Notre Tchou Tchou
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Midi Libre Pétition pour la ligne BN
Vu sur quotidien régional Midi Libre en Page de Millau!
Et non non ce n'est pas une pétition pour le trés haut débit, mais pour le maintien et la rénovation de la ligne BN !
Ca se passait sur le marché !
http://www.midilibre.com/articles/2009/08/08/MILLAU-Les-elus-petitionnent-sur-le-marche-874788.php5
Et non non ce n'est pas une pétition pour le trés haut débit, mais pour le maintien et la rénovation de la ligne BN !
Ca se passait sur le marché !
http://www.midilibre.com/articles/2009/08/08/MILLAU-Les-elus-petitionnent-sur-le-marche-874788.php5
Invité- Invité
Re: Notre Tchou Tchou
gabatch a écrit:
Et non non ce n'est pas une pétition pour le trés haut débit, mais pour le maintien et la rénovation de la ligne BN !
Ben non puisque le conseil général de l'aveyron a fait depuis longtemps ce qu'il faller pour avoir le trés haut débit dans son département
En tout cas pas de haut débit en Lozére et pas de pétitions non plus pour sauver son tchou-tchou ...
Un député en Lozére suffira largement pour avoir des résultats comme ça, puisque ce sont les élus des départements
voisins qui font le boulot à leur place
Re: Notre Tchou Tchou
cilaos a écrit:
Ben non puisque le conseil général de l'aveyron a fait depuis longtemps ce qu'il faller pour avoir le trés haut débit dans son département
En tout cas pas de haut débit en Lozére et pas de pétitions non plus pour sauver son tchou-tchou ...
Un député en Lozére suffira largement pour avoir des résultats comme ça, puisque ce sont les élus des départements
voisins qui font le boulot à leur place
J'ai fait hallusion au trés haut débit à cause de la manif, et de la pétition qui se sont mis en place à Millau !
Hélas je sais depuis longue date que les Lozériens se mobilisent pas beaucoup pour la défense de leurs lignes de chemin de fer, triste constatation !
Heureusement que les autres départements (de l'Hérault, de l'Aveyron, et du Cantal) traversés par la ligne des Causses sont plus combattifs que nous !
Les Lozériens ont l'A75, et bientôt l'autre 2x2 voies Lyon Toulouse ils sont sauvés ! le train on s'en fout !
Invité- Invité
Re: Notre Tchou Tchou
MIDI LIBRE
Édition du jeudi 20 août 2009
Béziers / NeussarguesVoyage sur la ligne de l’extrême
C’est une ligne qui défie les lois de la rentabilité économique : condamné il y a quinze ans, toujours menacé, le train Béziers - Neussargues poursuit sa route au cœur de l’arrière pays. Voyage anachronique entre Hérault et Cantal, des régions minières abandonnées aux reliefs escarpés du Massif Central, des piliers du viaduc de Millau, à celui de Garabit, point de vue unique sur les Gorges de la Truyère. Des touristes japonais y croisent le vieil habitué. Des pèlerins de Saint-Jacques, la baroudeuse de Bruxelles. Tout le charme d’un improbable voyage.
Départ 9 h 10, arrivée 14 h 02. Un aller, un seul. A 75 km/h de moyenne, jusqu’à 110 km/h au début du trajet, pas plus de 55 à l’heure en bout de route, emmené par la BB 8 600, une locomotive d’un autre âge devenue un
objet de collection. Pour la SNCF, le Béziers - Neussargues est une « ligne affluente ». A Paris, on oublie même de la proposer aux voyageurs. Elle est menacée de fermeture depuis 1995, faute de rentabilité économique. « Plus du tout rentable mais attachante », nuance Gilles Jeanjean, installé aux commandes de la machine, ce vendredi tranquille d’août.
« La ligne est belle », renchérit Serge Boisset, contrôleur croisé dans les travées au milieu de voyageurs discrets éparpillés dans les wagons. Pas d’effervescence, pas de cris d’enfants : « Il y a quelques touristes, et beaucoup de cheminots retraités », glisse Serge Boisset, qui croise régulièrement des Suisses « passionnés par la mécanique », des Canadiens, des Allemands… « C’est un microcosme, un mini monde », observe l’agent, basé à Aurillac, « la petite Sibérie » : « J’arrive de Paris où je travaillais sur les lignes TGV… Je suis passé de 500 voyageurs à 25… » Un peu plus aujourd’hui, très exactement 49 passagers enregistrés. « C’est exceptionnel qu’il y ait autant de monde », constate-t-il, occupé à compter. Et « quand on compte, ce n’est pas bon signe ». Il explique : « On a perdu 60 % de la clientèle avec la mise en place de bus. »
Les gares défilent : Bédarieux, le Bousquet d’Orb… D’anciennes stations transformées en logements coquets, la piscine avec vue sur la voie succèdent à des bâtiments tagués aux peintures fanées, aux vitres brisées. Y’a de l’ambiance au boulodrome de Tournemire Roquefort. Dans les gros bourgs, se dresse les inévitables Moderne et Terminus, hôtels de gare. Le paysage devient très vert, très beau quand le Béziers - Neussargues passe au pied du viaduc de Millau, puis attaque le plateau, au milieu des troupeaux. Les pastels gris des ardoises remplacent les tuiles sur les toits. Avec de la chance, on croisera des biches ou des chevreuils.
