Le café LITTERAIRE
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"Le bonheur n'est réel que lorsqu'il est partagé".
"Le bonheur n'est réel que lorsqu'il est partagé".
"Le bonheur n'est réel que lorsqu'il est partagé".De Christopher Mc Candless (22 ans) euuhhh, non, il faut toujours appeler les gens par leur vrai nom donc : Christopher Supertramp, celui de la carte d’identité n’est pas forcément le vrai. La phrase est extraite du roman Voyage au bout de la solitude, de Jon Krakauer , vous pouvez aussi regardez « Into the wild » en DVD l’adaptation impressionnante du roman.
Putain d’amerloque, c’est bien la première fois quand lisant un bouquin (poche 10 18, 7,40€), j’ai eu la vue brouillée par les larmes à la dernière page, comme je suis maso, j’ai couru à mon ordi pour commander le DVD ; Sean Penn adapte, mais ne trahit pas.
Présentation de l'éditeur
Il avait renoncé au rêve américain. Pour vivre une aventure extrême. En 1992, le cadavre d'un jeune homme est découvert dans un bus abandonné en Alaska, au pied du mont Mckinley, loin de tout lieu habité. Fils de bonne famille, Chris McCandless aurait dû en toute logique devenir un Américain bien tranquille à l'avenir sans surprise. Mais, dès l'obtention de son diplôme universitaire, il décide de partir à l'aventure. Après avoir fait don de ses économies à une œuvre humanitaire, il entame son périple sous un nom d'emprunt avec sa vieille voiture, qu'il abandonnera un peu plus tard. Il sillonne le sud des Etats-Unis, subsistant grâce à de menus travaux, avant de réaliser son grand projet : s'installer au cœur de l'Alaska, seul, en communion avec la nature. Mais on ne s'improvise pas trappeur, ni homme des bois... Affamé, il s'empoisonne accidentellement en mangeant des racines de pomme de terre sauvage. Entre-temps, il comprend que la solitude n'est pas l'idéal de l'homme. Peu de temps, avant de mourir, Christopher McCandless écrira au stylo sur une page d'un livre « Happiness only Real when sare » (« Le bonheur n'est réel que lorsqu'il est partagé »).
"Le bonheur n'est réel que lorsqu'il est partagé".De Christopher Mc Candless (22 ans) euuhhh, non, il faut toujours appeler les gens par leur vrai nom donc : Christopher Supertramp, celui de la carte d’identité n’est pas forcément le vrai. La phrase est extraite du roman Voyage au bout de la solitude, de Jon Krakauer , vous pouvez aussi regardez « Into the wild » en DVD l’adaptation impressionnante du roman.
Putain d’amerloque, c’est bien la première fois quand lisant un bouquin (poche 10 18, 7,40€), j’ai eu la vue brouillée par les larmes à la dernière page, comme je suis maso, j’ai couru à mon ordi pour commander le DVD ; Sean Penn adapte, mais ne trahit pas.
Présentation de l'éditeur
Il avait renoncé au rêve américain. Pour vivre une aventure extrême. En 1992, le cadavre d'un jeune homme est découvert dans un bus abandonné en Alaska, au pied du mont Mckinley, loin de tout lieu habité. Fils de bonne famille, Chris McCandless aurait dû en toute logique devenir un Américain bien tranquille à l'avenir sans surprise. Mais, dès l'obtention de son diplôme universitaire, il décide de partir à l'aventure. Après avoir fait don de ses économies à une œuvre humanitaire, il entame son périple sous un nom d'emprunt avec sa vieille voiture, qu'il abandonnera un peu plus tard. Il sillonne le sud des Etats-Unis, subsistant grâce à de menus travaux, avant de réaliser son grand projet : s'installer au cœur de l'Alaska, seul, en communion avec la nature. Mais on ne s'improvise pas trappeur, ni homme des bois... Affamé, il s'empoisonne accidentellement en mangeant des racines de pomme de terre sauvage. Entre-temps, il comprend que la solitude n'est pas l'idéal de l'homme. Peu de temps, avant de mourir, Christopher McCandless écrira au stylo sur une page d'un livre « Happiness only Real when sare » (« Le bonheur n'est réel que lorsqu'il est partagé »).
