nature...) et ai obtenu bien des confidences.
Jaloux de notre Bête, du Gévaudan, (comme de nos champignons aujourd'hui), les GARDOIS ont voulu nous imiter.
Le journal du Gard numéro du 21 octobre 1809:
"Depuis quelques jours, un animal féroce a répandu la terreur dans le premier arrondissement du gard. Comme autre fois la Bête du gévaudan, la Bête des Cévennes exerce aujourd'hui ses ravages dans cette contrée.
Lettre de l'abbé Canaud, curé de Gravières, à Albin Mazon le 3 février 1883:
"Jamais fléau n'a semé telle épouvante dans un pays. La nuit on n'osait sortir des maisons; nulle femme qui s'aventurât seule dans la campagne; on s'armait pour accompagner l'enfant à l'école; et ceux qui allaient à la ceuillette des châtaignes, ou aux autres travaux ne partaient qu'après s'être munis de haches, de fouches, de piques ou de fusils...."
baboulaa- Membre trop actif
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Re: Notre Bete (celle du Gévaudan)
gravieres c'est pas le gard mais l'ardèche
bon,la suite.Rondo please
bon,la suite.Rondo please
kaïou- Membre trop actif
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Re: Notre Bete (celle du Gévaudan)
a demon.... per un'entre passagio
baboulaa- Membre trop actif
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Re: Notre Bete (celle du Gévaudan)
aie!macarel le mal rasé commence à croire ce que racontent les curés....
kaïou- Membre trop actif
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Re: Notre Bete (celle du Gévaudan)
Pour ceux qui sont intéresse, vous cliquez sur le texte, il ouvre une fenêtre en grand et vous pouvez faire une copie
Tu as compris mon vieux sbire????
Oui c'est à toi que je cause Kaïou.......
Tu as compris mon vieux sbire????
Oui c'est à toi que je cause Kaïou.......
baboulaa- Membre trop actif
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