A voir : le village troglodyte de Peyre, le viaduc de Garabit, géant de fer qui servira de laboratoire à Eiffel pour construire sa fameuse tour… Quinze arrêts jusqu’à Neussargues, au terme du voyage. Après Marvejols, ça grimpe et c’est étroit. Il y a quelques années, le train a déraillé, après Saint-Chély, il n’y a pas eu de blessés. Cet hiver, la ligne a été coupée, faute d’entretien : sous le poids de la neige, des arbres se sont abattus sur les rails, « l’hécatombe », commente Gilles Jeanjean, qui déplore les désengagements successifs et le manque de transparence : « Où en est-on ? On ne sait pas. On ne nous dit rien, on apprend les choses accidentellement… Pour qu’il se passe quelque chose, il faut menacer de faire grève. Le problème, c’est que l’État ne veut plus investir, et les Régions concernées non plus. »
Pour les voyageurs de l’extrême, mieux vaut prévoir sandwich et bouteille d’eau, la voiture-bar ne figure pas dans le service minimum. « Dans les années 80, il y avait une animation touristique, on proposait du fromage et des produits locaux », se souviennent les anciens. Depuis, le buffet et l’hôtel de la gare de Neussargues ont fermé. A 14 h 37, la BB 8 600 entame le retour, hors du temps. Cinq heures interminables.
Je vous avoue qu'en lisant cet article du journal ML d'aujourdhui, cela me fait mal !
Mais que va devenir notre ligne, si rien n'est fait en 2010, on va tout simplement assister à la fermeture !
Édition du jeudi 20 août 2009
Béziers / NeussarguesVoyage sur la ligne de l’extrême
C’est une ligne qui défie les lois de la rentabilité économique : condamné il y a quinze ans, toujours menacé, le train Béziers - Neussargues poursuit sa route au cœur de l’arrière pays. Voyage anachronique entre Hérault et Cantal, des régions minières abandonnées aux reliefs escarpés du Massif Central, des piliers du viaduc de Millau, à celui de Garabit, point de vue unique sur les Gorges de la Truyère. Des touristes japonais y croisent le vieil habitué. Des pèlerins de Saint-Jacques, la baroudeuse de Bruxelles. Tout le charme d’un improbable voyage.
Départ 9 h 10, arrivée 14 h 02. Un aller, un seul. A 75 km/h de moyenne, jusqu’à 110 km/h au début du trajet, pas plus de 55 à l’heure en bout de route, emmené par la BB 8 600, une locomotive d’un autre âge devenue un
objet de collection. Pour la SNCF, le Béziers - Neussargues est une « ligne affluente ». A Paris, on oublie même de la proposer aux voyageurs. Elle est menacée de fermeture depuis 1995, faute de rentabilité économique. « Plus du tout rentable mais attachante », nuance Gilles Jeanjean, installé aux commandes de la machine, ce vendredi tranquille d’août.
« La ligne est belle », renchérit Serge Boisset, contrôleur croisé dans les travées au milieu de voyageurs discrets éparpillés dans les wagons. Pas d’effervescence, pas de cris d’enfants : « Il y a quelques touristes, et beaucoup de cheminots retraités », glisse Serge Boisset, qui croise régulièrement des Suisses « passionnés par la mécanique », des Canadiens, des Allemands… « C’est un microcosme, un mini monde », observe l’agent, basé à Aurillac, « la petite Sibérie » : « J’arrive de Paris où je travaillais sur les lignes TGV… Je suis passé de 500 voyageurs à 25… » Un peu plus aujourd’hui, très exactement 49 passagers enregistrés. « C’est exceptionnel qu’il y ait autant de monde », constate-t-il, occupé à compter. Et « quand on compte, ce n’est pas bon signe ». Il explique : « On a perdu 60 % de la clientèle avec la mise en place de bus. »
Les gares défilent : Bédarieux, le Bousquet d’Orb… D’anciennes stations transformées en logements coquets, la piscine avec vue sur la voie succèdent à des bâtiments tagués aux peintures fanées, aux vitres brisées. Y’a de l’ambiance au boulodrome de Tournemire Roquefort. Dans les gros bourgs, se dresse les inévitables Moderne et Terminus, hôtels de gare. Le paysage devient très vert, très beau quand le Béziers - Neussargues passe au pied du viaduc de Millau, puis attaque le plateau, au milieu des troupeaux. Les pastels gris des ardoises remplacent les tuiles sur les toits. Avec de la chance, on croisera des biches ou des chevreuils.