Invité- Invité
Je, François Villon
Ceux de mon âge qui regardaient l'Assiette Anglaise l ’émission de Bernard Rapp, ont peut-être une image de Jean Teulé en tête. Depuis des lustres il a troqué sa plume de journaliste pour celle d’écrivain.
Hier, j’ai lu « Je, François Villon » dans un style pseudo médiéval, Teulé raconte la vie du poète brigand à la vie carrément sadienne selon Jean Teulé. Je me garderais de vous dire si les choix de l’auteur sont judicieux, n’étant pas médiévaliste. Malgré mon incapacité, je salue cet essai au souffre qui sans si bon l’authenticité. On nous a rabattu les oreillers avec le mièvre art courtois bien sirupeux, en faisant semblant d’oublier les milliers de massacres, d’atrocité de la guerre de cent ans. Teulé avec ce Villon va-t-il trop loin, peut-être pas, mais midinettes et âmes sensibles s’abstenir.
J’ignore qui est l’auteur de cet article dans Wiki (http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Villon).
L’intrigue de Teulé suit la même trame historique, il comble avec son imagination d’écrivain (c’est un roman) à l’intérieur de ce canevas historique. Roman violant, qui se lit d’un trait, attention si vous commencez après 22h, nuit blanche garantit et cauchemar ensuite.
À lire absolument.
Hier, j’ai lu « Je, François Villon » dans un style pseudo médiéval, Teulé raconte la vie du poète brigand à la vie carrément sadienne selon Jean Teulé. Je me garderais de vous dire si les choix de l’auteur sont judicieux, n’étant pas médiévaliste. Malgré mon incapacité, je salue cet essai au souffre qui sans si bon l’authenticité. On nous a rabattu les oreillers avec le mièvre art courtois bien sirupeux, en faisant semblant d’oublier les milliers de massacres, d’atrocité de la guerre de cent ans. Teulé avec ce Villon va-t-il trop loin, peut-être pas, mais midinettes et âmes sensibles s’abstenir.
J’ignore qui est l’auteur de cet article dans Wiki (http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Villon).
L’intrigue de Teulé suit la même trame historique, il comble avec son imagination d’écrivain (c’est un roman) à l’intérieur de ce canevas historique. Roman violant, qui se lit d’un trait, attention si vous commencez après 22h, nuit blanche garantit et cauchemar ensuite.
À lire absolument.
Invité- Invité
Re: Le café LITTERAIRE
Surcouf le 15 juin nous parlait déjà de ce livre,
qui doit être interessant d'après vos commentaires !
Merci de nous le signaler, bonne journée.
qui doit être interessant d'après vos commentaires !
Merci de nous le signaler, bonne journée.
Colline- Membre
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Re: Le café LITTERAIRE
Merci Colline, je trouve qu'on se complète bien avec Surcouf.......
Invité- Invité
Re: Le café LITTERAIRE
" Je meurs de soif auprès de la fontaine
Chaud comme le feu, je claque des dents
en mon pays, je suis en terre étrangère
près d'un brasier, je frisonne tout brûlant
nu comme ver, vêtu en président, je ris en pleurs et attends sans espoir
je me reconforte au fond du désespoir
je me réjouis sans trouver le moindre plaisir
je suis puissant et n'ai force ni pouvoir,
bien accueilli, rejeté par chacun."
Chaud comme le feu, je claque des dents
en mon pays, je suis en terre étrangère
près d'un brasier, je frisonne tout brûlant
nu comme ver, vêtu en président, je ris en pleurs et attends sans espoir
je me reconforte au fond du désespoir
je me réjouis sans trouver le moindre plaisir
je suis puissant et n'ai force ni pouvoir,
bien accueilli, rejeté par chacun."
Invité- Invité
Re: Le café LITTERAIRE
J'ai rien lu depuis longtemps mais j'ai le dernier Teulé en projet : Mangez moi si vous voulez.
Surcouf- Membre trop actif
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Re: Le café LITTERAIRE
Je viens de le lire, (ce matin), bien mais pas le top, surtout après le Villon. L'histoire vraie d'un brave type qui finit en brochette juste après la reddition de 1870
Dernière édition par Errance le Lun 27 Juil - 20:13, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Le café LITTERAIRE
Eté 1870 en Dordogne, pas de pluie, plus de récoltes, au loin la défaite s’annonce cruelle, Alain de Monéys descend de son château pour affaires courantes. La rumeur sur un malentendu raconte qu’il est hostile à l’Empereur, voire Prussien. La foule le prend à partie puis le moleste, le roue de coups, lui fixe des fers aux pieds, le traîne dans les rues du village, et finalement le brûle vif. De grand délire de pure folie collective les meurtriers sont convaincus d’accomplir un acte patriotique en débarrassant le village d’un Prussien. Le maire fait l’autruche et aurait dit "Mangez-le si vous voulez !" Alors on dresse un bûché et sur des tranches de pain on tartine le gras qui s’écoulait de l’homme. On dit, on dit bien des choses sur le crime de Hautefaye depuis presque 140 ans. Teulé raconte, minute par minute, sans poser aucune question. Pourquoi eux ? Pourquoi lui ? En épilogue il nous indique seulement qu'en 1970 les descendants de la victime comme des bourreaux ont organisé une messe...
Simple narration, il n’est pas question ici d’aborder la psychologie des foules. Pourquoi une telle chose est possible, pas de réponse dans ce roman, ce n’est pas le sujet, Teulé en habile écrivain, chasse sur les terres de nos instincts refoulés.
Simple narration, il n’est pas question ici d’aborder la psychologie des foules. Pourquoi une telle chose est possible, pas de réponse dans ce roman, ce n’est pas le sujet, Teulé en habile écrivain, chasse sur les terres de nos instincts refoulés.
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Re: Le café LITTERAIRE
Bien la composition, ne manque que toi Errance !
Piboule- Faites la taire !
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Re: Le café LITTERAIRE
Chouette le montage !
Surcouf- Membre trop actif
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Vies minuscules
Pierre Michon une écriture, vraie, simple et forte, précise et lucide, il y a du respect, de la réserve dans cet écrit. Ce bouquin n’est pas une nouveauté, publié en 84, ce premier livre est l’autobiographie d’un homme de l’errance, il se compose de petites histoires, qui racontent des tranches de vie de petites gens qu’il a connues. Les universitaires, les profs à ce que l’on m’a dit adorent cet auteur….Je reconnais bien volontiers que le style est beau, pas un mot de trop, c’est du ciselé, pas d’emphase ici, pas de romantisme, mais ce suspense esthétique m’a ennuyé. Comme il se doit l’auteur a eu une enfance douloureuse, père fuyant le domicile conjugal, d’où les années d’errance, d’où la personnalité atypique, moi je veux bien, mais franchement le nombrilisme de nos auteurs hexagonaux me semble bien ….minuscule.
+ autoportrait pour faire plaisir à Piboule....
+ autoportrait pour faire plaisir à Piboule....
Invité- Invité
Re: Le café LITTERAIRE
Je voudrais vous faire économiser 6€ (chez le livre de poche), vous connaissez peut-être Michel de Grèce, moi pas, un titre a attiré mon attention, « Le rajah Bourbon » il existerait une tradition au dire de laquelle le Connétable de Bourbon aurait laissé un fils clandestin qui aurait émigré aux Indes…..
Que croyez-vous, l’ami Michel en rat de bibliothèque sortant de dessous plusieurs siècles de poussière l’acte de naissance du gamin, que nenni, l’instinct du bonhomme ne s’arrête pas à un détail aussi mesquin, son intuition lui suffit. Il nous raconte ici pendant 250 pages, l’histoire tumultueuse du « vrai chef de la maison de France » y compris les turlutes dans le désert. Vous allez me dire qu’un romancier à tous les droits, oui à condition de dire « fiction ». Mais l’ami Michel dit « voici l’histoire fabuleuse et inédite de Jean de Bourbon, héritier du trône de France » ……sans disposer de l’ombre du début d’un soupçon de preuve. Il faut croire que dans cette famille le rêve est plus vrai que la réalité (il est le petit-fils de Georges 1er de Grèce et le fils de la soeur de la comtesse de Paris épouse de l'inénarrable Comte de Paris qui voulait succéder à De Gaulle sous prétexte que celui-ci lui aurait dit :" Faite-vous connaître").