A voir : le village troglodyte de Peyre, le viaduc de Garabit, géant de fer qui servira de laboratoire à Eiffel pour construire sa fameuse tour… Quinze arrêts jusqu’à Neussargues, au terme du voyage. Après Marvejols, ça grimpe et c’est étroit. Il y a quelques années, le train a déraillé, après Saint-Chély, il n’y a pas eu de blessés. Cet hiver, la ligne a été coupée, faute d’entretien : sous le poids de la neige, des arbres se sont abattus sur les rails, « l’hécatombe », commente Gilles Jeanjean, qui déplore les désengagements successifs et le manque de transparence : « Où en est-on ? On ne sait pas. On ne nous dit rien, on apprend les choses accidentellement… Pour qu’il se passe quelque chose, il faut menacer de faire grève. Le problème, c’est que l’État ne veut plus investir, et les Régions concernées non plus. »
Pour les voyageurs de l’extrême, mieux vaut prévoir sandwich et bouteille d’eau, la voiture-bar ne figure pas dans le service minimum. « Dans les années 80, il y avait une animation touristique, on proposait du fromage et des produits locaux », se souviennent les anciens. Depuis, le buffet et l’hôtel de la gare de Neussargues ont fermé. A 14 h 37, la BB 8 600 entame le retour, hors du temps. Cinq heures interminables.
Je vous avoue qu'en lisant cet article du journal ML d'aujourdhui, cela me fait mal !
Mais que va devenir notre ligne, si rien n'est fait en 2010, on va tout simplement assister à la fermeture !
Invité- Invité
Re: Notre Tchou Tchou
http://www.lemonde.fr/planete/article/2009/08/22/l-auvergne-se-bat-pour-sauver-un-trait-d-union-avec-marseille-et-beziers_1230918_3244.html
Sans oublier les commentaires, bien enflammés !
http://www.lemonde.fr/planete/reactions/2009/08/22/l-auvergne-se-bat-pour-sauver-un-trait-d-union-avec-marseille-et-beziers_1230918_3244.html#opened
Sans oublier les commentaires, bien enflammés !
http://www.lemonde.fr/planete/reactions/2009/08/22/l-auvergne-se-bat-pour-sauver-un-trait-d-union-avec-marseille-et-beziers_1230918_3244.html#opened
Invité- Invité
Re: Notre Tchou Tchou
Quand nos décideurs auront enfin compris qu'il faut arrêter , avec le béton, le goudron, que notre planète est en danger de mort, pour nous, pour nos enfants, pour les générations futures.
Déveloper les transports en commun, plutôt que les supprimer !
Autoroutes, non merci, ça suffit !!!!
Déveloper les transports en commun, plutôt que les supprimer !
Autoroutes, non merci, ça suffit !!!!
Dernière édition par gabatch le Mer 2 Sep - 8:16, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Notre Tchou Tchou
C'était la belle époque ou ces grands express de prestige, tel le Cévenol qui était assuré en automoteur !
Au service d'été il était prolongé jusqu' à Vichy, il faisit Vichy Marseille, via la Bastide, il était doublé par un autre train express automoteur !
C'était un temps ou les grands express portaient non des numéros mais des lettres !
Le Cévenol - Le LM / ML
Le Vichy Marseille - Le VL / LV (Vichy Littoral)
Et sur notre tranversale Lozèrienne (au service d'été j'ai connu et emprunté) le LT - le TL .
Automoteur Express Lyon - Toulouse - et Toulouse - Lyon, via Séverac, Le Monastier et Mende
Au service d'été il était prolongé jusqu' à Vichy, il faisit Vichy Marseille, via la Bastide, il était doublé par un autre train express automoteur !
C'était un temps ou les grands express portaient non des numéros mais des lettres !
Le Cévenol - Le LM / ML
Le Vichy Marseille - Le VL / LV (Vichy Littoral)
Et sur notre tranversale Lozèrienne (au service d'été j'ai connu et emprunté) le LT - le TL .