J’oubliais, le grand Michel écrit aussi bien qu’un élève moyen en Terminale S.
Que croyez-vous, l’ami Michel en rat de bibliothèque sortant de dessous plusieurs siècles de poussière l’acte de naissance du gamin, que nenni, l’instinct du bonhomme ne s’arrête pas à un détail aussi mesquin, son intuition lui suffit. Il nous raconte ici pendant 250 pages, l’histoire tumultueuse du « vrai chef de la maison de France » y compris les turlutes dans le désert. Vous allez me dire qu’un romancier à tous les droits, oui à condition de dire « fiction ». Mais l’ami Michel dit « voici l’histoire fabuleuse et inédite de Jean de Bourbon, héritier du trône de France » ……sans disposer de l’ombre du début d’un soupçon de preuve. Il faut croire que dans cette famille le rêve est plus vrai que la réalité (il est le petit-fils de Georges 1er de Grèce et le fils de la soeur de la comtesse de Paris épouse de l'inénarrable Comte de Paris qui voulait succéder à De Gaulle sous prétexte que celui-ci lui aurait dit :" Faite-vous connaître").
J’oubliais, le grand Michel écrit aussi bien qu’un élève moyen en Terminale S.
Invité- Invité
Re: Le café LITTERAIRE
En vrac je vous livre quelques impressions de lectures de ce mois d’août :
« Pensionnaire d’état » de Fûruzan et « Abasaiyanik » de Sait Faik, deux petites nouvelles traduites du Turc, plus qu’intéressantes, la littérature de ce futur membre de l’Europe vaut bien qu’on s’y intéresse. Un autre bouquin d’un auteur Turc Orhan Veli, je ne résiste pas à vous en donner un bref extrait : « Tel est exactement mon boulot, chaque matin je peins le ciel, pendant que vous tous dormez. Au réveil, vous le trouvez bleu, parfois la mer se déchire, vous ignorez qui la recoud …..C’est moi. ». En lisant ce livre, on ne peut que penser aux Haïku japonais, un autre extrait : « Marchant dans la rue, je m’aperçois que je souris seul. Pensant qu’on va me prendre pour un fou…. Je souris ». En un mot, j’adore.
Pour revenir dans nos contrées, je ne vous présente pas Christian Signol. J’avais vraiment besoin de lire « Les vrais bonheurs » pour me réconcilier avec le monde ce mois-ci. « J’ai toujours pensé que la beauté du monde était destinée à nous faire oublier la brièveté tragique de nos vies » C.S.
Si vous avez besoin de quelques instants de plénitude lisez ce bouquin, pour 5,50€ en poche, il vous rappelle la beauté du monde. Svp, évitez de le lire en avion au-dessus de l’Atlantique. SVP Merci.
C’est tout pour aujourd’hui.
« Pensionnaire d’état » de Fûruzan et « Abasaiyanik » de Sait Faik, deux petites nouvelles traduites du Turc, plus qu’intéressantes, la littérature de ce futur membre de l’Europe vaut bien qu’on s’y intéresse. Un autre bouquin d’un auteur Turc Orhan Veli, je ne résiste pas à vous en donner un bref extrait : « Tel est exactement mon boulot, chaque matin je peins le ciel, pendant que vous tous dormez. Au réveil, vous le trouvez bleu, parfois la mer se déchire, vous ignorez qui la recoud …..C’est moi. ». En lisant ce livre, on ne peut que penser aux Haïku japonais, un autre extrait : « Marchant dans la rue, je m’aperçois que je souris seul. Pensant qu’on va me prendre pour un fou…. Je souris ». En un mot, j’adore.