Automoteur Express Lyon - Toulouse - et Toulouse - Lyon, via Séverac, Le Monastier et Mende
Invité- Invité
Midi Libre ce jour :
Les internes de Saint-Chély restent à quai
Le train n'a pas sifflé trois fois en gare de Saint-Chély-d'Apcher, dans la nuit de dimanche à lundi. Et pour cause, le convoi qui devait emmener les quelque 200 jeunes internes vers l'établissement scolaire du Sacré-Coeur est arrivé avec un retard de près de trois heures en gare barrabande, soit aux alentours de 2 heures du matin.
Une situation intolérable pour les parents d'élèves. « Mon fils est dans cet établissement depuis près de trois ans et ce n'est pas la première fois que ce genre d'incident arrive, explique Maryline Rey. Là, le train est resté bloqué plus de 2 h 30 à Malagas, suite à un problème technique. Pourtant, la SNCF nous avait promis qu'elle allait faire des efforts pour la rentrée. » Il est vrai que l'incident tombe plutôt mal puisque c'était
le premier trajet de l'année pour ces élèves venus de Béziers. Pour Vincent Mouton, le directeur de l'établissement barraban, la situation était plutôt « embêtante car il y a eu beaucoup de stress chez les parents mais aussi chez les jeunes. Mais je ne souhaite pas raviver la polémique. J'ai fait des propositions au conseil général, qui n'a pas voulu y souscrire. » Du coup, les élèves ont vécu en décalé une partie de la journée. « On a déjà fait l'effort de reporter d'une heure en portant à 9 heures, la reprise des cours du lundi matin pour permettre aux internes de dormir un peu plus. Mais ce matin (hier, NDLR) , ils n'ont repris les cours qu'à dix heures. Avec l'énervement, le stress, ils ne se sont pas couchés avant trois heures du matin » , poursuit le directeur.
D'après les informations données par la SNCF au responsable du Sacré-Coeur, c'est une des rames, pourtant récente, qui aurait disjoncté. Le protocole d'usage contraint alors l'ensemble du convoi à repartir sur Béziers. « Ils ont essayé d'affréter des bus, mais à cette heure-ci, ils n'ont rien trouvé, poursuit Vincent Mouton. Ceux de Mende ont pu prendre un car, mais pour Marvejols et Saint-Chély, ce n'était pas possible. Cela fait 20 ans que je suis chef d'établissement, et j'ai l'impression que ça n'avance pas sur ce dossier. Mais je ne crois pas qu'il faille incriminer la SNCF. Ce n'est pas elle qui a la solution. Selon moi, il faudrait mettre en place des bus, par l'autoroute. » Du côté des parents, l'agacement est de mise, « beaucoup ont choisi la solution du covoiturage, explique Maryline Rey, ils sont défaitistes. Mon fils et ses copains en ont vraiment marre. Et nous aussi, on n'avait aucune info, on ne savait pas où ils étaient. Il faut attendre un drame ? On en a vraiment ras-le-bol ! » Une rentrée 2009 que les internes du Sacré-Coeur ne sont donc pas prêts d'oublier.
Luc CRESPON-LHÉRISSON
Plusieurs incidents ces dernières années
La ligne entre Béziers et Neussargues est décidément loin d'être un long fleuve tranquille. En effet, depuis plusieurs années, de nombreux incidents ont émaillé les trajets. Les deux derniers problèmes notables ont eu lieu en 2007. Entre mars et juillet, la ligne a été entièrement fermée pour permettre de régénérer quelque 20 km de voie ferrée. Des travaux qui ont conduit à une coupure de la circulation, pénalisant notamment l'usine ArcelorMittal de Saint-Chély, dont la quasi totalité des fournitures.
Après presque cinq mois de fermeture, la ligne rouvrait enfin à la circulation. Mais quelque temps plus tard, un nouvel incident était à déplorer. Un incident qui aurait pu être dramatique, puisque c'est la locomotrice qui a pris feu en plein milieu du trajet. Les 300 élèves
présents avaient dû descendre du train avant d'être acheminés à bon port aux alentours de 5 heures du matin.
Enfin, dernier rebondissement dans la vie de la ligne, les résultats d'une étude commandée par le préfet de la région Auvergne, Patrick Stefanini, qui ont été remis cet été à la Région Languedoc-Roussillon. L'étude "Transports, communications, déplacements pour le Massif central" conclut à la nécessité de fermer la ligne de Saint-Chély à Bédarieux – passant par Marvejols, Banassac et Séverac-le-Château – ainsi que du Monastier à Mende.
Il y a donc fort à parier que la ligne Béziers-Neussargues n'a pas fini de faire parler d'elle. Mais tous ses usagers espèrent bien qu'une solution sera enfin trouvée pour qu'elle retrouve un fonctionnement normal.