Pour revenir dans nos contrées, je ne vous présente pas Christian Signol. J’avais vraiment besoin de lire « Les vrais bonheurs » pour me réconcilier avec le monde ce mois-ci. « J’ai toujours pensé que la beauté du monde était destinée à nous faire oublier la brièveté tragique de nos vies » C.S.
Si vous avez besoin de quelques instants de plénitude lisez ce bouquin, pour 5,50€ en poche, il vous rappelle la beauté du monde. Svp, évitez de le lire en avion au-dessus de l’Atlantique. SVP Merci.
C’est tout pour aujourd’hui.
Invité- Invité
Re: Le café LITTERAIRE
Errance a écrit:Pierre Michon une écriture, vraie, simple et forte, précise et lucide, il y a du respect, de la réserve dans cet écrit. Ce bouquin n’est pas une nouveauté, publié en 84, ce premier livre est l’autobiographie d’un homme de l’errance, il se compose de petites histoires, qui racontent des tranches de vie de petites gens qu’il a connues. Les universitaires, les profs à ce que l’on m’a dit adorent cet auteur….Je reconnais bien volontiers que le style est beau, pas un mot de trop, c’est du ciselé, pas d’emphase ici, pas de romantisme, mais ce suspense esthétique m’a ennuyé. Comme il se doit l’auteur a eu une enfance douloureuse, père fuyant le domicile conjugal, d’où les années d’errance, d’où la personnalité atypique, moi je veux bien, mais franchement le nombrilisme de nos auteurs hexagonaux me semble bien ….minuscule.
+ autoportrait pour faire plaisir à Piboule....
Au fait perdu ! Je sais exactement à quoi tu ressembles
Piboule- Faites la taire !
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Re: Le café LITTERAIRE
Je n'ai pas eu le goût littéraire aventureux, cet été...et révise Chabrol...Les "Contes à mi-voix" retrouvés dans un coin de la bibliothèque sont un enchantement oublié que je déguste, comme "La Soupe de la Mamée"...
Colline- Membre
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Re: Le café LITTERAIRE
Un peu passéiste parfois, mais un bon conteur et une belle plume, c’est lui qui m’a initié à l’épopée des Camisards. Il avait un grand amour du peuple qu’il a si bien décrit, mais existe-t-il encore ce peuple-là ?
Je ne sais, si tu as lu « Les fous de Dieu » un grand bouquin.
Son dernier livre (je crois) « La banquise » raconte l’ambiguïté des années de guerre avec beaucoup d’intelligence il me semble, un livre peu connu, hélas.
Je ne sais, si tu as lu « Les fous de Dieu » un grand bouquin.
Son dernier livre (je crois) « La banquise » raconte l’ambiguïté des années de guerre avec beaucoup d’intelligence il me semble, un livre peu connu, hélas.
Invité- Invité
Re: Le café LITTERAIRE
Hier, à Lussan, il y avait une rencontre d'auteurs régionaux, dont l'adorable Monsieur P-A Clément, avec son dernier ouvrage :
(L'avez-vous lu ?)
Je n'ai pas résisté, et m'apprête à savourer ce récit
"qui se déroule entre Petit-Paris et Loubaresse" m'a dit Mr Clément.
En voici la présentation :
"La profession de muletier est encore très mal connue alors que ont joué un rôle essentiel jusqu’au milieu du XIXe siècle. Ce roman, richement documenté, nous fait découvrir un univers haut en couleurs où mules et mulets jouent un rôle emblématique. Voilà la chance de revivre les tribulations tantôt divertissantes, tantôt dramatiques du dévoreur d’espace Loÿs Bastide et de son illustre mule Chaline (1544-1598)".
Les amoureux du train savent-ils que "Le transport à dos de mulet a représenté 95 % de la circulation des marchandises jusqu’en 1850, puis a donné naissance à un immense réseau de voies spécifiques : les chemins ferrés" ?
(L'avez-vous lu ?)
Je n'ai pas résisté, et m'apprête à savourer ce récit
"qui se déroule entre Petit-Paris et Loubaresse" m'a dit Mr Clément.