Re: Notre Tchou Tchou
Mauvaises Nouvelles pour la ligne des Causses
Le viaduc de Garabit est interdit aux circulations ferrovaires depuis le wek end dernier, une équipe technique a décelé une fissure (de 55 cm) sur un des piliers du viaduc !
Le train l'Aubrac venant de Béziers a pour terminus la gare de Marvejols, de la les voyageurs sont acheminés par cars jusqu'à Neussargues, de cette gare ils rattrapent la correspondance vers Clermont et Paris !
Dans l'autre sens c'est le même topo !
Deux mois d'interruptions des circulations ferroviaires, pour réparer le viaduc ( cela me parait bien long) !
Comme une mauvaise nouvelle ne vient jamais seule , je viens d'apprendre que la SNCF envisage de supprimer le train national l'Aubrac au 1er Decembre 2009, cette fissure sur le viaduc tomberait pil poil pour RFF !
Donc si c'est confirmé, le célèbre viaduc ne reverrait plus passer de trains !
On est bien mal barrés, pauvre Lozère !
Mais comme les Lozèriens s'en foutent de leur lignes de chemin de fer
Alors je dis bravo, vive les cars et les autoroutes
Je rajoute quand même que deux manifs sont dors et déja prévues une à Marvejols et l'autre à Neussargues !
A suivre !
D'aprés une autre info tombée hier soir, ce serait les AGC (TER) de la région LR qui monteraient de Béziers à Neussargues, avec une correpondance TER pour Clermont et Paris (par Téoz) cela ferait un gain de 20 minutes par raport au train actuel l'Aubrac !
Dans le même créneau horaire que le 15940 / 15941 - l'Aubrac !
Vaudrait mieux ça que la suppréssion du train !
Mais tout cela reste à confirmer, la priorité actuelle étant la réparation du Garabit !
Pour d'abord assurer convenablement la désserte de l'usine de St Chély
Le viaduc de Garabit est interdit aux circulations ferrovaires depuis le wek end dernier, une équipe technique a décelé une fissure (de 55 cm) sur un des piliers du viaduc !
Le train l'Aubrac venant de Béziers a pour terminus la gare de Marvejols, de la les voyageurs sont acheminés par cars jusqu'à Neussargues, de cette gare ils rattrapent la correspondance vers Clermont et Paris !
Dans l'autre sens c'est le même topo !
Deux mois d'interruptions des circulations ferroviaires, pour réparer le viaduc ( cela me parait bien long) !
Comme une mauvaise nouvelle ne vient jamais seule , je viens d'apprendre que la SNCF envisage de supprimer le train national l'Aubrac au 1er Decembre 2009, cette fissure sur le viaduc tomberait pil poil pour RFF !
Donc si c'est confirmé, le célèbre viaduc ne reverrait plus passer de trains !
On est bien mal barrés, pauvre Lozère !
Mais comme les Lozèriens s'en foutent de leur lignes de chemin de fer
Alors je dis bravo, vive les cars et les autoroutes
Je rajoute quand même que deux manifs sont dors et déja prévues une à Marvejols et l'autre à Neussargues !
A suivre !
D'aprés une autre info tombée hier soir, ce serait les AGC (TER) de la région LR qui monteraient de Béziers à Neussargues, avec une correpondance TER pour Clermont et Paris (par Téoz) cela ferait un gain de 20 minutes par raport au train actuel l'Aubrac !
Dans le même créneau horaire que le 15940 / 15941 - l'Aubrac !
Vaudrait mieux ça que la suppréssion du train !
Mais tout cela reste à confirmer, la priorité actuelle étant la réparation du Garabit !
Pour d'abord assurer convenablement la désserte de l'usine de St Chély
Dernière édition par gabatch le Ven 18 Sep - 12:43, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: Notre Tchou Tchou
Je vous donne quand même les dates des deux manifs !
- le Jeudi 24 Sept 10h30 - en gare de Neussargues.
- le Samedi 10 Oct - en gare de Marvejols.
- le Jeudi 24 Sept 10h30 - en gare de Neussargues.
- le Samedi 10 Oct - en gare de Marvejols.
Invité- Invité
La ligne des Cévennes
Vu sur le journal " La Montagne "
(Edition Haute Loire)
Aucun train ne circule, du lundi au vendredi, entre Langeac et Langogne, jusqu'au 31 octobre. Le temps, pour les tunnels de Saint-Étienne et de Roquefort, de part et d'autre d'Alleyras, de faire l'objet d'importants travaux de rénovation.