En voici la présentation :
"La profession de muletier est encore très mal connue alors que ont joué un rôle essentiel jusqu’au milieu du XIXe siècle. Ce roman, richement documenté, nous fait découvrir un univers haut en couleurs où mules et mulets jouent un rôle emblématique. Voilà la chance de revivre les tribulations tantôt divertissantes, tantôt dramatiques du dévoreur d’espace Loÿs Bastide et de son illustre mule Chaline (1544-1598)".
Les amoureux du train savent-ils que "Le transport à dos de mulet a représenté 95 % de la circulation des marchandises jusqu’en 1850, puis a donné naissance à un immense réseau de voies spécifiques : les chemins ferrés" ?
Colline- Membre
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Re: Le café LITTERAIRE
Aujourd'hui en librairie :
La petite fille Bois-Caïman
Les passagers du vent tome 6, 1ere partie
de François Bourgeon
25 ans après la parution du tome 5, Bourgeon publie un nouvel album d'une des plus grandes séries de la Bd, Les passagers du vent. Exotisme, vieux gréements, aventure sont toujours au rendez-vous sous la plume et le pinceau magistraux d'un dessinateur et narrateur majeur.
La petite fille Bois-Caïman
Les passagers du vent tome 6, 1ere partie
de François Bourgeon
25 ans après la parution du tome 5, Bourgeon publie un nouvel album d'une des plus grandes séries de la Bd, Les passagers du vent. Exotisme, vieux gréements, aventure sont toujours au rendez-vous sous la plume et le pinceau magistraux d'un dessinateur et narrateur majeur.
Surcouf- Membre trop actif
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Re: Le café LITTERAIRE
Sortie prévue en octobre 2009, souscription jusqu'au 30 septembre 2009 :
"Le plateau de la cham surplombant Marvejols est une véritable invitation à la balade. Paysage remarquable façonné de murs en pierres sèches, « chazelles », chemins, ponctué d’arbres torturés pour réserver au final des espaces aux champs et pâtures.
Chaque pierre arrachée à la terre peut témoigner du travail et de l’omni-présence de l’homme. L’activité passée fait écho à l’activité actuelle. Les patrimoines humain, agricole et architectural survivent à l’abri du temps. Cet espace préservé est aujourd’hui un lieu d’activité, de passage, de rêverie. Autant d’aspects que Barbara Contou-Carrère (ethnologue) et Laurent Pouget (photographe) font découvrir à travers les hommes qui travaillent, qui fréquentent ou tout simplement qui aiment, ce lieu, avec leur vécu, leur(s) histoire(s), leurs anecdotes, leurs mots."
MEMOIRE DES PIERRES
regards sur un plateau de lozère
Barbara Contou Carrère & laurent pouget
Editeur: Ethnovision
Fontbrunette
48100 Montrodat
17€ + port
96 pages - 90 photos.
................c'est tout ce que je sais........
"Le plateau de la cham surplombant Marvejols est une véritable invitation à la balade. Paysage remarquable façonné de murs en pierres sèches, « chazelles », chemins, ponctué d’arbres torturés pour réserver au final des espaces aux champs et pâtures.
Chaque pierre arrachée à la terre peut témoigner du travail et de l’omni-présence de l’homme. L’activité passée fait écho à l’activité actuelle. Les patrimoines humain, agricole et architectural survivent à l’abri du temps. Cet espace préservé est aujourd’hui un lieu d’activité, de passage, de rêverie. Autant d’aspects que Barbara Contou-Carrère (ethnologue) et Laurent Pouget (photographe) font découvrir à travers les hommes qui travaillent, qui fréquentent ou tout simplement qui aiment, ce lieu, avec leur vécu, leur(s) histoire(s), leurs anecdotes, leurs mots."
MEMOIRE DES PIERRES
regards sur un plateau de lozère
Barbara Contou Carrère & laurent pouget
Editeur: Ethnovision
Fontbrunette
48100 Montrodat
17€ + port
96 pages - 90 photos.
................c'est tout ce que je sais........
Invité- Invité
Re: Le café LITTERAIRE
L’évangile de Jimmy
Didier Van Cauvelaert
Editions du Livre de poche
Jimmy entretient et répare les piscines de riches propriétaires. Il mène une existence tranquille et seuls ses amours sont un peu compliqués. La tranquillité se termine le jour ou il apprend qu’il est le résultat d’une expérience scientifique. Il est le clone du Christ, obtenu à partir de cellules recueillies sur le saint-suaire de Turin. Le clonage a été fait par un labo étasunien à l’époque de l’administration Bush. La religiosité de dernier s’est opposée à la divulgation du secret. Il en va différemment lorsqu’un démocrate arrive à la maison blanche. Jimmy devient l’enjeu des intérêts du gouvernement, des services secrets, du Vatican. Les politiciens s’affrontent avec les scientifiques, les prêtres. Les implications internationales sont majeures, notamment au Proche-Orient et en Israël où la divinité possible de Jimmy remet en cause quelques fondements religieux. Surtout quand Jimmy se met à faire des miracles. Comment doit-il assumer ces nouveaux pouvoirs et que doit-il en faire ?
Ce roman religieux, historique, d’espionnage et d’anticipation est très plaisant à lire. Très documenté d’un point de vue scientifique et historique, les hypothèses avancées font frémir, même si l’ensemble est mené sur un ton très humoristique et détaché. Après quelques ouvrages plus "légers", Van Cauvelaert renoue ici avec un sujet sérieux très richement traité.
Didier Van Cauvelaert
Editions du Livre de poche
Jimmy entretient et répare les piscines de riches propriétaires. Il mène une existence tranquille et seuls ses amours sont un peu compliqués. La tranquillité se termine le jour ou il apprend qu’il est le résultat d’une expérience scientifique. Il est le clone du Christ, obtenu à partir de cellules recueillies sur le saint-suaire de Turin. Le clonage a été fait par un labo étasunien à l’époque de l’administration Bush. La religiosité de dernier s’est opposée à la divulgation du secret. Il en va différemment lorsqu’un démocrate arrive à la maison blanche. Jimmy devient l’enjeu des intérêts du gouvernement, des services secrets, du Vatican. Les politiciens s’affrontent avec les scientifiques, les prêtres. Les implications internationales sont majeures, notamment au Proche-Orient et en Israël où la divinité possible de Jimmy remet en cause quelques fondements religieux. Surtout quand Jimmy se met à faire des miracles. Comment doit-il assumer ces nouveaux pouvoirs et que doit-il en faire ?
Ce roman religieux, historique, d’espionnage et d’anticipation est très plaisant à lire. Très documenté d’un point de vue scientifique et historique, les hypothèses avancées font frémir, même si l’ensemble est mené sur un ton très humoristique et détaché. Après quelques ouvrages plus "légers", Van Cauvelaert renoue ici avec un sujet sérieux très richement traité.
Surcouf- Membre trop actif
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Re: Le café LITTERAIRE
De Dominique Delafontaine, bouquiniste à Vialas :
Bonjour à tous
Voilà, la saison touche à sa fin, la bouquinerie fermera ces portes pour cet été fin septembre, pour rouvrir au printemps.
En attendant vous pouvez continuer à acheter des livres sur ma boutique (en constante évolution) en cliquant sur ce lien
http://www.priceminister.com/boutique/dom0864
N'hésitez pas à en parler autour de vous, voir à faire suivre ce mail
En vous remerciant par avance
Dominique
Re: Le café LITTERAIRE
Puisqu'on fait de la pub aux libraires, n'oublions pas "Lou Cévenol"
http://www.loucevenol.com/catalog/
http://www.loucevenol.com/catalog/
Invité- Invité
Re: Le café LITTERAIRE
Le Salon du livre de Paris est un rendez-vous important… ouais …mais apparemment le tiroir-caisse ne fonctionne pas suffisamment, la version 2010 devrait changer les choses … Le site « ActuaLitté » consacre un article instructif à ce qui attend les petits éditeurs. Le prix des stands devrait considérablement grimper voir doubler par rapport à 2009 ».
http://www.actualitte.com/actualite/13297-Salon-livre-Paris-2010-prix.htm
http://www.actualitte.com/actualite/13297-Salon-livre-Paris-2010-prix.htm
Invité- Invité
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