Christian Lefèvre
Jusqu'au 31 octobre, les vaches devront se trouver une autre occupation que de regarder passer les trains entre les gares de Langeac et de Langogne? En effet, la circulation du « Cévenol » est totalement interrompue, du lundi au vendredi, sur cette partie de la ligne Clermont-Ferrand-Nîmes, pour cause de travaux de rénovation dans les tunnels de Saint-Étienne et de Roquefort, de part et d'autre d'Alleyras.
Menée par les équipes de la société « Colas Rail », sous l'égide de Réseau Ferré de France (RFF) et en relation étroite avec la SNCF, cette opération lourde, qui a débuté avant-hier, doit permettre de consolider les voûtes de ces deux ouvrages d'art, bâtis en 1870 et long de 200 et 400 mètres.
« À l'époque, ces deux tunnels ont été creusés directement dans la roche, explique Michel Gerber, responsable des opérations de remplacement des ouvrages d'art à RFF Rhône-Alpes-Auvergne. Au fil du temps, les voûtes se sont dégradées, jusqu'à ces dernières années, où des chutes de pierres dans l'un des deux tunnels ont entraîné une réduction de la vitesse des trains à 30 km\h sur cette portion et nécessité la programmation d'importants travaux de remise en état ».
Dans un premier temps, les voûtes vont donc être « purgées », avant que les ouvriers n'installent des ancrages en acier dans la roche, dernière étape avant la réfection proprement dite des parties abîmées des voûtes, via des projections de béton.
D'un coût de 1,4 million d'euros, ce chantier signifie-t-il que les menaces de suppression ayant pesé sur la ligne Clermont-Ferrand-Nîmes sont définitivement écartées ? C'est en tout cas ce que veut penser le Conseil régional d'Auvergne, qui s'est « réjoui », hier, dans un communiqué, du début des travaux. « Très attachée au maintien d'une liaison ferroviaire performante depuis Clermont vers Langogne, Alès et Nîmes », la Région rappelle qu'elle a adopté un « Plan Rail » en décembre 2008, qui prévoit notamment 57 millions d'euros d'investissement, d'ici 2013, sur les trois lignes de Haute-Loire, dont 20,7 millions du Conseil régional, qui est donc « le premier financeur ». « Aujourd'hui, les perspectives d'avenir sont sauvegardées pour toutes les circulations de trains sur la ligne Clermont-Nîmes », ajoute-t-il.
(Edition Haute Loire)
Aucun train ne circule, du lundi au vendredi, entre Langeac et Langogne, jusqu'au 31 octobre. Le temps, pour les tunnels de Saint-Étienne et de Roquefort, de part et d'autre d'Alleyras, de faire l'objet d'importants travaux de rénovation.
Christian Lefèvre
Jusqu'au 31 octobre, les vaches devront se trouver une autre occupation que de regarder passer les trains entre les gares de Langeac et de Langogne? En effet, la circulation du « Cévenol » est totalement interrompue, du lundi au vendredi, sur cette partie de la ligne Clermont-Ferrand-Nîmes, pour cause de travaux de rénovation dans les tunnels de Saint-Étienne et de Roquefort, de part et d'autre d'Alleyras.
Menée par les équipes de la société « Colas Rail », sous l'égide de Réseau Ferré de France (RFF) et en relation étroite avec la SNCF, cette opération lourde, qui a débuté avant-hier, doit permettre de consolider les voûtes de ces deux ouvrages d'art, bâtis en 1870 et long de 200 et 400 mètres.
« À l'époque, ces deux tunnels ont été creusés directement dans la roche, explique Michel Gerber, responsable des opérations de remplacement des ouvrages d'art à RFF Rhône-Alpes-Auvergne. Au fil du temps, les voûtes se sont dégradées, jusqu'à ces dernières années, où des chutes de pierres dans l'un des deux tunnels ont entraîné une réduction de la vitesse des trains à 30 km\h sur cette portion et nécessité la programmation d'importants travaux de remise en état ».
Dans un premier temps, les voûtes vont donc être « purgées », avant que les ouvriers n'installent des ancrages en acier dans la roche, dernière étape avant la réfection proprement dite des parties abîmées des voûtes, via des projections de béton.
D'un coût de 1,4 million d'euros, ce chantier signifie-t-il que les menaces de suppression ayant pesé sur la ligne Clermont-Ferrand-Nîmes sont définitivement écartées ? C'est en tout cas ce que veut penser le Conseil régional d'Auvergne, qui s'est « réjoui », hier, dans un communiqué, du début des travaux. « Très attachée au maintien d'une liaison ferroviaire performante depuis Clermont vers Langogne, Alès et Nîmes », la Région rappelle qu'elle a adopté un « Plan Rail » en décembre 2008, qui prévoit notamment 57 millions d'euros d'investissement, d'ici 2013, sur les trois lignes de Haute-Loire, dont 20,7 millions du Conseil régional, qui est donc « le premier financeur ». « Aujourd'hui, les perspectives d'avenir sont sauvegardées pour toutes les circulations de trains sur la ligne Clermont-Nîmes », ajoute-t-il.
Invité- Invité
Midi Libre 23 Sept 2009
Vu sur Midi Libre - Edition Lozère- sur la Page de Mende
MOBILISATION SNCF
Défense de la ligne Béziers-Neussargues
Dans un communiqué, le comité pluraliste de réhabilitation de défense et de promotion de la ligne SNCF Béziers-Millau-Neussargues-Clermont-Ferrand-Paris dénonce : « La direction SNCF entend, au 1 er décembre, supprimer le dernier train national de voyageurs : l'Aubrac. Plus aucun train de voyageurs, TER compris, ne circulerait entre Saint-Chély-d'Apcher et Neussargues. Par cet acte, la direction SNCF permet au gouvernement de se débarrasser de la décision de fermeture. Fameux coup ! Pas de train donc pas de ligne. Au sud de Clermont-Ferrand, plus aucune liaison nationale voyageurs par train vers Aurillac, Nîmes et Béziers. Le coeur du Massif central serait sans train. Inacceptable ! Que deviennent l'aménagement du territoire et le respect des décisions du Grenelle de l'environnement dont la direction SNCF se gargarise. Le comité pluraliste appelle tous ses amis, cheminots, populations, usagers, organisations diverses, élus, collectivités territoriales, à se mobiliser pour empêcher ce mauvais coup en participant, par de larges délégations, à une initiative symbolique de mise en place d'un heurtoiren gare de Neussargues demain à 10 h 30. Plus largement, le comité pluraliste appelle d'ores et déjà à une très forte mobilisation pour la manifestation du samedi 10 octobre, à M arvejols, pour que puisse vivre et se moderniser la ligne de la montagne
MOBILISATION SNCF
Défense de la ligne Béziers-Neussargues
Dans un communiqué, le comité pluraliste de réhabilitation de défense et de promotion de la ligne SNCF Béziers-Millau-Neussargues-Clermont-Ferrand-Paris dénonce : « La direction SNCF entend, au 1 er décembre, supprimer le dernier train national de voyageurs : l'Aubrac. Plus aucun train de voyageurs, TER compris, ne circulerait entre Saint-Chély-d'Apcher et Neussargues. Par cet acte, la direction SNCF permet au gouvernement de se débarrasser de la décision de fermeture. Fameux coup ! Pas de train donc pas de ligne. Au sud de Clermont-Ferrand, plus aucune liaison nationale voyageurs par train vers Aurillac, Nîmes et Béziers. Le coeur du Massif central serait sans train. Inacceptable ! Que deviennent l'aménagement du territoire et le respect des décisions du Grenelle de l'environnement dont la direction SNCF se gargarise. Le comité pluraliste appelle tous ses amis, cheminots, populations, usagers, organisations diverses, élus, collectivités territoriales, à se mobiliser pour empêcher ce mauvais coup en participant, par de larges délégations, à une initiative symbolique de mise en place d'un heurtoiren gare de Neussargues demain à 10 h 30. Plus largement, le comité pluraliste appelle d'ores et déjà à une très forte mobilisation pour la manifestation du samedi 10 octobre, à M arvejols, pour que puisse vivre et se moderniser la ligne de la montagne
Invité- Invité
Re: Notre Tchou Tchou
http://bellaciao.org/fr/spip.php?article91511Des trains à travers le Massif Central !
La desserte ferroviaire du Massif Central est menacée de disparition.
Dans l’immédiat, c’est la ligne de l’Aubrac (de Clermont-Ferrand à Béziers par Neussargues) qui est visée. Elle souffre depuis des années d’une absence d’entretien à cause de laquelle les circulations sont (pour des raisons de sécurité) de plus en plus lentes. La bonne solution serait de moderniser et d’entretenir cette ligne de chemin de fer, précieuse pour les populations des Causses, de l’Aubrac, de la Margeride et du Sud de l’Auvergne : l’autoroute A75 est parfois engorgée ; de plus, cette autoroute traverse des régions à plus de 1000m d’altitude, régions où elle se trouve parfois impratiquable en hiver.
Enfin, certains objets lourds, comme les bobines de tôles de l’usine métallurgique de Saint Chély d’Apcher, sont particulièrement ennuyeux à transporter par la route (un camion par bobine). Pour toutes ces raisons, et aussi parce que le train est LE moyen de transport terrestre d’avenir, il faut que cette ligne de chemin de fer soit non fermée mais au contraire réparée et modernisée.
Le "Comité Pluraliste de Réhabilitation, de Défense et de Promotion de la ligne SNCF Béziers-Millau-Neussargues-Clermont Ferrand-Paris, Axe ferroviaire Europe du Sud-Europe du Nord" invite tous ceux qui veulent empêcher la fermeture de cette ligne à :
1) une initiative symbolique de mise en place d’un "Heurtoir" en gare de Neussargues le Jeudi 24 septembre 2009 à 10h30 ;
2) une grande manifestation à Marvejols le Samedi 10 octobre 2009.
3) signer la pétition disponible en particulier à l’adresse suivante :
http://www.mesopinions.com/Beziers---Neussargues---appel-solennel-de-juillet-2009-petition-petitions-0a7cc30671d0a300d4a95337d2b5a243.html
contact : Comité Pluraliste - Maison des Syndicats - Union locale CGT - 2, Bd de la République - 34600 Bédarieux.
Le 10 octobre au lieu d'aller crever les pneus des doryphores, on espére que les Lozériens iront manifester à Marvejols .
Re: Notre Tchou Tchou
Là dans ce cas précis, je dis oui à la taxe carbone, et sans attendre 2010 !!!
Invité- Invité
Re: Notre Tchou Tchou
C'est quand même simple comme calcul, pourtant je n'ai pas été beaucoup à l'école .
Le transport en train c'est une moyenne de 30 camions en moins sur l'A75 pour ce genre de transports !
Et combien de CO 2 en moins dans l'atmosphère ?
Et merci pour notre planète !
Le transport en train c'est une moyenne de 30 camions en moins sur l'A75 pour ce genre de transports !
Et combien de CO 2 en moins dans l'atmosphère ?
Et merci pour notre planète !
Invité- Invité
Re: Notre Tchou Tchou
Aux derniéres nouvelles, le viaduc de Garabit serait réouvert à la mi Octobre !
A moins que d'ici là on découvre d'autres anomalies !
A partir de Lundi prochain une entreprise appropriée va s'occuper de ses bléssures !
A moins que d'ici là on découvre d'autres anomalies !
A partir de Lundi prochain une entreprise appropriée va s'occuper de ses bléssures !
Invité- Invité
Re: Notre Tchou Tchou
Pour la manif de Marvejols !
Je viens d'avoir confirmation :
Rendez vous le samedi 10 Octobre à partir de 13 h, devant la Gare .
Je viens d'avoir confirmation :
Rendez vous le samedi 10 Octobre à partir de 13 h, devant la Gare .
Invité- Invité
Re: Notre Tchou Tchou
Bien que peu de personnes réagissent à mes post, concernant le férroviaire !
Je donne quand même la bonne nouvelle, le trafic doit reprendre ce Dimanche 11 Oct, sur la ligne entre Neussargues et St Chély, le viaduc de Garabit va revoir passer des trains !
Les bobines pour l'usine de St Chély vont quitter l'A75 et reprendre à nouveau le train, espèrons que cette fois sera pour longtemps !
Je donne quand même la bonne nouvelle, le trafic doit reprendre ce Dimanche 11 Oct, sur la ligne entre Neussargues et St Chély, le viaduc de Garabit va revoir passer des trains !
Les bobines pour l'usine de St Chély vont quitter l'A75 et reprendre à nouveau le train, espèrons que cette fois sera pour longtemps !
Invité- Invité
Re: Notre Tchou Tchou
Je te ferai la réponse habituelle, c'est pas parce qu'on ne réponds pas qu'on ne lit pas.
"Il faut continuer à persévérer".
"Il faut continuer à persévérer".
Raoul- Membre trop actif
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Re: Notre Tchou Tchou
gabatch a écrit:Bien que peu de personnes réagissent à mes post, concernant le férroviaire !
Je donne quand même la bonne nouvelle, le trafic doit reprendre ce Dimanche 11 Oct, sur la ligne entre Neussargues et St Chély, le viaduc de Garabit va revoir passer des trains !Les bobines pour l'usine de St Chély vont quitter l'A75 et reprendre à nouveau le train, espèrons que cette fois sera pour longtemps !
Je dois confesser que j'avais grand peur que le viaduc n'ait vu passer son dernier train!
Très bonne nouvelle alors que cette réouverture, même si l'avenir n'est pas forcément assuré, ça laisse au moins un peu de temps pour la mobilisation républicaine!!!
Fraissinet- Membre trop actif
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